Description du phénotype des lymphocytes T infiltrant la tumeur et de leur relation avec la survie des patientes atteintes d’un cancer ovarien de stade avancé.

Abstract

Ovarian cancers rank 5th for mortality. Increasingly detailed molecular knowledge makes it possible to offer a specific care. The tumor microenvironment, with especially tumor-infiltrating T lymphocytes (TILs) is one of the axes for proposing new therapies. A descriptive study was conducted in 29 patients with the analysis of PBMc, TILs in the peritoneum, TALs in ascites. Another study describes TIL in relation to disease-free survival (DFS) and overall survival (OS) in 222 patients. Preliminary results confirm significant heterogeneity between patients. And reveal that TALs are not a reflection of TILs. A TPS-PD-L1 score≥1%, an iFoxP3 score>1cross, are positively associated with OS (62.9 versus 115.2 months, p=0.01, 99.5 versus 69.2 months, p= 0.03, respectively). The other markers, CD8, CD20, sFoxP3, s/iIL-17, IC-PD-L1 and CPS-PD-L1 are not associated with a change in OS. None of the markers studied is associated with a change in DFS. Heterogeneity is also present in the positivity thresholds for the different markers. Harmonization and detailed description of clinical cohorts will enhance comparability between studies.Les cancers de l’ovaire se placent au 5ème rang pour la mortalité. La connaissance moléculaire de plus en plus fine permet de proposer une prise en charge spécifique. Le microenvironnement tumoral, avec notamment les lymphocytes T infiltrants la tumeur (TILs) est un des axes importants pour proposer de nouvelles thérapeutiques. Une étude descriptive a été menée chez 29 patientes avec l’analyse des PBMc, des TILs dans le péritoine, des TALs dans l’ascite. Une autre étude décrit les TILs par rapport à la survie sans récidive (SSR) et survie globale (SG) chez 222 patientes. Les résultats préliminaires confirment une hétérogénéité importante entre les patientes. Et révèlent que les TALs ne sont pas le reflet des TILs. Un score TPS-PD-L1≥1%, un score iFoxP3>1croix, sont associés positivement à la SG (62,9 contre 115,2 mois, p=0,01, 99,5 contre 69,2 mois, p=0,03, respectivement). Les autres marqueurs, CD8, CD20, sFoxP3, s/iIL-17, IC-PD-L1 et CPS-PD-L1 ne sont pas associés à une variation de la SG. Aucun des marqueurs étudiés n’est associé à une modification de la SSR. L’hétérogénéité est également présente dans les seuils de positivité pour les différents marqueurs. Une harmonisation, ainsi que la description fine des cohortes cliniques renforceront la comparabilité entre les études

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