Markets and marketing of common beans ( Phaseolus vulgaris L.) is a
major issue of concern to small scale farmers and other actors in the
bean value chain in Kenya, particularly inconsistency in supplying
sufficient volumes required for trade. This case study assessed market
arrangements used by small scale farmers in the Lake Basin and Lower
Eastern bean corridors of Kenya, to determine which markets work for
rural producers and what changes are needed to produce and supply
sufficient quantities for trade. Using exploratory research, data were
collected through Focus Group Discussions with six farmer groups,
representing a total of 1255 bean farmers; and key informant interviews
with extension staff. The results indicated that 94% of the farmers
produced beans before identifying buyers, while only 6% participated in
group marketing. Though spot-market transactions with brokers and
traders provided ready cash for the farmers, formal buyers were
perceived to be more reliable, but difficult to find, and operated the
stringent requirements, which were a barrier to entry. Based on the
study findings, sustainable production and supply of sufficient volumes
for trade should entail a transformation agenda at four levels of the
value chain; namely intensification of production through pure stand
models with greater use of certified high yielding varieties; stable
price guarantees; market-driven research and extension service; and an
enabling policy and business environment in the bean value chain.
Further research is needed to pilot these changes in a case control
study.Les march\ue9s et la commercialisation des haricots communs (
Phaseolus vulgaris L.) constituent un sujet de pr\ue9occupation
majeur pour les petites entreprises les agriculteurs et d\u2019autres
acteurs de la cha\ueene de valeur du haricot au Kenya, en particulier
les incoh\ue9rences dans l\u2019approvisionnement volumes suffisants
requis pour le commerce. Cette \ue9tude de cas a \ue9valu\ue9 les
accords de march\ue9 utilis\ue9s par les petites
d\u2019agriculteurs dans les couloirs de haricots kenyans du bassin du
lac et du Bas-Est, afin de d\ue9terminer les les march\ue9s
fonctionnent pour les producteurs ruraux et quels changements sont
n\ue9cessaires pour produire et fournir suffisamment quantit\ue9s
pour le commerce. \uc0 l\u2019aide de recherches exploratoires, les
donn\ue9es ont \ue9t\ue9 recueillies lors de discussions de
groupe avec six groupes d\u2019agriculteurs, repr\ue9sentant un
total de 1255 producteurs de haricots; et entretiens avec des
informateurs cl\ue9s personnel de vulgarisation. Les r\ue9sultats
ont montr\ue9 que 94% des agriculteurs produisaient des haricots
avant d\u2019identifier acheteurs, alors que seulement 6% ont
particip\ue9 au marketing de groupe. Bien que les transactions sur le
march\ue9 au comptant avec des courtiers et les commer\ue7ants
fournissaient de l\u2019argent disponible aux agriculteurs, les
acheteurs formels \ue9taient per\ue7us comme plus fiables, mais
difficile \ue0 trouver et appliquait les exigences strictes, qui
constituaient une barri\ue8re \ue0 l\u2019entr\ue9e. Bas\ue9
sur r\ue9sultats de l\u2019\ue9tude, la production durable et la
fourniture de volumes suffisants pour le commerce devraient impliquer
une programme de transformation \ue0 quatre niveaux de la cha\ueene
de valeur; \ue0 savoir l\u2019intensification de la production par
mod\ue8les de peuplements purs utilisant davantage de
vari\ue9t\ue9s certifi\ue9es \ue0 haut rendement; garanties de
prix stables; ax\ue9 sur le march\ue9 service de recherche et de
vulgarisation; et une politique favorable et un environnement
commercial dans le haricot cha\ueene de valeur. Des recherches
suppl\ue9mentaires sont n\ue9cessaires pour piloter ces changements
dans une \ue9tude cas-t\ue9moins