Une étude de la réponse des cellules B mémoires au vaccin polysaccharidique conjugué contre le méningocoque du sérogroupe C

Abstract

"Neisseraia meningitidis" est une cause importante de maladies invasives chez les enfants. En Angleterre, le vaccin polysaccharidique conjugué contre le sérogroupe C fait partie du plan de vaccination de routine. Chez les enfants de moins d'une année, 3 doses de vaccin induisent une montée importante des anticorps bactéricides, mais qui ne persistent pas au-delà d'une année. Les cellules B mémoires, semblent essentielles pour protéger les jeunes enfants primo-immunisés comme nourrissons. Dans cette étude, j'ai évalué la persistance dans le sang des plasmocytes producteurs d'anticorps et des cellules mémoires spécifiques chez des enfants de 12 mois primo-immunisés à 2,3, et 4 mois. Les résultats montrent que ces cellules, généralement non détectables, réapparaissent à jour 6 (plasmocytes) ou 8 (cellules B mémoire) après une dose de rappel de vaccin conjugué. Ces données permettent de mieux comprendre la participation de l'immunité mémoire à la protection contre les infections invasives à "N. meningitidis"

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