Discourses and gender in doctoral physics: a hard look inside a hard science

Abstract

In Canada today, a gender disparity persists in the enrolment and persistence of doctoral students in physics. Scholarship on this disparity has, in the past, focused on issues of equity and difference in order to find ways to recruit and retain more women in physics. This approach offered a limited perspective on gender and relied on essentialist notions of being a man, woman or physicist. This study highlights the importance of a focus on gender as an aspect of identity construction, thus opening up possibilities for exploring how doctoral students navigate ideologies of gender at the same time that they learn how to become physicists. Doctoral physics students have stories about what kinds of actions, behaviours and ways of doing physics allow individuals to be recognized as physicists. Viewing a physics department as a case study, and individual participants as embedded cases, this study uses a sociocultural approach to examine the ways doctoral students construct these stories about becoming physicists. Through observations, photo-elicitation, and life history interviews, eleven men and women shared stories about their experiences with physics, and the contexts that have enabled or constrained their trajectories into doctoral physics. The results of this study revealed the salience of recognition in the constitution of physicist identities: individuals who saw themselves, or were seen by others, as physicists were more likely to pursue trajectories into academic physics. Further, various interchangeable forms of competence emerged as assets that can be used to achieve recognition in this physics community: technical, analytical, and academic competence were identified by participants as characteristics necessary to achieve recognition as a physicist. Additionally, achieving recognition as a competent physicist often involved a complex negotiation of gender roles and the practice of physics. The results demonstrated that a persistent tension exists betweAu Canada, aujourd'hui, une disparité entre les sexes persiste concernant les inscriptions et la rétention des étudiants qui poursuivent leurs études doctorales en physique. Dans le passé, les recherches sur cette disparité ont portées sur les questions d'égalité et de la différence afin de trouver des moyens pour recruter et garder davantage de femmes en physique. Cette approche a offert une perspective limitée sur les sexes et s'est appuyé sur les notions d'essentialiste d'être un homme, une femme ou un physicien. Cette étude souligne l'importance de l'égalité des sexes comme un aspect de la construction de l'identité, ouvrant ainsi des possibilités pour explorer comment les étudiants doctorales naviguent les idéologies des sexes en même temps qu'ils apprennent à devenir physiciens. Les étudiants poursuivant des études doctorales en physique ont des histoires des types d'actions, des comportements et des méthodes de la physique permettent aux individus d'être reconnus comme physiciens. En présentant un département de physique comme une étude de cas et des participants individuels comme des cas intégrés, cette étude utilise une approche socioculturelle pour examiner les manières que les étudiants poursuivant un doctorat construisent des histoires qui racontent comment ils deviennent physiciens. Grâce à des observations, extractions avec photos et entrevues d'histoire de la vie, onze hommes et femmes ont partagés des histoires au sujet de leurs expériences avec la physique et les contextes qui ont favorisé ou ont contraints leurs trajectoires menant au doctorat de physique. Les résultats de cette étude ont révélés la reconnaissance saillante dans la constitution des identités des physiciens : des individus qui se sont vus ou qui ont été vus par d'autres comme physiciens étaient plus susceptibles de poursuivre leurs trajectoires menant au doctorat en physique. De plus, diverses formes interchangeables de

    Similar works

    Full text

    thumbnail-image

    Available Versions