La communication interpersonnelle et le dialogue social : vers une gestion efficace des risques sociaux et de la non-qualité au sein de l’organisation publique

Abstract

Dans le contexte des réformes administratives impulsées par la nouvelle gestion publique (NPM), les administrations publiques sont confrontées à des défis croissants liés à la gestion des risques sociaux et à la qualité des services. Cette recherche répond à la nécessité de comprendre comment la communication interpersonnelle peut contribuer de manière significative à la gestion de ces risques et à l’amélioration de la qualité au sein des organisations publiques. L’objectif principal de cette étude est de synthétiser les connaissances existantes sur le rôle de la communication interpersonnelle dans la gestion des risques sociaux et de la non-qualité dans le cadre de la NPM. Cette étude utilise une approche méthodologique qualitative, axée sur une revue conceptuelle de la littérature. L’examen explore et synthétise les concepts clés et les théories existantes concernant le rôle de la communication interpersonnelle dans la gestion des risques sociaux et de la non-qualité au sein des organisations publiques dans le cadre du NPM. Les résultats révèlent que la communication interpersonnelle joue un rôle crucial dans la prévention des risques sociaux et la réduction de la non-qualité au sein des organisations publiques. Des pratiques de communication efficaces aident à atténuer les conflits et à favoriser la collaboration entre les membres du personnel, contribuant ainsi au succès des réformes du NPM. De plus, l’intégration de la communication interpersonnelle dans les processus de gestion des risques est essentielle pour maintenir la qualité des services publics. Cette étude met en évidence le rôle stratégique de la communication interpersonnelle dans le contexte des réformes inspirées par le NPM. Il introduit des paradigmes innovants en considérant la communication non seulement comme un outil mais comme une composante essentielle de la gestion des risques concurrentiels. L’étude propose un cadre conceptuel pour évaluer l’impact de la communication interpersonnelle sur la gestion des risques sociaux et de la non-qualité