Cádiz: Universidad de Cádiz, Servicio de Publicaciones
Abstract
Les pays francophones qui sont en contact avec d’autres langues, et
surtout avec l’anglais, utilisent fréquemment cette langue pour évoquer les
“choses” de l’amour. Est-ce par pudeur que ce qui a trait à la prostitution, à
la masturbation ou aux menstruations est exprimé dans des termes
étrangers ou dans des métaphores souvent obscures? Il semble plutôt que
ces masques relèvent du “politiquement correct” qui vise à ne blesser
personne