143 research outputs found

    Lyon (9e) – 10 rue du Docteur-Rafin

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    Dans cette propriété, un tronçon d’aqueduc a fait l’objet d’une opération de relevés archéologiques. Le canal est visible en coupe nord sud dans la pente de la balme. La canalisation, orientée nord nord-ouest, est observable sur 8 m de long vers le sud/sud-est ; au-delà, elle est comblée. Son prolongement vers le nord a disparu lors de l’effondrement partiel de la balme à une date inconnue. Le canal entre l’intrados de la voûte et le radier atteint 1,08 m. La largeur à la base du canal est de..

    Atlas topographique de Lyon antique

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    L’atlas topographique de Lyon antique est réalisé depuis 2001 dans le cadre d’un projet collectif de recherche (PCR), qui est rattaché à l’UMR 5138, ArAr : équipe 1, « Ville et territoire : de l’oppidum à la colonie » et à l’axe de recherche 2 : « Colonies, chefs-lieux et agglomérations ». Le groupe de recherche comprend aujourd’hui plus de 30 chercheurs relevant des diverses institutions archéologiques impliquées dans l’archéologie lyonnaise. L’emprise urbanisée de la ville antique, environ ..

    Atlas topographique de Lyon

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    Le découpage du territoire, mis en place en 2001, a été prévu, de manière à prendre en compte les différentes périodes chronologiques de l’évolution topographique de la ville (232 feuilles). Pour ce qui concerne uniquement l’Atlas topographique de Lugdunum, il faut estimer ce dernier à une soixantaine de feuilles au 1/1000e, regroupant les secteurs de Fourvière, la Presqu’île, les pentes de la Croix Rousse et une partie de la Guillotière et de Vaise, ce qui correspond sommairement à l’étendue..

    Atlas topographique de Lyon antique

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    Le PCR Atlas topographique de Lyon antique est mis en œuvre depuis 2001, selon les normes et la méthodologie initiées par et pour les atlas topographiques des villes de Gaule méridionale. Au cours des douze années d’existence du programme de recherche, 72 feuilles d’atlas, couvrant l’intégralité de la ville antique et une partie de son suburbium, ont été réalisées : rédaction des notices, des interprétations provisoires et des cartographies au 1/1000e des planches de l’atlas.L’opération 2012..

    Atlas topographique Lyon antique

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    Le projet collectif de recherche « Atlas topographique de Lyon antique » a atteint fin 2013 sa treizième année de fonctionnement. Rattaché à l’UMR 5138, le groupe de recherche comprend 30 chercheurs appartenant aux diverses institutions archéologiques impliquées dans l’archéologie lyonnaise : Ville de Lyon, Inrap, Conseil général du Rhône, Université, CNRS, opérateurs privés, Ministère de la Culture, chercheurs bénévoles. Depuis 2001, 72 feuilles d’atlas ont été mises en œuvre. Chaque feuille..

    Les vestiges antiques de l’Angélique à Lyon 5e

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    Parmi les nombreux édifices antiques encore en élévation à Lyon, l’Angélique est sans doute le plus méconnu. Souvent mentionnés dans la littérature, les vestiges ont d’abord été interprétés comme un ergastule, un temple et enfin comme le château d’eau terminal de l’aqueduc du Gier. À l’occasion d’une récente campagne de restauration par les Monuments historiques, des relevés et des sondages archéologiques ont été réalisés. Si à l’issue de ces travaux, l’édifice antique est mieux caractérisé, il ne peut plus être défini comme un château d’eau, mais son interprétation demeure incertaine. Il semble vraisemblable que les vestiges puissent être attribués à deux édifices antiques distincts : l’un supporté par des voûtes pourrait être lié à un usage hydraulique et l’autre, constitué par les élévations encore aujourd’hui visibles, serait un bâtiment public d’usage indéterminé.Among the numerous Antique edifices still standing in Lyon, the Angélique is the least well known. Often mentioned in the literature, its remains were first interpreted as an ergastulum, a temple, and then a terminal water tower of the Gier aqueduct. During a recent restoration of the edifice by the department of Monuments Historiques, plans and archaeological test pits were made. Though following this work, the edifice is better known, it can no longer be defined as a water tower, and its interpretation remains uncertain. The remains probably belong to two distinct Antique edifices : one supported by arches could be related to a hydraulic function, while the other, composed of still visible standing parts, could be a public building with an unknown function.Von den zahlreichen noch stehenden antiken Bauwerken Lyons ist die Angélique zweifellos das verkannteste. Die in der Literatur oft erwähnten Überreste wurden zunächst als ein ergastulum interpretiert, als Tempel und schließlich als castellum des Aqueduc du Gier. Anlässlich einer kürzlich vom Amt für Denkmalpflege durchgeführten Restaurierungskampagne wurden Bauaufnahmen und archäologische Sondagen durchgeführt. Zwar verstehen wir das Bauwerk nun besser und die Deutung als castellum ist widerlegt, doch die Interpretation bleibt weiterhin ungewiss. Es liegt nahe, dass die Überreste zu zwei unterschiedlichen antiken Bauwerken gehören : das eine Bauwerk mit Stützgewölben könnte eine hydraulische Funktion gehabt haben, bei dem anderen, von dem noch Mauerfragmente sichtbar sind, könnte es sich um ein öffentliches Gebäude mit unbestimmter Funktion handeln

    Organisation du territoire de <i>Lugdunum</i> : Ă©tat des recherches

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    International audienc

    Atlas topographique de Lyon antique

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    Identifiant de l'opération archéologique : 10020 Date de l'opération : 2008 - 2009 (PC) L'Atlas topographique de Lyon antique, mis en oeuvre en 2001 dans le cadre d'un PCR est composé d'une vingtaine de chercheurs d'institutions diverses (INRAP, CNRS, Ville de Lyon, Université enseignants - étudiants département du Rhône - DRAC-SRA, conservateurs du patrimoine, musées, etc.). L'atlas est réalisé selon les normes et la méthodologie initiées par et pour les atlas topographiques des villes de Ga..

    Un atelier de potier du Ier siècle, rue Cottin à Vaise, Lyon 9e

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    Les vestiges ont été découverts en septembre 2000, rue Cottin, Lyon 9e, lors des terrassements préalables à la réalisation d’un immeuble. À proximité immédiate, rue du Chapeau Rouge, une autre fouille préventive avait mis au jour une nécropole, un atelier de potier et la voie de l’Océan et du Rhin, datés du Ier siècle après J.-C. Les vestiges de la rue Cottin correspondent à plusieurs périodes chronologiques : deux fosses renfermaient du mobilier céramique du Bronze final I/IIa, tandis que les autres témoins archéologiques appartiennent à l’Antiquité : une tombe bûcher et des structures liées à un atelier de potier. Un four circulaire et six dépotoirs comblés de céramiques ont été fouillés. La production de l’atelier comprend en majorité de la céramique commune à pâte siliceuse (83 % de la production) et de la commune claire à pâte calcaire (9 % de la production). La céramique fine, à l’exception d’un type particulier de pot recouvert d’un engobe, ne semble pas provenir de cette partie de l’atelier. L’activité de l’officine se situe autour du milieu du premier siècle après J.-C.The vestiges were discovered in September 2000, in the rue Cottin, in Lyon’s 9th district, during excavation works carried out prior to the construction of a building. Close by, in the rue du Chapeau Rouge, a necropolis, a potter’s workshop and the Ocean and Rhine way, dating from the 1st century AD, were discovered during other excavation works. The rue Cottin vestiges date back to several chronological periods – two pits held ceramics from the late Bronze Age 1/2a – whereas the other archaeological finds date back to Antiquity – a pyre and structures linked to a potter’s workshop. A circular kiln and six dumps filled with ceramics have been excavated. The workshop’s production consists mainly of common ceramics made of siliceous paste (83 % of the production) and clear common ceramics in calcareous paste (9 % of the production). Fine ceramics, except for one particular type slipware, don’t seem to come from this part of the workshop. The shop’s activity dates back to the middle of the 1st century AD.Die Entdeckung wurde im September 2000 bei Aushubarbeiten für den Bau eines Hauses in der rue Cottin, Lyon 9e, gemacht. In unmittelbarer Nähe, in der rue du Chapeau Rouge, waren bei einer anderen Rettungsgrabung eine Nekropole, ebenfalls eine Töpferwerkstatt und die Fernstrasse zum Ozean und zum Rhein aus dem 1. Jh. n. Chr. freigelegt worden. Die Überreste der rue Cottin entsprechen mehreren chronologischen Abschnitten: zwei Gruben enthielten Keramik der Spätbronzezeit 1/2a, während die anderen archäologischen Befunde in die Antike gehören: eine Brandbestattung und die Strukturen einer Töpferwerkstatt: eine kreisförmige Ofenstruktur und sechs mit Keramik verfüllte Abfallgruben wurden ausgegraben. In dieser Werkstatt wurde vorwiegend (83 % der Produktion) rauwandige Gebrauchskeramik aus mit Quarzsand versetztem Ton hergestellt sowie helle tongrundige Gebrauchskeramik (9 % der Produktion). Die Feinkeramik scheint, abgesehen von einem mit einer Engobe überzogenen Gefäßtyp, nicht aus diesem Teil der Werkstatt zu stammen. Die Aktivität der Werkstatt konzentriert sich auf die Mitte des 1. Jahrhunderts n. Chr

    Un atelier de potier du Ier siècle, rue Cottin à Vaise, Lyon 9e

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    Les vestiges ont été découverts en septembre 2000, rue Cottin, Lyon 9e, lors des terrassements préalables à la réalisation d’un immeuble. À proximité immédiate, rue du Chapeau Rouge, une autre fouille préventive avait mis au jour une nécropole, un atelier de potier et la voie de l’Océan et du Rhin, datés du Ier siècle après J.-C. Les vestiges de la rue Cottin correspondent à plusieurs périodes chronologiques : deux fosses renfermaient du mobilier céramique du Bronze final I/IIa, tandis que les autres témoins archéologiques appartiennent à l’Antiquité : une tombe bûcher et des structures liées à un atelier de potier. Un four circulaire et six dépotoirs comblés de céramiques ont été fouillés. La production de l’atelier comprend en majorité de la céramique commune à pâte siliceuse (83 % de la production) et de la commune claire à pâte calcaire (9 % de la production). La céramique fine, à l’exception d’un type particulier de pot recouvert d’un engobe, ne semble pas provenir de cette partie de l’atelier. L’activité de l’officine se situe autour du milieu du premier siècle après J.-C.The vestiges were discovered in September 2000, in the rue Cottin, in Lyon’s 9th district, during excavation works carried out prior to the construction of a building. Close by, in the rue du Chapeau Rouge, a necropolis, a potter’s workshop and the Ocean and Rhine way, dating from the 1st century AD, were discovered during other excavation works. The rue Cottin vestiges date back to several chronological periods – two pits held ceramics from the late Bronze Age 1/2a – whereas the other archaeological finds date back to Antiquity – a pyre and structures linked to a potter’s workshop. A circular kiln and six dumps filled with ceramics have been excavated. The workshop’s production consists mainly of common ceramics made of siliceous paste (83 % of the production) and clear common ceramics in calcareous paste (9 % of the production). Fine ceramics, except for one particular type slipware, don’t seem to come from this part of the workshop. The shop’s activity dates back to the middle of the 1st century AD.Die Entdeckung wurde im September 2000 bei Aushubarbeiten für den Bau eines Hauses in der rue Cottin, Lyon 9e, gemacht. In unmittelbarer Nähe, in der rue du Chapeau Rouge, waren bei einer anderen Rettungsgrabung eine Nekropole, ebenfalls eine Töpferwerkstatt und die Fernstrasse zum Ozean und zum Rhein aus dem 1. Jh. n. Chr. freigelegt worden. Die Überreste der rue Cottin entsprechen mehreren chronologischen Abschnitten: zwei Gruben enthielten Keramik der Spätbronzezeit 1/2a, während die anderen archäologischen Befunde in die Antike gehören: eine Brandbestattung und die Strukturen einer Töpferwerkstatt: eine kreisförmige Ofenstruktur und sechs mit Keramik verfüllte Abfallgruben wurden ausgegraben. In dieser Werkstatt wurde vorwiegend (83 % der Produktion) rauwandige Gebrauchskeramik aus mit Quarzsand versetztem Ton hergestellt sowie helle tongrundige Gebrauchskeramik (9 % der Produktion). Die Feinkeramik scheint, abgesehen von einem mit einer Engobe überzogenen Gefäßtyp, nicht aus diesem Teil der Werkstatt zu stammen. Die Aktivität der Werkstatt konzentriert sich auf die Mitte des 1. Jahrhunderts n. Chr
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