Software Support for Multi-Lingual Legislative Drafting

Abstract

Non-governmental organizations (NGOs) face a broad spectrum of barriers to effective transnational cooperation ( 3 Siochr\ufa 2003). One critical barrier is the lack of ready access to software tools that facilitate transnational, multi-lingual, collaborative work. As an example, Civil Society's drafting processes for the World Summit on the Information Society (WSIS) have been very complicated, tedious, and prone to error. Complicating the process further is the fact that NGO communities are now often distributed across multiple languages. There are, for example, six official languages in WSIS. Truly democratic debate over document revisions is severely hampered if translations are not available. This then negatively impacts the sustainability of such processes.A number of content management systems now exist that might be extended and adapted for this purpose, but no fully functional system as such exists that is accessible to the majority of NGOs. A critical factor here is the use of a free software model. Proprietary solutions are usually prohibitively expensive and, thus, are neither accessible nor sustainable with the NGO community. This paper will present the context in which advanced collaboration tools for NGOs is needed. It will also discuss general system requirements and provide technical background.Les organisations non gouvernementales (ONG) sont confront\ue9es \ue0 un vaste spectre d'obstacles qui nuisent \ue0 une coop\ue9ration transnationale efficace ( 3 Siochr\ufa 2003). Un obstacle critique est constitu\ue9 par l'absence d'outils logiciels destin\ue9s \ue0 faciliter les travaux collaboratifs multilingues transnationaux. \uc0 titre d'exemple, pour l'organisation de la soci\ue9t\ue9 civile, le processus de r\ue9daction des documents \ue0 l'occasion du Sommet mondial sur la soci\ue9t\ue9 de l'information s'est r\ue9v\ue9l\ue9 tr\ue8s compliqu\ue9, p\ue9nible et sujet \ue0 l'erreur. La situation se complique davantage du fait que les ONG sont maintenant souvent multilingues. Ainsi, au Sommet mondial sur la soci\ue9t\ue9 de l'information, il y a six langues officielles. Il est alors extr\ueamement difficile de mener des d\ue9bats v\ue9ritablement d\ue9mocratiques sur les diverses versions des documents en l'absence de traduction de ces derniers. Cette situation a \ue0 son tour des impacts n\ue9gatifs sur la possibilit\ue9 m\ueame de ce processus. Il existe maintenant un certain nombre de syst\ue8mes de gestion de contenu qui pourraient \ueatre \ue9tendus et adapt\ue9s \ue0 cette fin, mais il n'existe pas de syst\ue8mes enti\ue8rement fonctionnels qui soient accessibles \ue0 la majorit\ue9 des ONG. La possibilit\ue9 d'utiliser un mod\ue8le logiciel gratuit constitue ici un facteur critique. Les solutions propri\ue9taires se r\ue9v\ue8lent en g\ue9n\ue9ral prohibitivement co\ufbteuses et elles ne sont par cons\ue9quent ni accessibles ni utilisables dans le contexte des ONG. Cet article pr\ue9sente le contexte dans lequel des outils de collaboration \ue9volu\ue9s pour les ONG sont n\ue9cessaires. Il pr\ue9sente \ue9galement une \ue9tude des besoins g\ue9n\ue9raux auxquels ces outils doivent satisfaire, ainsi que leur situation technique.NRC publication: Ye

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