271 research outputs found
L'alimentation sur l'oppidum de Boviolles (Meuse) : regards croisés sur la faune, les graines la vaisselle et l'instrumentum
International audienceIn dem Artikel werden verschiedene Gattungen archäologischer Funde aus dem oppidum von Boviolles (Meuse, Lorraine) vorgestellt, die in Zusammenhang mit der Ernährung stehen. In der Zusammenschau geben sie Auskunft zu den Ernährungsgewohnheiten im spätlaténezeitlichen oppidum von Boviolles (Meuse, Lorraine), das während des ersten Jahrhunderts vor Ch. der Hauptort der Leuker warEn réunissant les différentes catégories de mobilier liées à l’alimentation, cet article propose une approche archéologique des pratiques alimentaires domestiques sur l’oppidum de Boviolles, principale agglomération des Leuques au Ier siècle av. J.-
Archéologie de l’agripaume, du pot à la plante : céramologie, botanique et carpologie
Une coupe antique en céramique sigillée (type Drag. 29b) provenant d’une fouille récente réalisée dans la presqu’île lyonnaise portait un décor végétal suffisamment détaillé pour qu’il soit soumis à des spécialistes de la botanique. L’identification de l’agripaume (Leonurus cardiaca L.), plante médicinale connue au moins depuis l’Antiquité, est une occasion de faire le point sur les usages et les attestations carpologiques de cette espèce. Mais aussi de s’interroger sur le caractère exceptionnel de cette représentation naturaliste.A Samian ware bowl found during a recent excavation in the town centre of Lyon (France), situated on a peninsular of the Rhône, was attributed to type Drag. 29b. The ceramic vessel was characterized by a moulded decoration, showing a naturalistic representation of a herbaceous plant, which could be determined by botanists as motherwort Leonurus cardiaca L. This plant species is an old medicinal plant, cultivated and used in eastern Gaul at least since Roman times. This exceptional find offered the opportunity to present the medicinal properties and the use of the plant and its archaeobotanical evidence in eastern Gaul, but also to discuss the exceptional and naturalistic representation of this plant on a moulded decoration of a Samian ware bowl. (trad. : J. Wiethold)Eine reliefverzierte Sigillataschüssel vom Typ Drag. 29b, die zum keramischen Fundmaterial einer jüngst im Bereich der Altstadthalbinsel von Lyon durchgeführten Grabung stammt, weist eine Pflanzendarstellung als Reliefdekor auf, die so präzise ist, dass die dargestellte Pflanze von den Botanikern anhand der charakteristischen Blattform bestimmt werden konnte. Ihre Ansprache als Herzgespann oder Löwenschwanz (Leonurus cardiaca L.), einer zumindest seit der Antike bekannten und genutzten Heilpflanze, bietet die Gelegenheit, die medizinischen Wirkungen der Pflanze, ihre Anwendungen sowie ihre archäobotanischen Nachweise vorzustellen. Ferner wird der außergewöhnliche Charakter dieser bisher einzigartigen, erstaunlich naturalistischen Darstellung auf einer Sigillataschüssel erörtert. (trad. : J. Wiethold
Production agricole et stockagedans une ferme du début du VIIe s. à Aubréville (Meuse)
Le projet d’extension d’une carrière de calcaire à Aubréville (Meuse) a entraîné une série de diagnostics archéologiques en 2002, complétés par la fouille d'une petite surface de 2000 m2 en 2003. Cette fouille a porté sur deux bâtiments destinés au stockage des récoltes d’une exploitation agricole datée du début du viie siècle. Ces deux annexes agricoles dépendaient d’un corps de logis, non fouillé, observé lors de la phase de diagnostic de 2002.Le mode de construction de ces bâtiments se caractérise par des parois porteuses constituées de poteaux très resserrés supportant probablement des sablières hautes puis des entraits. Si les deux bâtiments de stockage ont été construits selon un simple plan quadrangulaire, le corps de logis présente un plan plus complexe.Une étude carpologique associée à cette fouille a permis d'apporter des données concernant l’organisation du stockage à l'intérieur des bâtiments, mais aussi d’attester la culture locale de l’épeautre, alors qu’elle semble très peu présente dans tout l’est de la France, et l’absence totale de seigle sur le site d’Aubréville, alors que cette céréale est habituellement très répandue au haut Moyen Âge.The proposed extension of a limestone quarry at Aubréville (Meuse) involved a series of archaeological evaluations in 2002 and the excavation of a small area (2000 m2) in 2003. This excavation revealed to two buildings intended for the storage of cereals belonging to a farm dating from the beginning of the 7th century AD. The two constructions pertained to a main building, observed at the time of the 2002 evaluations, but not excavated. Their construction is characterized by supporting walls made up of tightly positioned posts probably supporting high beams and tie-beams. If the two storage buildings were built according to a simple quadrangular plan, the main building is a more complex construction. A carpological study has contributed in defining the internal organization of the buildings, but also attests that the local crops during this period were naked wheat, hulled barley and spelt, (hardly present in Eastern France), whereas rye, usually widespread during the Early Middle Ages, is totally absent.Als in Aubréville (Departement Meuse) ein Kalksteinbruch erweitert werden sollte, wurde 2002eine Reihe von archäologischenUntersuchungen durchgeführt und 2003 durch die Ergrabung einer kleinen, 2000 m2 großen Fläche ergänzt. Dabei ging es im Wesentlichen um zwei zu einem in die ersten Jahre des 7. Jahrhunderts datierten landwirtschaftlichen Betrieb gehörige Gebäude, in denen die Ernten gelagert wurden. Diese beiden Gebäude gehörten zu einem Wohnhaus, das zwar nicht ausgegraben, 2002 aber erkannt worden war.Die Bauweise dieser Gebäude zeichnet sich dadurch aus, dass die tragenden Wände aus sehr eng beieinander stehenden Pfosten bestehen, die wahrscheinlich Wandpfetten und Spannriegel stützten. Während die Speichergebäude auf einem einfachen viereckigen Grundriss errichtet sind, erweist sich der Grundriss des Wohngebäudes als komplexer.Eine diese Grabung begleitende archäobotanische Studie hat Informationen zur Organisation der Lagerung im Inneren der Speichergebäude geliefert, und zeugt von dem hiesigen Dinkelanbau, der in Ostfrankreich eher außergewöhnlich zu sein scheint, und dem völligen Fehlen von Roggen, obwohl dieses Getreide im Frühmittelalter eigentlich sehr verbreitet ist
Nasium : Sondage archéologique à Saint-Amand-sur-Ornain " Le Cul de Breuil "
Ce rapport de fouille présente les résultats d'un sondage archéologique mené au cœur du site de Nasium, à l'interface entre l'oppidum celtique et l'agglomération antique. Le système de voirie qui relie ces deux , dans le prolongement d'une des portes principales de l'oppidum, a été ainsi révélé, associé à des structures à caractère funéraire ou rituel. La chronologie de ces vestiges, centrée sur les dernières décennies du Ier siècle avant J.-C., correspond à la période durant laquelle l'oppidum est abandonné au profit de la plaine alluviale de l'Ornain. Par ailleurs, la découverte de plusieurs centaines de clous de chaussure militaires et de céramiques d'origine italique pose la question du rôle de l'armée romaine dans le développement de la ville
A high-quality annually laminated sequence from Lake Belau, Northern Germany: Revised chronology and its implications for palynological and tephrochronological studies
The annually laminated record of Lake Belau offers an exceptional opportunity to investigate with high temporal resolution Holocene environmental change, aspects of climate history and human impact on the landscape. A new chronology based on varve counts, 14C-datings and heavy metal history has been established, covering the last 9400 years. Based on multiple varve counting on two core sequences, the easily countable laminated section spans about 7850 varve years (modelled age range c. 9430 to 1630 cal. BP). Not all of the record is of the same quality but approximately 69% of the varves sequence is classified to be of high quality and only c. 5% of low quality. The new chronology suggests dates generally c. 260 years older than previously assumed for the laminated section of the record. The implications for the vegetation and land-use history of the region as well as revised datings for pollen stratigraphical events are discussed. Tephra analysis allowed the identification of several cryptotephra layers. New dates for volcanic eruptions are presented for the Lairg B event (c. 6848 cal. BP, 2s range 6930–6713 cal. BP), the Hekla 4 event (c. 4396 cal. BP, 2s range 4417–4266 cal. BP), and Hekla 3 eruption (c. 3095 cal. BP, 2s range 3120–3068 cal. BP)
Fours de potiers des xie et xiie siècles en Lorraine
La céramique produite par les artisans potiers de Chaillon entre la première moitié du xie siècle et la seconde moitié du xiie siècle a pu être étudiée grâce à 49 803 restes, trouvés en position secondaire dans deux fours probablement transformés en dépotoir ainsi que dans deux fosses « tessonnières » et dans des zones d’épandage très denses en céramique. Les pâtes produites se répartissent dans deux groupes techniques, caractérisés, l’un par une pâte à inclusions de calcaire coquillier, et l’autre par une pâte fine. Il s’agit d’une production homogène avec seulement cinq types de formes produits correspondant à des pots, des pots à col haut, des cruches, des poêlons et des jattes.La cerámica elaborada entre la primera mitad del siglo XI y la segunda mitad del siglo XII por artesanos alfareros de Chaillon, ha sido estudiada gracias a los 49 803 restos encontrados en posición secundaria en dos hornos –posiblemente transformados en vertedero–, en dos fosas con fragmentos de cascos, asà como en algunas zonas de esparcimiento muy densas en cerámica. Las pastas producidas se reparten en dos grupos técnicos, caracterizados, el uno por una pasta de inclusiones de calcáreo de conchas, y el otro por una pasta fina. Se trata de una producción homogénea con sólo cinco tipos de formas elaborados, correspondientes a recipientes, recipientes de cuello alto, jarras, cazos y cuencos
Une ferme seigneuriale (XIIIe-XVe S.) Ă Laquenexy Entre Deux Cours (Moselle)
D’après l’étude du mobilier archéologique, une datation radiocarbone et les textes, la ferme médiévale « en dur » de Laquenexy est occupée du XIIIe s au XVe s. Son implantation, sur un terroir occupé en continu depuis le Néolithique, témoigne d’une qualité certaine des terres exploitées (terre fertile, bonne exposition, proximité de deux cours d’eau…). Ce type d’exploitation agricole est encore peu connu tant au niveau régional qu’au niveau national. La particularité de la ferme de Laquenexy est d’avoir été appréhendée dans son intégralité, ce qui permet d’avoir une vision globale de son organisation (agencement et équipements des bâtiments) et de la vie quotidienne de ses occupants à travers le mobilier archéologique (céramique, métal, faune).This type of isolated agricultural farm, which was occupied during the 13th–15th centuries, is still little known both regionally and nationally. The distinctive quality of the farm at Laquenexy is that it was discovered entire, giving an overall understanding of its structure (the fittings and amenities of the buildings) and the daily life of its occupants through study of the archaeological goods (crockery, metal objects, fauna and vegetable macro-remains).If we accept that it is indeed the excavated farm that is described in text sources, it is mentioned in archives from the 13th till the end of the 17th century. It would have gone under the name Loixy or Loixey and was first cited in 1234 in the cartulary of Abbey Saint-Vincent in Metz. In 1518 the nearby fortified manor-house of Villers and the farm of Loixy belonged to seigneur François de Gournais. The last mention of the seigneurial farm is made in a deed of acknowledgement and census written in 1681. The farm must have originally been used by the owner before being transformed at an unknown date to a system of mise à ferme.The excavation data have enabled other deductions to be made and show that we are dealing with an agropastoral farm.The various phases of construction and reconstruction of the seigneurial farm are demonstrated by different types of masonry and mortar, wall trenches, and posts embedded or cut in two by the walls.The pottery at Laquenexy is distinguished by technical (turned pots, glazing) and morphological characteristics (pots, jugs, pitchers, terrines, casks) typical of production during the 13th and 14th centuries. Four technical groups have been identified. In order of quantity they are : pottery with conchiferous limestone inclusions, glazed pottery, stoneware and grey fluted pottery. The two principal facies have forms similar to those that came out of the pottery workshops in Metz Pontiffroy, dated 13th–15th century, notably the identical highly decorated pitchers, jugs and a cask found on the two sites. The crockery on Laquenexy farm is similar to those from rural sites in Lorraine from the same period, notably the sites of Vitry-sur-Orne ZAC de la plaine and VR 52 in Moselle.The growing of cereals and grapes are well represented by metal goods: a fragment of a sickle, a small anvil for beating scythes, a billhook and pruning knives. The discovery of a lead guarantee seal engraved with the word Metz crowned by a fleur de lys is indicative of trade between the farm and the town of Metz.The overall corpus of carpological remains, featuring 1403 macro-remains, represents the agriculture of a farm in the period between the 13th and 15th centuries : 1344 macro-remains are cereals, or 95.8 % of the total assemblage during the Late Middle Ages. The most common cereal is common wheat (Triticum aestivum s.l./durum/turgidum, the grains all very probably belonging to wheat or bread wheat Triticum aestivum s.l. The second most common types are equally oats (Avena spec.) and wild barley Hordeum vulgare fo. vulgare. The leguminous plants cultivated total 27 carbonised seeds, just 1.9 % of the total assemblage during the Late Middle Ages, including vetch Vicia sativa agg., peas Pisum sativum, lentils Lens culinaris and horse beans. The fruits cultivated are rare : a fragment of wild plum or damson Prunus domestica, and the shell of a common walnut Juglans regia. Picking plants are only represented by a fragment of a hazelnut Corylus avellana.The study of the fauna shows a predominance of cattle (37.5 % of MNI) followed by goats and/or sheep (25.01 %), pigs or boar (21.88 %), horses (9.38 %), domestic chickens (3.13 %), greylag geese (1.56 %) and dogs (1.56 %).Indications of violence were found in and around the farm. Traces of redness on many walls are evidence of one or several fires. The discovery of a sword and the bolt from a crossbow might possibly be evidence of an attack against the farm and might be linked to one of several known historic events: for example, on 14 September 1404 comte Philippe de Nassau-Sarrebruck and his allies burned and destroyed a number of Messin villages in the Nied Valley, notably Villers-Laquenexy, during manoeuvres carried out against influential financiers of the Messin territory. Other acts of violence are mentioned in the late 15th and early 16th centuries. These belligerent acts took place against a background of economic recession, which began in the second half of the 14th century. The political and economic crisis sounded the knell for the isolated farm of Laquenexy.Dieser Typ eines isolierten vom 13. bis 15. Jh. bewirtschafteten landwirtschaftlichen Betriebs ist sowohl auf regionalem als auch auf internationalem Niveau noch wenig bekannt. Das Besondere an der Studie des Hofs von Laquenexy ist, dass er in seiner Gesamtheit untersucht wurde. Die Funde und Befunde vermitteln uns eine globale Vorstellung seiner Organisation (Anordnung und Ausstattung der Gebäude) und des Alltags seiner Bewohner (Geschirr, Metallgegenstände, Fauna und Makroreste von Pflanzen).In den Textquellen, den Archiven vom 13. Jh. bis ans Ende des 17. Jh., wird der landwirtschaftliche Betrieb eingehend beschrieben. Er taucht unter dem Namen Loixy oder Loixey auf und wird zum ersten Mal 1234 in den Chartularia der Abtei Saint-Vincent de Metz erwähnt. 1518 befinden sich das nahe Feste Haus von Villers und der Pachthof von Loixy im Besitz von François de Gournais. Zum letzten Mal findet der Ritterhof in einem Gerichtsakt und einer Aufzählung aus dem Jahr 1681 Erwähnung. Der landwirtschaftliche Betrieb muss zunächst vom Eigentümer selbst genutzt worden sein, bevor er ab einem unbestimmten Zeitpunkt verpachtet wurde.Die Grabungsergebnisse ergänzen diese Informationen und zeigen, dass wir es mit einem Hof zu tun haben, auf dem Ackerbau und Viehzucht betrieben wurden.Unterschiedliche Mauerwerke und Mörtel, Mauergräben, eingemauerte oder von Mauern überlagerte Pfosten zeugen von mehreren Bau- oder Wiederaufbauphasen des Ritterhofs.Die technischen (scheibengedrehte Keramik, Glasur) und morphologischen (Töpfe, Krüge, Terrinen, Tönnchen) Eigenschaften der Keramik von Laquenexy weisen auf eine typische Produktion des 13.-15. Jh. Folgenden vier technische Gruppen wurden unterschieden ; die Aufzählung erfolgt in absteigender Reihenfolge : Keramik mit Einschlüssen von Muschelkalk, glasierte Keramik, Steinzeug sowie kannelierte graue Irdenware. Die beiden wichtigsten Fazies weisen Formen auf, die denen der Produktion der Werkstätten von Metz Pontiffroy im 13.-15. Jh. nahestehen, insbesondere auf beiden Fundstätten identische „reich verzierte“ Krüge, Krüge und ein Tönnchen. Das Geschirr des Hofes von Laquenexy ähnelt dem der ländlichen Fundplätze derselben Periode, insbesondere der Fundplätze der Mosel Vitry-sur-Orne ZAC de la plaine und VR 52.Mehrere Metallobjekte können dem Getreide- und Weinanbau zugewiesen werden : ein Sichelfragment, ein kleiner Amboss für die Bearbeitung von Sensen, eine Hippe sowie Rebmesser. Die Entdeckung eines bleiernen, mit einer Lilie bekrönten Gütesiegels der Stadt Metz zeugt von den Handelsbeziehungen zwischen dem Hof und Metz.Der karpologische Korpus mit seinen 1403 Makroresten ist bezeichnend für die Landwirtschaft eines Hofes des 13.-15. Jh. 1344 Makroreste stammen von Getreide, d.h. 95,8 % der gesamten hoch-und spätmittelalterlichen Samenreste. Das häufigste Getreide ist der Triticum aestivum s.l./durum/turgidum, die Körner gehören wahrscheinlich alle zu Weizen oder Weichweizen Triticum aestivum s.l. Den zweiten Platz teilen sich der Hafer Avena spec. und Gerste Hordeum vulgare fo. vulgare. Die Hülsenfrüchte vereinigen 27 verkohlte Samen, d.h. nur 1,9 % des gesamten hoch- und spätmittelalterlichen Samenbestandes mit Futterwicke Vicia sativa agg., Erbse Pisum sativum, Linse Lens culinaris und Ackerbohne. Obstanbau ist selten, es wurden nur der Rest einer Pflaume oder Zwetschge Prunus domestica und der Schale einer Walnuss Juglans regia geborgen. Gesammelte Pflanzen sind nur durch das Fragment einer Haselnussschale Corylus avellana vertreten.Die Untersuchung der Fauna zeigt, dass das Rind im Viehbestand überwiegt (37,5 % de NMI), auf ihn folgen Ziege und/oder Schaf (25,01 %), Schwein/Wildschwein (21,88 %), Pferd (9,38 %), Haushuhn (3,13 %), Graugans (1,56 %) und Hund (1,56 %).In und um den landwirtschaftlichen Betrieb wurden Anzeichen von Gewaltanwendung verzeichnet. Zahlreiche Mauern weisen Spuren auf, die von einem oder mehreren Bränden zeugen. Die Entdeckung insbesondere eines Schwertes und eines Armbrustbolzen mag von einem bewaffneten Überfall auf den Hof zeugen. Diese Indizien können mit historischen Ereignissen dieser Zeit in Verbindung gebracht werden, ohne dass eines namentlich identifiziert worden wäre. Zum Beispiel haben der Graf Philipp von Nassau-Saarbrücken und seine Verbündeten während einer Expedition gegen die Familien der großen Metzer Finanziers eine gewisse Anzahl von Metzer Dörfern im Niedtal und insbesondere Villers-Laquenexy zerstört und niedergebrannt. Doch Ende des 15. Jh. und zu Beginn des 16. Jh. werden weitere Überfälle erwähnt. Zu diesem Kriegskontext kommt seit der zweiten Hälfte des 14. Jh. eine wirtschaftliche Rezession. Diese politische und wirtschaftliche Krisensituation läutet das Ende des isolierten Hofes von Laquenexy ein
Aléria – Mare Stagno
Le site romain de Mare Stagno se situe à 290 m au sud de la tour génoise dite de Diane, au centre du cordon de terre qui sépare l’étang de Diane de la mer et à quelques centaines de mètres de l’embouchure originelle de l’étang. À moins de 3 km de l’Aléria, ce terroir offrait de nombreuses possibilités agricoles et la proximité de la ville apportait une main-d’œuvre abondante et un marché actif. L’établissement est circonscrit et le bâtiment étudié atteint une surface totale de 650 m2. Les tec..
Une succession d’habitats ruraux médiévaux (VIe-XIIe siècle) sur la commune de Les Trois-Domaines (Lorraine, Meuse)
La découverte de vestiges d’habitats ruraux occupés sur une longue période, entre le VIe et le XIIe siècle, a été réalisée dans le cadre d’une fouille préventive menée en 2002 sur le tracé de la ligne LGV-Est dans le département de la Meuse. Cette installation médiévale, dégagée sur une surface d’environ un hectare, est circonscrite dans le bas de pente d’un vallon exploré sur une emprise totale de près de 4,5 ha et a révélé de nombreuses traces d’installations antérieures, depuis le Néolithique jusqu’à l’époque romaine. Le gisement médiéval comporte une vingtaine de bâtiments de morphologie très variée, ainsi qu’une centaine de fosses, des enclos fossoyés et un chemin. Des études de mobilier, associées à l’analyse de la faune et des graines carbonisées retrouvées sur le site, ont permis de cerner les principales activités agro-pastorales et domestiques de ses occupants.In 2002 rescue excavations on the track of the future high speed train line LGV-Est in the Meuse department, eastern France, led to the discovery of a medieval rural settlement, giving evidence of a long-lasting occupation during early and high medieval times (6th – 12th c. AD). This rural occupation, covering a total surface of about 1 hectare, was situated at the lower part of a slope leading to a small valley. In this valley 4,5 hectares were archaeologically surveyed by prospection trenches, giving evidence of human occupations dating from the Neolithic to Gallo-Roman times. The medieval occupation is evidenced by about 20 buildings, showing a wide range of different constructions, and by about hundred settlement pits, some trenched enclosures and a trackway. The study of the material culture and the analysis of archaeozoological and of carbonized archaeobotanical remains are revealing the domestic activities of the inhabitants and the agro-pastoral economy of the settlement. (J. Wiethold)Bei einer Notgrabung, die im Jahr 2002 auf der Trasse der künftigen Schnellbahnstrecke LGV-Est im Department Meuse in Ostfrankreich durchgeführt wurde, konnten umfangreiche Siedlungsreste des frühen und hohen Mittelalters (6-12. Jh. n. Chr.) freigelegt werden. Die Siedlung befand sich im Bereich des Unterhanges eines kleinen Tales und nahm rund einen Hektar Fläche ein. Das Tal wurde im Vorfeld der Bauarbeiten für die Schnellbahntrasse auf rund 4,5 Hektar archäologisch prospektiert. Dabei wurden auch zahlreiche ältere Besiedlungsspuren freigelegt, die aus einem aus einem Zeitraum vom Neolithikum bis zur Römerzeit stammen. Die mittelalterliche Besiedlung umfasste rund 20 Gebäude von sehr unterschiedlicher Konstruktionsweise (Pfostenbauten und Konstruktionen mit Fundamentgräbchen). Ferner konnten über hundert Gruben, einige Grabenanlagen und Einhegungen sowie ein Fahrweg freigelegt und dokumentiert werden. Die Auswertung des archäologischen Fundmaterials sowie die durchgeführten archäozoologischen und archäobotanischen Analysen gestatten es, das tägliche Leben in der Siedlung sowie die durch Ackerbau und Viehzucht geprägten Wirtschaftsgrundlagen zu rekonstruieren. (J. Wiethold
Une succession d’habitats ruraux médiévaux (VIe-XIIe siècle) sur la commune de Les Trois-Domaines (Lorraine, Meuse)
La découverte de vestiges d’habitats ruraux occupés sur une longue période, entre le VIe et le XIIe siècle, a été réalisée dans le cadre d’une fouille préventive menée en 2002 sur le tracé de la ligne LGV-Est dans le département de la Meuse. Cette installation médiévale, dégagée sur une surface d’environ un hectare, est circonscrite dans le bas de pente d’un vallon exploré sur une emprise totale de près de 4,5 ha et a révélé de nombreuses traces d’installations antérieures, depuis le Néolithique jusqu’à l’époque romaine. Le gisement médiéval comporte une vingtaine de bâtiments de morphologie très variée, ainsi qu’une centaine de fosses, des enclos fossoyés et un chemin. Des études de mobilier, associées à l’analyse de la faune et des graines carbonisées retrouvées sur le site, ont permis de cerner les principales activités agro-pastorales et domestiques de ses occupants.In 2002 rescue excavations on the track of the future high speed train line LGV-Est in the Meuse department, eastern France, led to the discovery of a medieval rural settlement, giving evidence of a long-lasting occupation during early and high medieval times (6th – 12th c. AD). This rural occupation, covering a total surface of about 1 hectare, was situated at the lower part of a slope leading to a small valley. In this valley 4,5 hectares were archaeologically surveyed by prospection trenches, giving evidence of human occupations dating from the Neolithic to Gallo-Roman times. The medieval occupation is evidenced by about 20 buildings, showing a wide range of different constructions, and by about hundred settlement pits, some trenched enclosures and a trackway. The study of the material culture and the analysis of archaeozoological and of carbonized archaeobotanical remains are revealing the domestic activities of the inhabitants and the agro-pastoral economy of the settlement. (J. Wiethold)Bei einer Notgrabung, die im Jahr 2002 auf der Trasse der künftigen Schnellbahnstrecke LGV-Est im Department Meuse in Ostfrankreich durchgeführt wurde, konnten umfangreiche Siedlungsreste des frühen und hohen Mittelalters (6-12. Jh. n. Chr.) freigelegt werden. Die Siedlung befand sich im Bereich des Unterhanges eines kleinen Tales und nahm rund einen Hektar Fläche ein. Das Tal wurde im Vorfeld der Bauarbeiten für die Schnellbahntrasse auf rund 4,5 Hektar archäologisch prospektiert. Dabei wurden auch zahlreiche ältere Besiedlungsspuren freigelegt, die aus einem aus einem Zeitraum vom Neolithikum bis zur Römerzeit stammen. Die mittelalterliche Besiedlung umfasste rund 20 Gebäude von sehr unterschiedlicher Konstruktionsweise (Pfostenbauten und Konstruktionen mit Fundamentgräbchen). Ferner konnten über hundert Gruben, einige Grabenanlagen und Einhegungen sowie ein Fahrweg freigelegt und dokumentiert werden. Die Auswertung des archäologischen Fundmaterials sowie die durchgeführten archäozoologischen und archäobotanischen Analysen gestatten es, das tägliche Leben in der Siedlung sowie die durch Ackerbau und Viehzucht geprägten Wirtschaftsgrundlagen zu rekonstruieren. (J. Wiethold
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