28 research outputs found

    Etude de syndromes encéphalitiques au Népal pendant l'été 2010

    No full text
    LYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    Mise en place d'un laboratoire de virologie dans un pays en voie de développement

    No full text
    LYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    Les papillomavirus et le cancer du col de l'utérus

    No full text
    LYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    La prévalence des papillomavirus humains (HPV) chez les patientes présentant une lésion néoplasique intra épithéliale cervicale de type 2 (CIN 2) et l'évolution clinique (étude au CHU de Lyon)

    No full text
    Les lésions CIN 2 sont des lésions intermédiaires entre les lésions de haut grade pouvant évoluer vers un cancer et les lésions CIN 1. Le but de notre travail est donc d'étudier les caractéristiques des lésions CIN 2 et de savoir quels sont les HPV associés à ces lésions chez les patientes dépistées et suivies aux HCL. Dans un premier temps, nous avons passé en revue la prévalence des HPV, les différents types de lésions, les moyens de dépistage ainsi que les vaccins disponibles. Puis dans un deuxième temps nous avons décrit les caractéristiques de notre population générale. Puis dans un troisième temps nous nous sommes concentrés sur les CIN 2, en étudiant l'incidence, l'évolution des infections des CIN 2 et leur traitement. Nos résultats nous ont permis de montrer la prévalence élevée de certains HPV 16, 31, 51 et 53 alors que l'HPV 18 qui est souvent associé à l'HPV 16 dans le cancer du col est peu représenté dans notre population (Sème position). Notre étude a aussi montré l'intérêt de la prise en charge rapide des femmes CIN 2 pour éviter une progression vers un cancer du col de 1'utérus et préserver la fonction du col surtout chez les patientes en âge de procréation. Devant la forte prévalence des HPV 31,51 et 53 il serait intéressant de se pencher sur l'étude de la diminution du cancer du col par l'élaboration d'un nouveau vaccin contenant les HPV 16, 18, 31, 51, 53 et autres.LYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    Recherche de rhinovirus céphalo-rachidien de patients hospitalisés en automne 2011

    No full text
    Les rhinovirus sont connus depuis très longtemps et sont considérés comme les principaux agents du rhume. Pendant longtemps, on a pensé qu'ils se multipliaient exclusivement dans le tractus respiratoire supérieur. Or, le développement des techniques de diagnostic par biologie moléculaire a permis de démontrer leur rôle dans des infections respiratoires basses beaucoup plus sévères. L'essor de la biologie moléculaire a amené certains biologistes à les rechercher dans des prélèvements extrarespiratoires. Du matériel génétique viral a ainsi été retrouvé dans des urines, des selles, du plasma et du liquide péricardique. Ces études laissent penser à une dissémination virale beaucoup plus large et démontrent que la physiopathogénie des rhinovirus est encore loin d'être totalement décrite. Au cours de l'année 2011, deux pics de tableaux de méningites virales ont eu lieu. Un en été qui était dû à des entérovirus et un autre en automne, au cours duquel on ne retrouvait pas beaucoup d'entérovirus et où les rhinovirus circulaient beaucoup. L'objectif de notre étude a donc été de rechercher au cours de cette période la présence de rhinovirus dans des prélèvements de liquide céphalo-rachidien reçus au laboratoire afin de savoir si les rhinovirus auraient pu être responsables des tableaux de méningites observés. Notre étude a été menée sur des prélèvements de liquide céphalo-rachidien de patients hospitalisés dans différents hôpitaux de Lyon pendant une période de forte circulation de rhinovirus: du 12 septembre au 30 octobre 2011. Nous avons finalement analysés 213 prélèvements appartenant à 204 patients. Aucun rhinovirus n'a été retrouvé dans les liquides céphalo-rachidiens étudiés. Les rhinovirus ne sont donc pas à l'origine du pic de tableaux de méningites observés en automne 2011LYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    Virus influenza et mécanismes d'émergence des souches pandémiques

    No full text
    LYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    Actualités sur l'épidémie de dengue en Martinique

    No full text
    La dengue est une arbovirose transmise par des moustiques du genre Aedes. Dans les cinquante dernières années, son incidence a été multipliée par 30, avec une extension géographique à de nouveaux pays. Environ 2,5 milliards d'individus vivent en zone endémique et on estime à 50 millions le nombre d'infections annuelles, dont 1% de formes hémorragiques, avec 30 000 décès, surtout des enfants. Les symptômes vont d'un syndrome fébrile bénin à une forte fièvre incapacitante avec éruption, céphalées intenses et douleurs rétro-orbitaires, musculaires et articulaires. La dengue hémorragique (fièvre, douleurs abdominales, vomissements, hémorragie) est une complication potentiellement mortelle qui touche principalement les enfants. Sur le plan épidémiologique, tous les continents sont actuellement concernés et plus particulièrement l'Amérique latine et l'Asie. Elle sévit sur un mode endémo-épidémique dans les régions tropicales et subtropicales où elle constitue un problème majeur de santé publique. Depuis plusieurs décennies, la dengue est en progression constante dans les départements français d'Amérique, avec des poussées épidémiques répétées et une augmentation significative du nombre de cas dans ces trois départements incluant la Martinique. A l'heure actuelle, bien que plusieurs candidats soient en cours d'étude, il n'existe de vaccin sur le marché ni d'antiviraux spécifiques contre la dengue. La prévention repose sur la protection individuelle contre les piqûres et le contrôle des populations de moustiques (lutte anti-vectorielle)LYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    Rôle des rhinovirus de l'espèce C dans les infections respiratoires sévères à rhinovirus

    No full text
    Les rhinovirus (HRV) sont l'une des principales causes d'infections respiratoires. Bien que classiquement associés aux rhumes, ils sont également responsables de pathologies plus sévères affectant les voies respiratoires basses (bronchiolites, exacerbations d'asthme ... ). Il existe plus de 140 sérotypes de rhinovirus, classés en 3 espèces : A, B et C ; cette dernière espèce ayant été découverte récemment. Plusieurs cas d'infections sévères associées à des HRV-C ont été rapportés et cette étude, prospective, avait pour objectif de définir l'existence ou non d'un lien entre l'espèce d'HRV et la sévérité clinique. Pour ce faire, 104 HRV détectés entre septembre 2011 et mai 2012, chez des patients hospitalisés dans les différents services de réanimation des Hospices Civils de Lyon ont été génotypés et les données cliniques associées analysées. Ceux-ci provenaient en majorité d'enfants (72). Un groupe contrôle de cette population a été constitué avec 70 HRV détectés au cours de la même période chez des enfants hospitalisés dans des services classiques. Parmi les 104 HRV typés, il a été retrouvé, 62 HRV-A, 7 HRV-B et 35 HRV-C. Un total de 57 sérotypes ou génotypes différents ont été identifiés sur la période de l'étude. Les HRV-A ont été retrouvés plus fréquemment au printemps qu'à l'automne (73.7% contre 40.7%). Les HRV-C ont été plus souvent retrouvés chez les enfants que chez les adultes. Aucune association significative sur le plan statistique entre une espèce d'HRV et la sévérité de l'infection n'a été mise en évidence. Cependant un certain nombre de tableaux respiratoires sévères sans autre étiologie que le HRV ont pu être décrits. Dans notre étude, les HRV ont été associés à des infections respiratoires sévères pouvant conduire les patients en réanimation. Cependant, les HRV-C n'apparaissent pas plus responsables d'infections sévères que les autres HRV. Ils ont cependant été détectés de façon plus fréquente chez les enfants que chez les adultes. Cette tendance demande à être confirmée par des études de plus grande envergure.LYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF
    corecore