Inscrite dans le domaine des études théâtrales et performatives, cette recherche explore les complexités ontologiques, esthétiques et politiques qui traversent la douleur, la violence et la performativité dans l'oeuvre La casa de la fuerza d'Angélica Liddell. Elle propose une réflexion critique sur les stratégies scéniques et discursives de Liddell, les situant dans un théâtre contemporain qui fonctionne comme un rituel de confrontation ontologique, remettant en question les structures de pouvoir et proposant une re-signification radicale de l'expérience féminine face à l'oppression systémique. Dans cette optique, ce mémoire cherche à étudier le rôle de la performativité comme dispositif d'interpellation directe du spectateur, avec les multiples formes par lesquelles s'exerce le pouvoir patriarcal. Il est suggéré et démontré que le théâtre se configure comme une possibilité de confrontation, un lieu où la réalité et la fiction s'entrelacent pour dévoiler les profondes vérités sur la souffrance humaine, sa fragilité et la lutte constante pour l'autonomie personnelle et collective. De même, le corps, en tant que zone de ritualité et de confrontation, apparaît comme un élément central de l'oeuvre, révélant et défiant les structures de pouvoir patriarcal et les logiques de domination symbolique, tout en reflétant la lutte constante pour l'autonomie personnelle et collective. Ainsi, il est montré comment ces forces se développent dans le contexte du théâtre contemporain.Inscribed in the field of theatrical and performative studies, this research explores the ontological, aesthetic, and political complexities that traverse pain, violence, and performativity in Angélica Liddell's La casa de la fuerza. It offers a critical reflection on Liddell's scenic and discursive strategies, positioning them within contemporary theater as a ritual of ontological confrontation that questions power structures and proposes a radical re-signification of the female experience in the face of systemic oppression. In this regard, this thesis seeks to explore the role of performativity as a device of direct interpellation of the audience, with the multiple ways in which patriarchal power is exercised. It proposes and aims to demonstrate that theater is configured as a possibility for confrontation, a space where reality and fiction intertwine to unravel profound truths about human suffering, its fragility, and the constant struggle for personal and collective autonomy. Likewise, the body, as a zone of ritual and confrontation, is presented as a central element in the work, revealing and challenging patriarchal power structures and the logics of symbolic domination, while reflecting the constant struggle for personal and collective autonomy. Thus, it shows how these forces develop in the context of contemporary theater.Inscrita en el campo de los estudios teatrales y performáticos, esta investigación explora las complejidades ontológicas, estéticas y políticas que atraviesan el dolor, la violencia y la performatividad en la obra La casa de la fuerza de Angélica Liddell. Ofrece una reflexión crítica sobre las estrategias escénicas y discursivas de Liddell, situándolas en un teatro contemporáneo que opera como un ritual de confrontación ontológica, cuestionando estructuras de poder y proponiendo una resignificación radical de la experiencia femenina frente a la opresión sistémica. En esa línea, esta memoria busca investigar el papel de la performatividad como dispositivo de interpelación directa al espectador, con las múltiples formas en que se ejerce el poder patriarcal. Se plantea y se busca demostrar que el teatro se configura como una posibilidad de confrontación, un lugar donde la realidad y la ficción se entrelazan para desentrañar las profundas verdades sobre el sufrimiento humano, su fragilidad y la lucha constante por la autonomía personal y colectiva. Igualmente, que el cuerpo, como una zona de ritualidad y enfrentamiento, se presenta como un elemento central en la obra, revelando y desafiando las estructuras de poder patriarcal y las lógicas de dominación simbólica, y reflejando la lucha constante por la autonomía personal y colectiva. De ese modo, se muestra cómo esas fuerzas se desarrollan en el contexto del teatro contemporáneo. Palabras Clave: teatro contemporáneo, performatividad, dolor, violencia de género, resistencia