Background
The current Canadian Cardiovascular Society antiplatelet therapy guidelines recommend the use of ticagrelor or prasugrel over clopidogrel as first-line platelet P2Y12 receptor antagonists for treatment of moderate- to high-risk acute coronary syndromes. Recently, Effient (prasugrel [Eli Lilly Canada Inc, Toronto, Canada]) was discontinued by its distributor in Canada.
Methods
Five members of the Canadian Cardiovascular Society antiplatelet therapy 2018 guidelines committee undertook an independent, evidence-based review to outline patients for whom prasugrel should be the optimal P2Y12 agent and discuss alternative strategies to consider without prasugrel.
Results
Several clinical scenarios where prasugrel should be indicated are identified and discussed. Considerations to be undertaken for alternative therapies are summarized, including a review of national and international guidelines for de-escalation of P2Y12 receptor antagonists.
Conclusions
The discontinuation of prasugrel poses a challenge for clinicians. Clinicians must consider key factors in determining the best alternate therapy.Introduction
Dans ses lignes directrices actuelles sur la thérapie antiplaquettaire, la Société canadienne de cardiologie recommande l’utilisation du ticagrélor ou du prasugrel plutôt que l’utilisation du clopidogrel comme antagonistes des récepteurs plaquettaires P2Y12 de première intention dans le traitement des patients qui présentent un risque modéré à élevé de syndromes coronariens aigus. Depuis peu, le distributeur a cessé la distribution d’Effient (prasugrel) au Canada.
Méthodes
Cinq membres du comité des lignes directrices 2018 sur la thérapie antiplaquettaire de la Société canadienne de cardiologie ont entrepris une revue indépendante fondée sur les données probantes pour dresser le profil des patients pour lesquels le prasugrel devrait être la meilleure option parmi les antagonistes des récepteurs P2Y12 et se pencher sur les traitements alternatifs en l'absence de prasugrel.
Résultats
Plusieurs scénarios cliniques où le prasugrel devrait être indiqué sont recensés et abordés. Les réflexions sur les solutions de rechange au traitement, notamment une revue des lignes directrices nationales et internationales en matière de désescalade des antagonistes des récepteurs P2Y12, sont présentées.
Conclusions
La cessation de la distribution du prasugrel pose problème aux cliniciens. Les cliniciens doivent tenir compte des facteurs clés pour déterminer le meilleur traitement de remplacement
