Despite the diversity of the African population, genetic studies, of epilepsy in particular, have been limited, especially in sub-Saharan Africa. In recent years, with the regression of infectious diseases in developing countries, the focus has shifted more towards non communicable disorders. The prevalence of epilepsy in Africa is higher compared to other continents. Although this has been attributed to the high rate of infectious diseases, genetic contributions should not be ignored. Research in genetic epilepsy in Africa could well benefit from the decreasing cost of genetic analysis, and could contribute to further our knowledge on the spectrum of these diseases in Africa. The growing collaboration between African research institutions and those of developed countries offers a unique opportunity to boost research in Africa and improve our global understanding of human disease, thus leading to the development of better therapeutic approaches.Malgré la diversité de la population africaine, les études génétiques, de l’épilepsie en particulier, ont été limitées, surtout en Afrique sub-saharienne. Dans les années récentes, avec la régression des maladies infectieuses dans les pays en développement, les regards sont tournés vers les maladies non transmissibles. La prévalence de l’épilepsie en Afrique est plus élevée que dans les autres continents. Bien que ceci ait été lié au taux élevé des maladies infectieuses, la contribution génétique ne devrait pas être ignorée. La recherche sur la génétique de l’épilepsie pourrait bénéficier de la baisse continue des coûts d’analyses génétiques et pourrait contribuer à l’augmentation de notre connaissance du spectre de ces maladies en Afrique. La collaboration croissante entre les institutions de recherche africaines et celles des pays développés offre une opportunité unique de booster la recherche en Afrique et améliorer notre compréhension des maladies humaines, permettant ainsi le développement de meilleures approches thérapeutiques