BACKGROUND :For optimal development young children need warm, responsive, enriched
and communicative environments for learning social, language, and other skills. Infants and
toddlers exposed to psychosocial risk lack enriched environments and may present with
communication delays.
AIM : To investigate the relationship between psychosocial risks and communication delays in
infants from underserved communities in South Africa.
SETTING : Primary healthcare facilities in Tshwane district, South Africa.
METHODS : A parent interview and Rossetti Infant Toddler Language Scales were used to
collect data from caregivers of 201 infants aged 6–12 months, selected through convenience
sampling. Associations between communication delays and risks were determined
(Chi-square and Fisher’s exact tests). A log-linear model analysis was used to model
the simultaneous effect of significant risks on the probability of having communication
delays.
RESULTS : Communication delays were present in 13% of infants. Infants with two or more
siblings, born from mothers aged 18–29 years who own their house, had a 39% chance of
presenting with communication delays.
CONCLUSION : Developmental screening and early intervention is important in primary
healthcare contexts in South Africa, as a clear relationship has been established between three
risk factors and communication delays in infants.CONTEXTE : Pour s’épanouir complètement les jeunes enfants ont besoin d’un environnement
chaud, réceptif, enrichi et communicatif pour apprendre le langage social et d’autres
compétences. Les nourrissons et les tout-petits exposés à des risques psychosociaux
souffrent d’un manque d’environnements enrichissants et pourraient souffrir de retards de
communication verbale.
OBJECTIF : Pour étudier la relation entre les risques psychosociaux et les retards de
communication verbale chez les nourrissons des communautés non desservies en Afrique du
Sud.
LIEU : Services de soins primaires dans le district de Tshwane, en Afrique du Sud.
METHODES : Une entrevue avec les parents et l’Echelle de Compétence linguistique pour les
Nourrissons de Rossetti ont été utilisés pour rassembler les données de 201 nourrissons
de 6 à 12 mois provenant de leurs gardiens, sélectionnés au moyen d’échantillonnages
de proximité. On a remarqué un lien entre les retards et les risques de communication
verbale (tests Chi carré et de Fisher). On a utilisé un modèle d’analyse log-linéaire pour
modéliser l’effet simultané des risques importants sur la probabilité d’avoir des retards de
communication verbale.
RESULTATS : On a trouvé des retards de communication verbale chez 13% des nourrissons. Les
nourrissons qui vivent avec deux frères ou soeurs ou plus, nés de mères âgées de 18 à 29 ans
qui ont leur propre maison, avaient 39% plus de chance d’avoir des retards de communication verbale.http://www.phcfm.orgam201