Le risque d’erreurs médicamenteuses est accru à l’admission d’un service de soins. L’interface ville/hôpital expose à un risque de discontinuité dans la prise en charge médicamenteuse en induisant des divergences non intentionnelles de prescription (DNI) entre traitements habituels et hospitaliers. L’objectif de cette étude était d’évaluer l’incidence des DNI et de mesurer l’impact d’une réconciliation médicamenteuse à l’admission sur la justesse de la prescription hospitalière en médecine interne