18 research outputs found

    Variations des taux des protéines sériques lors des infestations helminthiques chez les mammifères

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    On peut dire que le dosage des protéines sériques totales est difficilement interprétable. En revanche le dosage fractionné des divers éléments protéiques par électrophorèse par exemple, pourra être utile pour expliquer la pathogénie de certaines maladies parasitaires. En particulier, les signes d'œdème observés chez les animaux malades, dus à la diminution du taux d'albumine donc de la pression oncotique

    Localisation des parasites dans l'estomac du cheval de la région de Settat (Maroc)

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    L'examen de quatre-vingt-seize estomacs de chevaux originaires de la région de Settat (Maroc) a été réalisé d'octobre 1977 à septembre 1978. Chaque espèce parasitaire présente une niche particulière dans l'estomac. Ainsi Gasterophilus intestinalis est localisé essentiellement sur la muqueuse osophagienne de l'estomac et Gasterophilus nasalis sur la muqueuse pylorique Trichostrongylus axei est particulièrement rencontré sur la muqueuse fundique et Habronema spp. sur la muqueuse pylorique. En règle générale, les densités élevées d'un genre parasite provoquent une extension de sa niche écologique au contraire les densités élevées des autres genres concurrents imposent un retrait vers la niche habituell

    Etude épidémiologique de certaines parasitoses du mouton au Maroc atlantique par utilisation de la méthode des "animaux traceurs"

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    Une étude qualitative et quantitative du profil parasitaire du mouton a été menée à la station zootechnique de la recherche agronomique d'El Koudia (région de Rabat). Trente agneaux sont utilisés comme révélateurs de parasitisme ("animaux traceurs"). De mai 1979 à mai 1980, 2 ou 3 agneaux par mois sont introduits dans le troupeau évoluant sur pâturage. Ils y restent de 30 à 45 jours puis sont retirés et gardés en bergerie 4 semaines avant d'être sacrifiés. Tous les parasites internes (helminthes et ostres) sont récoltés, comptés et identifiés. Sont rencontrés: - dans la caillette: Ostertagia spp., Trichostrongylus axei et Haemonchus contortus, - dans l'intestin grêle: Moniezia benedeni, Moniezia expansa, Nematodirus spp., Trichostrongylus spp., Bunostomum trigonocephalum, - dans le gros intestin: Oesophagostomum venulosum, Trichuris spp., - et dans les cavités nasales et les sinus: Oestrus ovis. L'incidence saisonnière des parasites de la caillette montre un maximum d'infestation en hiver et au printemps et une absence de parasites en été; les trichostrongylidés parasites de l'intestin grêle suivent grossièrement la même évolution. La détermination du poids et du nombre de Moniezia spp. fait ressortir une monieziose en hiver et au printemps. Le gros intestin s'avère peu parasité. Enfin l'hiver seul semble être une saison défavorable à l'infestation par Oestrus ovi

    Knowledge, attitudes and practices with regard to the presence, transmission, impact, and control of cystic echinococcosis in Sidi Kacem Province, Morocco

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    BACKGROUND: This study is a component of a large research project on five major neglected zoonotic diseases (NZDs) including cystic echinococcosis and was undertaken in the Province of Sidi Kacem over a period of four years (April 2009-March 2013). METHODS: Questionnaires were administered at community level in a total of 27 communes and visits were made to all of the 10 abattoirs situated in the Province, to collect qualitative data on determinants of transmission for disease in humans and animals. More specifically, community knowledge, attitudes and practices related to cystic echinococcosis were assessed, as well as the extent to which local customs and behaviours may promote transmission. Abattoir infrastructure and practices, and their role in perpetuating disease transmission were also critically evaluated. RESULTS: The results show that only 50 % of people have heard of the disease, and of those, only 21 % are aware of the dog’s role in disease transmission. Sixty-seven per cent of respondents stated that dogs are fed ruminant organs deemed unfit for human consumption. Owned dogs have access to the family home, including the kitchen, in 39 % of households. The extent of this close proximity between humans and animals is even more pertinent when one considers that dogs are omnipresent in the community, with an average of 1.8 dogs owned per household. The unrestricted access of dogs to abattoirs is a huge issue, which further promotes disease transmission. CONCLUSION: This study would suggest that the high prevalence of cystic echinococcosis in humans and animals in Morocco is largely due to three factors: 1) abundance of dogs 2) engagement in risky behaviour of the local population and 3) poor abattoir infrastructure and practices. This has serious implications in terms of the socio-economic impact of the disease, especially for rural poor communities. ELECTRONIC SUPPLEMENTARY MATERIAL: The online version of this article (doi:10.1186/s40249-015-0082-9) contains supplementary material, which is available to authorized users

    Parasites of donkeys in Africa

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