La perception du don d’organes par les universitaires Algériens ; cas de l’Université OEB /Algérie

Abstract

Dans un contexte de pénurie d’organes disponibles pour transplantation provenant de donneurs vivants (DV) ou cadavériques (DC), les malades qui accusent une insuffisance de l’un de leurs organes souffrent en silence. Tout le monde a une part de responsabilité dans cette situation, nous jetons généralement la pierre à notre système de santé, la législation, la religion, etc. Ainsi, est ce que nous avons posé cette question pour soi-même?!Nous allons essayer à travers cette étude de mettre l’accent sur les facteurs d’opposition ou les obstacles qui peuvent être attribués directement à la culture du grand public. Nous avons choisi les universitaires, puisque ces derniers constituent un jalon, qui peut représenter la pierre angulaire de toute stratégie qui vise à changer les préjugés et  les idées fausses.Parmi les résultats de cette étude : les facteurs d’opposition chez les universitaires sont aussi d’ordres socioculturels, en l’occurrence chez les étudiants, malgré que le poids de ces facteurs est assez léger par rapport à la majorité de la société ; les plus âgés comme les professeurs et les administrateurs présentent plus de volonté pour un don d’organes de leur vivant, par contre les moins jeunes sont des bons candidats pour un don post-mortem. 

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