36 research outputs found

    Depuration and Relaying: A Review on Potential Removal of Norovirus from Oysters

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    Pollution of coastal waters can result in contamination of bivalve shellfish with human enteric viruses, including norovirus (NoV), and oysters are commonly implicated in outbreaks. Depuration is a postharvest treatment involving placement of shellfish in tanks of clean seawater to reduce contaminant levels; this review focuses on the efficacy of depuration in reducing NoV in oysters. There have been many NoV outbreaks from depurated oysters containing around 10(3) genome copies/g oyster tissue, far exceeding the median infectious dose (ID50). Half of the published NoV reduction experiments showed no decrease in NoV during depuration, and in the remaining studies it took between 9 and 45.5 d for a 1-log reduction-significantly longer than commercial depuration time frames. Surrogate viruses are more rapidly depurated than NoV; the mean number of days to reduce NoV by 1 log is 19, and 7.5 d for surrogates. Thus, surrogates do not appear to be suitable for assessing virological safety of depurated oysters; data on reduction of NoV infectivity during depuration would assist evaluations on surrogate viruses and the impact of methods used. The longer persistence of NoV highlights its special relationship with oysters, which involves the binding of NoV to histo-blood group-like ligands in various tissues. Given the persistence of NoV and on-going outbreaks, depuration as currently performed appears ineffective in guaranteeing virologically safe oysters. Conversely, relaying oysters for 4 wk is more successful, with low NoV concentrations and no illnesses associated with products. The ineffectiveness of depuration emphasizes the need for coastal water quality to be improved to ensure oysters are safe to eat

    Rapport d’activités 2015. Laboratoire Santé Environnement et Microbiologie. Laboratoire National de Référence de Microbiologie des coquillages

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    La Microbiologie sanitaire, thème de recherche fédérant notre laboratoire, nous a permis d’obtenir des résultats intéressants qui sont présentés dans ce rapport et ont été valorisés par des publications ou la participation des membres de l’équipe à des congrès scientifiques. Cette thématique nous permet surtout des collaborations variées au travers des projets de recherche portés par l’équipe. L’élargissement de nos activités en intégrant la coordination REMI constitue un point important à souligner complétant nos actions de référence, d’expertise et de recherche. L’attrait et l’intérêt scientifique suscité par la microbiologie sanitaire a été démontré par le succès rencontré par le colloque organisé à Brest en lien avec la fin du projet européen RiskManche. Ce rapport présente une synthèse des actions, travaux menés par l’équipe, accompagnée par des stagiaires, doctorants, post doctorants ou visiteurs qu’il est important de remercier pour leur contribution

    Toxi-infections alimentaires collectives à coquillages et expertise crise d'Arcachon - Année 2006

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    En 2006, le nombre d'informations recensées par Ifremer, relatives aux toxi-infections alimentaires collectives (TIAC) liées à la consommation de coquillages vivants en France a triplé par rapport aux années précédentes, avec 45 foyers suspectés ou confirmés pour environ 400 cas estimés. Pendant cette même période, les alertes européennes sont restées au même niveau que les années antérieures avec 22 notifications communautaires. Majoritairement, ces TIAC ont été déclarées au cours du premier trimestre de l'année avec comme vecteur alimentaire incriminé principalement les huîtres et comme agent causal suspecté ou identifié les norovirus et un virus émergent, le virus Aichi. Sur l'ensemble de ces TIAC, seul un nombre très limité d'entre elles a pu faire l'objet d'investigations complètes de la part des services sanitaires, avec prélèvements des produits consommés et examens des selles de consommateurs malades. Dans la plupart des cas l'information est restée incomplète malgré les efforts des partenaires impliqués dans les investigations (manque de traçabilité des coquillages, impossibilité d'avoir des selles de malades ou des coquillages impliqués dans la TIAC)

    Virus Type-Specific Removal in a Full-Scale Membrane Bioreactor Treatment Process

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    We investigated removal of noroviruses, sapoviruses, and rotaviruses in a full-scale membrane bioreactor (MBR) plant by monitoring virus concentrations in wastewater samples during two gastroenteritis seasons and evaluating the adsorption of viruses to mixed liquor suspended solids (MLSS). Sapoviruses and rotaviruses were detected in 25% of MBR effluent samples with log reduction values of 3- and 2-logs in geometric mean concentrations, respectively, while noroviruses were detected in only 6% of the samples. We found that norovirus and sapovirus concentrations in the solid phase of mixed liquor samples were significantly higher than in the liquid phase (P < 0.01, t test), while the concentration of rotaviruses was similar in both phases. The efficiency of adsorption of the rotavirus G1P[8] strain to MLSS was significantly less than norovirus GI.1 and GII.4 and sapovirus GI.2 strains (P < 0.01, t test). Differences in the adsorption of viruses to MLSS may cause virus type-specific removal during the MBR treatment process as shown by this study

    Virus entériques humains et coquillages

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    Human enteric viruses discharged in raw sewage are hightly resistant and may be detected in surface waters, coastal areas and shellfish. Whereas noroviruses, responsible for relatively benign acute gastroentritis, are the most common agents implicated in shellfish borne outbreaks, other human viruses which cause severe human diseases, such as hepatitis A virus, may also be transmitted. Environmental studies have demonstrated that virus concentrations detected in shellfish are higher than in surrounding waters. This concentration may explain the high prevalence of noroviruses detected in various shellfish species collected in different countries. If many questions remain regarding viral contamination of shellfish, the most important seems to be the prevention of coastal areas contamination by human sewages.Les virus entériques humains rejetés dans les eaux usées sont très résistants dans le milieu extérieur et peuvent être retrouvés dans les eaux de surface, les eaux littorales ou les coquillages. Si les pathologies induites sont souvent relativement bénignes (type gastroentérites aigües), le nombre de foyers épidémiques liés à la consommation de coquillages et la transmission possible du virus de l'hépatite A ou d'autres virus induisant des pathologies graves, justifie pleinement le développement de cette thématique. Des études environnementales montrent une quantité de virus détectés dans les coquillages supérieure à celles détectées dans les eaux. Cette concentration peut expliquer la prévalence parfois importante des norovirus dans les coquillages. Si de nombreuses questions persistent concernant la contamination des coquillages par les virus humains il semble important avant tout de prévenir la contamination des zones littorales par des rejets humains

    Prévalence des norovirus dans les huîtres mises sur le marché dans le Département de la Vendée. Période février 2010-mai 2011

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    L’objet de cette étude est d’évaluer, par les méthodes de détection virale en cours de validation au niveau européen, le niveau de présence des norovirus dans les huîtres à l’expédition et sur les lieux de vente dans un département test, celui de la Vendée. En effet, aujourd’hui peu d’informations existent au niveau international et national sur la prévalence des norovirus dans les coquillages mis dans les circuits de consommation, alors que tous les ans des coquillages, répondant aux critères de mise en marché, sont incriminés ou suspectés dans des foyers de toxi-infections alimentaires collectives liés à la consommation de coquillages, majoritairement contaminés par des virus et plus particulièrement par les norovirus. Cette étude sur la période de février 2010 à mai 2011 a permis de démontrer que 11,76% des lots analysés étaient positifs en norovirus, dont 9,47% par des norovirus du génogroupe II. L’importance de cette contamination virale est à mettre en lien direct avec, d’une part l’ampleur de l’épidémie hivernale de gastro-entérite aiguë dans la population et d’autre part avec les événements environnementaux complémentaires à cette épidémie. De ce fait, les niveaux de contamination virale rencontrés au cours de cette étude varient entre 9,35% et 26,13%, pour les deux saisons hivernales observées. Cette étude confirme une nouvelle fois que les mesures de prévention pour limiter les risques de contamination des huîtres par les norovirus doivent prendre en compte la période hivernale à risque, l’ampleur de l’épidémie de gastro entérite aiguë dans la population, les apports dans les eaux littorales et les pratiques professionnelles. Elle permet d’apporter des informations pertinentes quant à la présence de ce pathogène et à l’évaluation des risques liés à la consommation des huîtres en période hivernale

    Nouvelle méthode de recherche rapide des salmonelles dans les bivalves

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    De par leur habitat hydrique et leur mode d'alimentation, les coquillages sont susceptibles d'héberger des bactéries pathogènes responsables de toxi-infections alimentaires parmi lesquelles les salmonelloses imposent une vigilance toute particulière.La technique employée à ce jour ne répondant pas aux exigences de rapidité et simplicité souhaitées par les laboratoires, nous avons testé une nouvelle méthode rapide, associant un pré-enrichissement de courte durée à l'emploi d'une gélose spécifique (milieu de RAMBACH) qui procure une distinction tinctoriale des colonies de salmonelles.Les résultats mettent en évidence les imperfections de la méthode traditionnelle (16% de faux négatifs) dans l'isolement du pathogène pour l'aliment considéré. Ils font ressortir l'intérêt d'y substituer le nouveau protocole (3,1% de faux négatifs) dont les avantages de simplicité, rapidité et fiabilité compensent largement le léger désagrément de la technique à savoir un repiquage en milieu sélectif après 6 à 8 heures d'incubation.La gélose Rambach, élément clef de ce gain de temps entre le prélèvement et le diagnostic, s'avère un outil bactériologique performant en raison des faibles taux de faux positifs (0% dans notre étude) et faux négatifs (1 à 2% selon son auteur) engendrés par des souches atypique
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