Recommandation conversationnelle : écoutez avant de parlez

Abstract

In a world of globalization, where offers continues to grow, the ability to direct people to their specific need is essential. After being key differentiating factors for Netflix and Amazon, Recommender Systems in general are no where near a downfall. Still, one downside of the basic recommender systems is that they are mainly based on indirect feedback (our behaviour, mainly form the past) as opposed to explicit demand at a specific time. Recent development in machine learning brings us closer to the possibility for a user to express it’s specific needs in natural language and get a machine generated reply. This is what Conversational Recommendation is about. Conversational recommendation encapsulates several machine learning sub-tasks. In this work, we focus our study on methods for the task of item (in our case, movie) recommendation from conversation. To explore this setting, we use, adapt and extend state of the art transformer based neural language modeling techniques to the task of recommendation from dialogue. We study the performance of different methods using the ReDial dataset [24], a conversational- recommendation dataset for movies. We also make use of a knowledge base of movies and measure their ability to improve performance for cold-start users, items, and/or both. This master thesis is divided as follows. First, we review all the basics concepts and the previous work necessary to to this lecture. When then dive deep into the specifics our data management, the different models we tested, the set-up of our experiments and the results we got. Follows the original a paper we submitted at RecSys 2020 Conference. Note that their is a minor inconsistency since throughout the thesis, we use v to represent items but in the paper, we used i. Overall, we find that pre-trained transformer models outperform baselines even if the baselines have access to the user preferences manually extracted from their utterances.Dans un monde de mondialisation, où les offres continuent de croître, la capacité de référer les gens vers leurs besoins spécifiques est essentiel. Après avoir été un facteur de différenciation clé pour Netflix et Amazon, les systèmes de recommandation en général ne sont pas près de disparaître. Néanmoins, l’un des leurs inconvénients est qu’ils sont principalement basés sur des informations indirects (notre comportement, principalement du passé) par opposition à une demande explicite à un moment donné. Le développement récent de l’apprentissage automatique nous rapproche de la possibilité d’exprimer nos besoins spécifiques en langage naturel et d’obtenir une réponse générée par la machine. C’est ce en quoi consiste la recommandation conversationnelle. La recommandation conversationnelle englobe plusieurs sous-tâches d’apprentissage automatique. Dans ce travail, nous concentrons notre étude sur les méthodes entourant la tâche de recommandation d’item (dans notre cas, un film) à partir d’un dialogue. Pour explorer cette avenue, nous adaptons et étendons les techniques de modélisation du langage basées sur les transformeurs à la tâche de recommandation à partir du dialogue. Nous étudions les performances de différentes méthodes à l’aide de l’ensemble de données ReDial [24], un ensemble de données de recommandation conversationnelle pour les films. Nous utilisons également une base de connaissances de films et mesurons sa capacité à améliorer les performances lorsque peu d’information sur les utilisateurs/éléments est disponible. Ce mémoire par article est divisé comme suit. Tout d’abord, nous passons en revue tous les concepts de base et les travaux antérieurs nécessaires à cette lecture. Ensuite, nous élaborons les spécificités de notre gestion des données, les différents modèles que nous avons testés, la mise en place de nos expériences et les résultats que nous avons obtenus. Suit l’article original que nous avons soumis à la conférence RecSys 2020. Notez qu’il y a une incohérence mineure puisque tout au long du mémoire, nous utilisons v pour représenter les éléments mais dans l’article, nous avons utilisé i. Dans l’ensemble, nous constatons que les modèles de transformeurs pré-entraînés surpassent les modèles de bases même si les modèles de base ont accès aux préférences utilisateur extraites manuellement des dialogues

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