80 research outputs found

    Personalised learning: a familiar concept to secondary teachers? And which teachers?

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    This paper presents the main results of a questionnaire survey that sought to evaluate secondary school teachers’ familiarity with the notion of personalised learning and to relate it to personal, sociological and professional characteristics. The outcomes of this work are both an exploratory study aimed at defining more focused questions about the theme of personalisation, and the first tryout of the questionnaire designed to gather data. Although this was thus a preliminary study which did not lay claim to any more general scope, it still enables some hypotheses to be framed and examined in the light of the answers of 43 practitioners. The appendix provides the full questionnaire on personalisation, as distributed to participants.Peer reviewe

    Personalised learning: a familiar concept to teachers? And which teachers? - A questionnaire-based survey of 43 secondary school teachers

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    Verpoorten, D., Renson, J.-M., Westera, W., & Specht, M. (2009). Personalised learning: a familiar concept to teachers? And which teachers? - A questionnaire-based survey of 43 secondary school teachers. In S. Walker, M. Ryan, & R. Teed (Eds.), Proceedings of the e-learning @ Greenwich Conference (pp. 61-67). Greenwich, UK. Please see also http://dspace.ou.nl/handle/1820/2096This paper presents the main results of a questionnaire survey that sought to evaluate secondary school teachers’ familiarity with the notion of personalised learning and to relate it to personal, sociological and professional characteristics. The outcomes of this work are both an exploratory study aimed at defining more focused questions about the theme of personalisation, and the first tryout of the questionnaire designed to gather data. Although this was thus a preliminary study which did not lay claim to any more general scope, it still enables some hypotheses to be framed and examined in the light of the answers of 43 practitioners

    The fear and the end of the world according to the Buddhism

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    peer reviewedA partir des textes bouddhiques en pāli et en sanskrit, une brĂšve investigation est menĂ©e sur le peur dans le bouddhisme et sur la cause d’une peur universelle : la fin du monde. Dans ces textes, la peur est une des nombreuses composantes du psychisme humain, et –nous disent les textes du canon pāli- elle naĂźt du dĂ©sir et dĂ©coule de causes tantĂŽt morales (opinion erronĂ©e, solitude etc.), tantĂŽt concrĂštes (gourmandise, apparition d’un dĂ©mon etc.). MĂȘme les dieux la ressentent, ainsi lors du tremblement de terre qui accompagne la mort du Buddha. A l’approche de la mort, on pĂąlit, on frissonne ; les poils se hĂ©rissent. Seuls le Buddha et ses disciples sont sans peur (viƛārada), car ils sont maĂźtres d’eux-mĂȘmes. Ce sont eux qui effraient les forces mauvaises et sont un rempart contre elles. VoilĂ  pourquoi le Buddha recommande aux marchands qui redoutent les dangers prĂ©sents par ex. le long de la « route de la soie » d’invoquer les trois joyaux : le Buddha, sa communautĂ© et sa loi. Quant Ă  la fin du monde, elle intĂ©resse peu le Buddha, mais les Ă©crits canoniques lui font une place. La fin du monde c’est sa« rĂ©sorption» (saáčƒvaáč­áč­a) suite Ă  une catastrophe qui prend la forme soit d’un incendie, soit d’un dĂ©luge, soit d’un ouragan cosmiques. Buddhaghosa (5e s.de n.Ăš.), qui traite de la question dans son Visuddhimagga, situe ces Ă©vĂ©nements non pas dans l’avenir concret de l’humanitĂ© mais dans son passĂ© contemplĂ© par les moines en mĂ©ditation. AprĂšs s’ĂȘtre souvenu de ses propres naissances antĂ©rieures, ceux-ci remontent plus haut encore dans un temps sans dĂ©but et deviennent les tĂ©moins des multiples fins et recommencements du/des cosmos. La « rĂ©sorption » est annoncĂ©e 100.000 ans Ă  l’avance par les « cavaliers de l‘apocalypse » , des divinitĂ©s terrorisĂ©es (saáčƒvegajāta) qui parcourent le monde en annonçant les Ă©vĂ©nements Ă  venir. Puis l’incendie se dĂ©clare, produit par 7 soleils qui embrasent non seulement la terre, mais aussi les cieux les plus bas. Lors de la « recrĂ©ation » (vivaáč­áč­a) , les premiers ĂȘtres apparus vivent dans l’angoisse en raison de l’obscuritĂ© ambiante, laquelle ne se dissipera qu’ au lever de suriya, le disque solaire

    The verbal factor of the perception according to the MĂźmĂąmsĂą and the NyĂąya

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    peer reviewedA partir des dĂ©finitions de la perception selon le Nyāya (NyāyasĆ«tra 1 1 4) et laMÄ«māáčƒsā (MÄ«māáčƒsāsĆ«tra 1 1 4),on aborde un chapitre de la PrakaraƆapañcikā de ƚālikanātha(750-820), oĂč celui-ci discute du mot avyapadeƛa « non Ă©nonçable » utilisĂ© par ses prĂ©dĂ©cesseurs. Pour ce trio de penseurs, la question est : est-ce que la perception est l’apprĂ©hension d’un objet prĂ©alablement Ă  toute nomination ou bien la nomination est-elle indispensable Ă  une perception correcte. Pour les logiciens du nyāya, le mot crĂ©e la connaissance de l’objet mĂȘme sans le modifier matĂ©riellement et l’objet n’est pas reconnu sans ĂȘtre Ă©nonçable (avyapadeƛya) . Selon le penseur Vācaspatimiƛra (an mil) avyapadeƛya indique que la perception Ă©chappe Ă  la sphĂšre conceptuelle et accĂšde aux objets abstraction faite de leurs noms, qu’en d’autres mots, elle opĂšre avec des matĂ©riaux extramentaux cĂ d non construits par l’esprit En revanche le grammairien Bhartáč›hari dĂ©clare que le prĂ©conceptuel n’est pas dĂ©pourvu de noms et que la connaissance dĂ©coule du contact objet-sens du mot. Un troisiĂšme intervenant prĂȘche pour la combinaison d’un apport extĂ©rieur et d’un nom. La mĂȘme problĂ©matique se retrouve chez Jayantabhaáč­áč­a , au livre 2 de la NyāyamañjarÄ«, oĂč un dĂ©bat long et filandreux met aux prises les « Anciens logiciens », les « MaĂźtres » (Ācārya’s), les « InterprĂštes » (Vyākhyātáč›â€™s), un « Adversaire » (Para), un « Autre » (Apara) et « d’Autres » (Anye = les Bouddhistes). Tous ont leur mot Ă  dire dans un dĂ©bat sans guĂšre de fil conducteur et qui Ă©choue Ă  trancher la question fondamentale : la perception est-elle diffĂ©rente de la sensation

    Terminology of the Sacred in the Vedic Ritual Litérature

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    peer reviewedCette littĂ©rature rituelle, tant dans ses Ɠuvres mytho-spĂ©culatives (brāhmaƆa’s) que techniques (ƛrautasĆ«tra’s), apparaĂźt au lecteur comme imprĂ©gnĂ©e de magie plutĂŽt que de sacrĂ©. Les dieux sont lĂ , mais privĂ©s de leurs attributs d’éternitĂ© et de toute puissance et ils ne se diffĂ©rencient des hommes pue par leur rĂ©sidence (le ciel) et quelques mots particuliers. Leur chef, Prajāpati, le « MaĂźtre des crĂ©atures » est secondĂ© de Vāc et de Brahman, la « Parole » toute puissante. Brahman est destinĂ© Ă  faire couple avec ātman, le « Soi ». Le sacrifice emprunte des modes d’action au monde profane et les fait servir au fonctionnement sans accroc de ce dernier. Ainsi, ceux qui participent au sacrifice subissent une initiation qui les rend « deux-fois nĂ©s » et, pour cela , ils doivent se tenir dans la position d’embryons. Mais ils doivent aussi faire montre de « foi » (ƛraddhā) et pratiquer une asĂšse qui produit une chaleur interne propice Ă  l’Ɠuvre sainte Au sein des rites certaines entitĂ©s apparaissent chargĂ©es de sacralitĂ© : la nourriture, la continuitĂ©, le reste qui la rend possible. Tout en imitant la rĂ©alitĂ©, le sacrifice est tout autre qu’elle ; il est de nature divine, organise l’espace et le temps, c’est-Ă -dire toute chose. Il mĂ©nage en son sein un espace pour le mystĂšre et le silence, mais il ne fait aucune place ni Ă  ceux qui sont dehors ni Ă  une personne aimante comme le Christ

    The Scribe in India: a Subordinate Function

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    peer reviewedL’Inde brahmanique a privilĂ©giĂ© la transmission orale du savoir par mĂ©morisation plutĂŽt que l’écriture. A ses jeunes Ă©lĂšves, le maĂźtre faisait mĂ©moriser en entier par ex. les 1018 hymnes du Ɩgveda dans plusieurs formes de rĂ©citation. La prodigieuse mĂ©moire ainsi acquise faisait l’admiration des chinois. En revanche le systĂšme a retardĂ© le dĂ©veloppement de l’écrit et explique le peu d’estime dont ont joui, aux origines, ceux dont la fonction est d’écrire. Les noms pour le scribe, soit lekhaka, lipikara et karaƆa, sont tirĂ©s des racines LIKH et LI(M)P qui connotent les actes de « gratter, blesser » pour la premiĂšre, d’ « enduire, barbouiller, salir » pour la seconde. Dans le premiĂšre moitiĂ© du 1er millĂ©naire, l’écriture commence Ă  ĂȘtre apprĂ©ciĂ©e , notamment par les bouddhistes du Cachemire qui se lancĂšrent avec frĂ©nĂ©sie dans la rĂ©daction de traitĂ©s dogmatiques et de rĂ©glements monastiques dont la mise par Ă©crit Ă©tait indispensable. Les manuscrits sur feuilles de palmier se multiplient. A la cour royale fonctionne un scribe dont le matĂ©riel –livre (pustaka), plume (kalama), encre (masÄ«, mela)- est nommĂ© Ă  l’aide des termes d’origine Ă©trangĂšre. Ce fonctionnaire sait lire et ne peut se permettre d’écrire sans charme (akānti). MalgrĂ© l’attachement de l’intelligentsia brahmanique Ă  l’oral, la caste des scribes (kāyastha) gagnera en prestige et se rendra indispensable. On verra mĂȘme certains de ses membres rĂ©clamer devant les tribunaux un statut Ă©quivalent Ă  celui des trois classes supĂ©rieures

    K. Satchidananda Murty, Philosophy in India. Traditions, Teaching and Research

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    Verpoorten Jean-Marie. K. Satchidananda Murty, Philosophy in India. Traditions, Teaching and Research. In: Revue Philosophique de Louvain. QuatriÚme série, tome 86, n°69, 1988. pp. 119-120

    Donceel (R.) et Lebrun (R.) edd. Archéologie et religions de l'Anatolie ancienne. Mélanges en l'honneur du Professeur Paul Naster.

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    Verpoorten Jean-Marie. Donceel (R.) et Lebrun (R.) edd. Archéologie et religions de l'Anatolie ancienne. Mélanges en l'honneur du Professeur Paul Naster. . In: Revue belge de philologie et d'histoire, tome 65, fasc. 1, 1987. Antiquité - Oudheid. pp. 149-150

    The simile of the stick and the stick carrier in the ShĂąbarabhĂąshya

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    peer reviewedLa rĂšgle (nyāya) du porteur de bĂąton (daƆᾍin) n’est pas inconnue du ƚābarabhāáčŁya. Elle y est mentionnĂ©e dans des contextes de dĂ©bat rituel oĂč son rĂŽle explicatif n’est pas facile Ă  Ă©lucider. DaƆᾍin semble avoir Ă©tĂ© choisi comme exemple Ă  cause de sa limpiditĂ© Ă©tymologique. Ainsi, dans le commentaire de Patañjali Ă  la rĂšgle de PāƆini 8 2 83, il est rapprochĂ© de sthālin « porteur d’écuelles » synonyme d’homme de basse condition au salut duquel quelqu’un de bien nĂ© ne rĂ©pond pas en allongeant pas le i du mot sthālin, comme il convient quand on veut montrer du respect. Dans le ƚābara-bh., c’est dans la discussion sur la dĂ©notation des mots que daƆᾍin apparaĂźt. Il dĂ©signe par son suffixe-in le porteur d’un bĂąton (daƆᾍa). Entre les deux Ă©lĂ©ments, il y a –dirait le penseur amĂ©ricain, Ch.S.Peirce- un rapport Ă©vident d’indice Ă  chose indiquĂ©e. Ce rapport indiciel ne doit pas ĂȘtre confondu, nous dit le mĂȘme Ch.S.Peirce - ni avec le rapport « iconique » qui vaut par ex. entre l’oiseau ƛyena et sa reproduction en briques qui sert d’autel lors d’un rite vĂ©dique -ni avec un rapport linguistique qui vaut entre le mot go « bovin » et tel animal, car le mot n’est ni indice, ni image mais un symbole. Ce rapport est sui generis ; il est celui d’une forme gĂ©nĂ©rique (ākáč›ti), laquelle ne se reflĂšte pas nĂ©cessairement dans le nom des individus porteurs de cette forme. Plus loin dans son Ɠuvre ƚabara se demande ce que dĂ©note le mot ciel (svarga). Est-ce le bonheur en gĂ©nĂ©ral ou des petits bonheurs particuliers comme un bon vĂȘtement, un bon parfum etc. ? Pour son interlocuteur, le « ciel » ne dĂ©note que le cĂŽtĂ© agrĂ©able de diverses choses, tout comme daƆᾍin ne renvoie qu’à l’homme et non Ă  son bĂąton En ƚābarabhāáčŁya 3 1 12, on enjoint d’acheter le soma rituel en Ă©change d’ une (vache) rousse ..Cette phrase est trop dĂ©taillĂ©e et risque d’ĂȘtre invalide par dispersion du sens sur trop de mots Pour Ă©carter ce danger, on dĂ©clare que « rousse » suffit Ă  dĂ©noter une vache tout comme le bĂąton (daƆᾍa)renvoie inĂ©vitablement Ă  son porteur (daƆᾍin). En ƚābarabh. 4 2 18 enfin, on remet un bĂąton Ă  un certain prĂȘtre. Soit ce dernier le jetera aux dĂ©tritus et le bĂąton perdre son statut de chose principale ; soit l’officiant le gardera et, dans la phrase qui Ă©nonce le fait, le nom du prĂȘtre au datif devient grammaticalement plus important que le nom du bĂąton Ă  l’accusatif. Ce qui inverse la hiĂ©rarchie normale des cas

    Wonder births in Buddhism : conception and birth of the Buddha and of Temiya

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    peer reviewedPersonnage d’exception, le Buddha a Ă©tĂ© dotĂ© par la lĂ©gende pieuse d’un dĂ©but de vie extraordinaire. Sa conception et sa naissance sont racontĂ©es dans plusieurs Ɠuvres du canon bouddhique et dans diverses biographies extracanoniques. Selon la plus fameuse de celles-ci, le Buddhacarita d’AƛvaghoáčŁa (2e s. de n.Ăš.), le mĂšre du Buddha, la reine Māyā, vit en songe son fils descendre dans son sein sous la forme d’un Ă©lĂ©phant Ă  six dĂ©fenses. Il descendait ainsi du ciel des « dieux satisfaits » (tuáčŁita). On trouve une reprĂ©sentation figurĂ©e de l’évĂ©nement dans un bas-relief de Barhut (Inde centrale) datable du 2e s. av.n.Ăš, tandis qu’au temple de Borobudur (Java, 6e s. de n.Ăš.) la scĂšne le reprĂ©sente remettant sa couronne au Buddha du futur, Maitreya, avant de s’incarner La conception du Buddha Ă©chappe donc Ă  toute intervention humaine, en particulier Ă  celle du roi ƚuddhodana, le mari de Māyā. Nous avons affaire Ă  une « immaculĂ©e conception ». La naissance du Buddha est nommĂ©e opāpattika, « apparitionnelle », c’est-Ă -dire « virginale » comme doit l’ĂȘtre une naissance divine. C’est pour cela que Māyā accouche loin du roi et du palais royal, en pleine nature, en compagnie de sa sƓur GautamÄ«. Celle-ci deviendra la mĂšre nourriciĂšre de l’enfant aprĂšs le dĂ©cĂšs de MĂąyĂą trĂšs tĂŽt aprĂšs la naissance. Il convient en effet que le Buddha reste un enfant unique. La naissance est reprĂ©sentĂ©e sur 2 bas-reliefs . L’un est indo-grec et provient du Gandhara (aujourd’hui rĂ©gion du Pakistan). L’autre est de NĂągĂąrjunakoƆᾍa en Inde du sud. Le premier est iconique et reprĂ©sente le buddha comme un bĂ©bĂ© humain sortant du flanc de sa mĂšre et accueilli par des divinitĂ©s ; le second est aniconique et le Buddha y figure symboliquement sous forme d’un parasol royal. La seconde naissance miraculeuse est celle de Temiya. Il fait partie de ceux que la littĂ©rature bouddhique prĂ©sente comme revivant, parfois jusque dans les moindres dĂ©tails, la vie du Buddha. Fils improbable d’un roi impuissant malgrĂ© ses milliers d’épouses, Temiya est le fils unique (comme Buddha) de la reine CāndadevÄ« dont l’ascĂšse mĂ©ditative flĂ©chit le dieu Sakka.. Mais Temiya-enfant qu’elle met au monde de façon virginale (comme Māyā) –ne veut pas d’un destin royal. Il simule donc un Ă©tat vĂ©gĂ©tatif absolu, si bien que le roi -son pĂšre putatif- dĂ©cide de l’enterrer vivant. Mais sur le point de mourir, l’enfant abandonne son jeu et dĂ©clare qu’il veut embrasser l’état monastique, Ă  l’instar du Buddha, son pĂšre spirituel
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