La saison des pluies 1990 a été déficitaire presque partout au Sahel et la zone étudiée (environ 10 000 km2), autour de Niamey, n'est pas une exception. Sur le plan expérimental, le réseau de pluviographes a été fiable, tandis que la chaîne radar a été fragile. A l'aval des acquisitions ont été développées des banques de données sol (BADINAGE) et radar (BADORA). (Résumé d'auteur