Nigeria has one of the highest maternal mortality ratios in the world.
The study was to determine the trend of maternal mortality ratio in the
hospital as it transits from a General through a Specialist to a
Teaching hospital. It was a retrospective review of maternal deaths at
Enugu State University Teaching Hospital Parklane, over its 5 year
transition period (January 2004 to December 2008). There were 7146 live
births and 60 maternal deaths giving an overall maternal mortality
ratio (MMR) of 840/100,000 livebirths. The MMR rose from 411 to
1137/100 000 live births as a specialist hospital, with a decline to
625/100 000 as a Teaching hospital. Pre-eclampsia/eclampsia was the
leading cause (29.63%) of maternal death. MMR was highest as a
Specialist hospital due to limited manpower and inadequate facilities
to properly manage the rising number of referred obstetric emergencies.
Adequate preparations should be made before upgrading a hospital, to
enable it cope with the challenges of managing referred obstetric
emergencies (Afr J Reprod Health 2009; 13[4]:67-72).Le Nigéria a une de plus grandes proportions de la mortalité
maternelle du monde. L’étude avait pour but de
déterminer la tendance de la proportion de la mortalité
maternelle dans l’hôpital dans sa transition d’un
Hôpital Général en passant par l’Hôpital
spécialisé à un Centre Hospitalier Universitaire. Il
s’agissait d’une analyse rétrospective des
décès maternels au Centre Hospitalier Universitaire à
Enugu à travers sa période de 5ans de transition (janvier
2004 – décembre 2008). Il y avait 7146 naissances vivantes
et 60 décès maternels, ce qui donne dans l’ensemble une
proportion de la mortalité maternelle (PMM) de 840/100,000
naissances vivantes. La PMM a augmenté de 411 a 1137/100.000
naissances vivantes dans l’hôpital spécialisé avec
une baisse jusqu'à 625/100,000 dans un Centre Hospitalier
Universitaire. La pré-éclampse/éclampsie était la
cause principale (29,63%) du décès maternel. La PMM
était plus élevée dans l’hôpital
spécialisé à cause d’une main-d’œuvre
limitée et du manque de facilités qui ne permettent pas de
bien prendre en charge le nombre montant de cas obstétriques
d’urgence qui sont orientés vers ces hôpitaux
spécialisés. Il faut prendre des dispositifs adéquats
avant d’améliorer un hôpital, afin de lui permettre de
se débrouiller avec les défis de la prise en charge des
urgences obstétriques qui sont adressées d’un autre
hôpital (Afr J Reprod Health 2009; 13[4]:67-72)