Investigations structurales des composés K

Dans un article récent, Knop et al(1) ont présenté un catalogue des techniques de synthèse des halogénures doubles d’indium et d’alcalins et de leurs structures, et ont détaillé une analyse des facteurs responsables des variations des longueurs des liaisons In-Cl. Nos travaux antérieurs sur les chloroindates de potassium sont repris dans cette comparaison et la redétermination de la structure de K3InCl6, H2O confirme notre description(2) dans le groupe d’espace 14 mm (Z = 14) et corrobore l’existence d’une isomérisation ionique dans le cristal : [math] → [math] + Cl-.Nous présentons ici les différents composés rencontrés dans la famille des bromoindates de potassium(2), où la coordinence de l’atome central passe de six dans K3InBr6, 1.5H2O ; K2(InBr5 H2O) ; K(InBr4(H2O)2), à quatre dans KInBr4.Nous résumons dans cette étude, les caractéristiques cristallographiques des deux premiers membres de la famille dont les structures ont été affinées par isotypie avec leurs homologues chlorés(2,4). Nous proposons une comparaison des longueurs des liaisons In-Br en fonction de la coordinence de l’atome central d’une part, et en fonction du degré de substitution des ligands halogènes par des ligands neutres H2O d’autre part

Investigations structurales des composés K

Les halogénoindates de Potassium ont en spectrométrie Raman, des spectres vibrationnels de très basses fréquences, permettant néanmoins une identification formelle(1). La connaissance de la structure X des bromoindates de potassium (Part. I) associée aux études similaires que nous avons réalisées sur leurs homologues chlorés (dans lesquelles nous exposons une analyse détaillée des interactions(2,3)), ainsi qu’aux mesures de taux de dépolarisation des bandes sur des monocristaux de K3InBr6, 1,5H2O et de K2(InBr5 H2O), facilitent l’attribution des modes de vibration observés. Pour les autres formes hydratées du diagramme InBr3-KBr-H2O, une localisation des principaux modes internes est proposée

Etude vibrationnelle des monophosphates SrM2(PO4)2 avec M=Co, Ni

International audienceThe infrared and Raman spectra of triclinic phosphates SrM2(PO4)2 where M=Co, Ni have been reported and analysed. The results of a force field calculation for SrNi2(PO4)2 are presented.Ce travail porte sur l’étude expérimentale et théorique des spectres de vibration des phosphates SrM2(PO4)2 avec M=Ni, Co synthétisés par nous même. Une attribution des raies et des bandes de vibration a été proposée et confirmée par un calcul du champ de force du composé SrNi2(PO4)2

Spectroscopic studies of Eu3+ and Dy3+ centers in ThO2

Luminescence and excitation spectra of R3+-doped thorium oxide (R3+ = Eu3+, Dy3+) are reported and analyzed. ThO2 was synthesized and grown as crystal using the flux technique. Usually, R3+ ions substitute Th4+ as a cubic site, but charge compensation often results in the presence of other centers. Doping concentration also has an important effect on the formation of the crystallographic sites. Using selective dye laser excitation at 12 K and selection rules, site symmetries of Eu3+ and Dy3+ ions in TnO(2) are determined and fluorescence from different centers is isolated. Results show that under conditions investigated, Eu3+ ions have O-h, and C-3v Site symmetry in ThO2 while for Dy3+ only C-3v exists. Lifetimes were measured and discussed. A crystal-field (cf) calculation has been performed on the reduced F-7(J) basis of the ground F-7 term of the Eu3+ ion. The crystal-field parameter set is then used to calculate Dy3+ energy levels in ThO2 as a test of its consistency

Pseudo-sarcoma and leiomyosarcoma of the esophagus : role and limits of endoscopic macrobiopsy

Les tumeurs malignes polypoïdes de l'oesophage sont rares, et leur diagnostic histologique a été fait le plus souvent après exérèse chirurgicale, les biopsies endoscopiques à la pince étant généralement insuffisantes. Les auteurs rapportent un cas de pseudo-sarcome et un cas de léiomyosarcome dont le diagnostic histologique a été fait par l'étude d'un fragment important obtenu par exérèse à l'anse diathermique. Cette technique de prélèvement a permis en particulier le diagnostic de léiomyosarcome après étude en microscopie électronique. La fonte spectaculaire, bien que transitoire, de ces deux tumeurs après radiothérapie est signalée

Etude par spectroscopie Raman de la décomplexation photoinduite du matériau GaAs hydrogéné

International audienc

Uses and limitations of Toluidine blue in oesophageal fibroscopy

Les auteurs font part de leur expérience sur la coloration vitale au Bleu de Toluidine en fibroscopie oesophagienne, particulièrement en matière de dépistage des formes limitées du cancer de l'oesophage. Les différents aspects iconographiques sont signalés : faux positifs et négatifs, vrais positifs et négatifs. Cette technique ne semble pas applicable en fibroscopie de routine, mais est justifiée chez les sujets à haut risque, lors du bilan d'un cancer épidermoïde à la recherche des formes multi-centriques et associées, et lors de la surveillance post-thérapeutique du cancer oesophagien. Les avantages et les inconvénients relatifs au Bleu de Toluidine et du lugol doivent être discutés