Controle genetique et regulation de l'expression du repertoire des cellules T specifiques de l'haptene para-azophenylarsonate

SIGLECNRS T Bordereau / INIST-CNRS - Institut de l'Information Scientifique et TechniqueFRFranc

The primary cellular immune responses to B. pertussis antigens in infants

info:eu-repo/semantics/nonPublishe

Depletion of CD25+ regulatory cells uncovers immune responses to shared murine tumor rejection antigens

Although it is known that the immune system can mount responses to a variety of tumors it is clear that most tumors exhibit weak or even undetectable immunogenicity. Recent findings suggest that the lack of tumor immunogenicity is partly due to a population of cells called CD4+CD25+ regulatory T cells since depletion of these cells in mice can result in tumor rejection.These cells have also been shown to inhibit the development of organ-specific autoimmune diseases suggesting that they inhibit immune responses to tissue-specific self-antigens. Such immune responses may also mediate tumor rejection. Alternatively, immune responses in mice depleted of regulatory cells may target tumor antigens that are not tissue-specific, but which are shared by tumors of diverse origins. In experiments performed to discriminate between these possibilities we found, using the murine colorectal tumor CT26, that tumor immunity stimulated in the absence of regulatory cells is not restricted to tumors of colorectal origin, but is effective against tumors of different histological types such as B cell lymphomas and a renal cell carcinoma. By comparing this to CT26-induced immunity through the use of adjuvant we show that the generation of cross-reactive tumor immunity is a specific manifestation of CD25+ regulatory cell depletion. The generation of CD4+T cells capable of mediating tumor rejection is another important feature of tumor immunity induced in the absence of CD25+ cells

Les formes de l'échange

La communication, entendue à la fois comme l’établissement d’une relation interpersonnelle et un système de transmission d’informations, intéresse l’histoire des régulations sociales. Elle présente deux caractéristiques importantes pendant la longue période qui va de l’Antiquité au XVIIIe siècle : les langues n’y étaient pas encore des marqueurs d’identités nationales et, en ces siècles où le télégraphe, le téléphone et l’Internet n’existaient pas, la diffusion de toute information demeurait tributaire de la distance et de la lenteur des moyens de transport. Pour étudier la manière dont les individus se sont parlé et dont des institutions comme l’État et l’Église ont échangé des renseignements et des informations, deux thèmes ont retenu l’attention des auteurs de ce recueil : l’usage de la langue comme mode de régulation sociale, et la question des processus de communication et de diffusion de l’information. L’usage de la langue ne concerne pas les seuls linguistes. L’intérêt porté récemment aux transfuges, aux « renégats » et aux intermédiaires a incité des historiens à étudier les pidgins et les métissages linguistiques. Ce renouvellement de la recherche permet de privilégier ici trois questions : le rapport entre langue et identité, la langue que les missionnaires devaient utiliser à l’époque médiévale pour convertir, et l’histoire singulière des langues savantes ou imaginaires porteuses de rêves d’universalité. La « circulation de l’information », concept commode mais discutable, car l’information n’est pas un objet que l’on déplace, peut être comprise comme un processus de communication. Sensibles à son importance dans la vie politique, commerciale et culturelle, les historiens en font aujourd’hui un objet d’étude. Dans ce volume, ils mettent l’accent sur les vecteurs de diffusion de l’information (courriers officiels, journaux intimes, périodiques), sur la manière dont l’Église et des ordres religieux utilisèrent - et manipulèrent - l’information, et sur les moyens dont disposaient les gouvernements et les civils pour obtenir des renseignements en temps de guerre