Tragique et stoïcisme dans Rayons perdus de Louisa Siefert

Abstract

Dans sa préface à la seconde édition des Rayons perdus, datée du 8 février 1869, Charles Asselineau rend un bel hommage au talent de Louisa Siefert : signifié par l’épuisement « en quelques semaines » de la première édition – cinq cents exemplaires vendus en moins d’un mois-, le succès des Rayons perdus « ne peut être imputé ni à la renommée de l’auteur, ni à son autorité dans le monde, ni au concours des journaux ». Si suggestive que soit la préface d’Asselineau, elle ne pouvait toutefois, a..

    Similar works

    Full text

    thumbnail-image

    Available Versions