Une enquête, effectuée sur plus de 3500 sérums de moutons et de chèvres de divers pays d'Afrique intertropicale, a permis de mettre en évidence des variations importantes du pourcentage des animaux porteurs d'anticorps, selon les grandes divisions écologiques : zones désertique, sahélienne, soudanienne, guinéenne et massifs montagneux, ainsi que le rôle prépondérant joué par les facteurs édaphiques locaux, comme la présence d'eau ou d'altitud