7 research outputs found

    Prise en charge de la fièvre du nourrisson âgé de moins de 3 mois aux urgences pédiatriques

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    PARIS7-Xavier Bichat (751182101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Les crises d'asthme aigu grave dans un service d'urgences pédiatriques (étude rétrospective, descriptive sur 3 ans)

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    Première des maladies inflammatoires chroniques de l'enfant, l'asthme représente une des principales causes de consultations hospitalières en urgence. Malgré une information accrue, l'asthme demeure sous diagnostiqué, rendant sa prise en charge souvent tardive ou insuffisante lors de manifestations aiguës et augmentant la morbidité. Cette étude rétrospective présente les dix-sept cas d'asthme aigu grave survenus et gérés dans un service d'urgences pédiatriques sur une période de trois ans. Elle a pour objectif de distinguer les différents éléments épidémiologiques associés à ces crises sévères et d'étudier les étapes successives de la conduite thérapeutique afin de permettre une meilleure évaluation de la prise en charge et de promouvoir les conseils de prévention adaptés aux enfants et à leur famille.PARIS7-Xavier Bichat (751182101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Motivations et parcours des parents consultant aux urgences pédiatriques (Résultats d une enquête à l hôpital Louis Mourier en 2007)

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    Les urgences pédiatriques sont régulièrement débordées par de nombreuses consultations non justifiées, avec des conséquences multiples : temps d attente allongés, diminution de la qualité des soins, surcoût pour la société, énervement des patients et des soignants. Dans une zone particulièrement défavorisée et en proie à une carence de pédiatres et de médecins généralistes, L hôpital Louis Mourier à Colombes, dans les Hauts de Seine est particulièrement exposé. But de l étude : Les objectifs de l étude étaient de comparer les populations consultant pour un motif justifié ou non, et leurs caractéristiques selon leur heure de consultation. Nous avons également essayé de déterminer le parcours des parents consultant aux urgences et les facteurs les amenant à y consulter directement.Matériel et méthode : Enquête déclarative prospective sur les mois de mars et avril 2007, par un questionnaire remis à tous les parents se présentant aux urgences pédiatriques. Le caractère justifié ou non de la consultation a été déterminé selon les critères de l American College of Emergency Physicians que nous avons adaptés à la pédiatrie.Résultats : Les taux de CMU (22%) et de familles monoparentales (19%) étaient plus importants que dans la population générale (respectivement 17% et 12%). Le suivi des enfants était réalisé dans une même proportion par les généralistes, les pédiatres, la PMI, et seul 1% n était pas suivi. Le lieu de consultation privilégié restait le médecin généraliste dans 2/3 des cas, le pédiatre dans 1/3 des cas, et les urgences dans 1/3 des cas, ces derniers consultant plus souvent pour des motifs non justifiés. Les parents consultant aux urgences avaient plus confiance dans les urgences et leur pédiatre que dans leur généraliste, mais ceux qui étaient suivi par ce dernier étaient plus confiants dans ses compétences. Les parents célibataires et ceux dont les enfants étaient suivis par un médecin généraliste, semblaient consulter moins souvent en dehors des horaires d ouverture des cabinets de ville. Les consultations étaient considérées comme justifiées dans 50% des cas, quels que soient les horaires de consultations et le parcours des parents. Le fait d avoir un médecin traitant semblait diminuer le nombre de consultations non justifiées, tandis que le suivi en PMI semblait les augmenter. Les patients ont essayé de joindre leur médecin traitant dans des cas, avec un contact téléphonique direct dans 50% des cas. La motivation principale de consultation directe aux urgences était la disponibilité des examens complémentaires (63% des cas). Les autres raisons invoquées étaient : la plus grande confiance dans les urgences (29%), le temps d attente, l éloignement géographique, le suivi de l enfant dans l hôpital et les compétences insuffisantes du médecin traitant dans 10 à 16% des cas.Conclusion : Il semble nécessaire de recentrer le médecin généraliste comme compétent dans le suivi de l enfant et le traitement des pathologies courantes de l enfant, en améliorant la formation continue. Il est souhaitable d augmenter les possibilités de consultation rapide en médecine de ville par l augmentation du nombre de médecins généralistes, la pénalisation du refus de soin aux indigents, et le développement des maisons médicales de garde. Il faut également améliorer l accessibilité des examens complémentaires, notamment en développant les réseaux entre la médecine de ville et les laboratoires. L éducation des jeunes parents et des enfants permettrait à long terme de changer les comportements de consultation.Paediatric emergency units are regularly overcrowded by many unjustified consultations, with numerous consequences: lengthened waiting time, reduction of the quality of care, additional cost for the society, irritation of patients and medical staff. The Louis Mourier hospital in Colombes (Hauts-de-Seine, France), is in a deprived area suffering from a lack of paediatricians and general practitioners. This hospital is therefore particularly affected by this issue.Purpose of study: The objectives of the study were to compare populations consulting for a justified motive or not, and their characteristics according to the time of arrival for a consultation. We also tried to determine the itinerary of the parents consulting an A & E department and the factors leading them to consult there directly.Equipment and method: Prospective and declarative inquiry in March and April, 2007, by a questionnaire submitted to all parents coming in a paediatric emergency unit. Whether consulting was justified or not was determined according to the criteria of the American College of Emergency Physicians which we adapted to paediatrics.Results: The rates of patients benefiting from CMU (22 %) (i.e. Universal Medical Cover) and of monoparental families (19 %) were higher than in the general population (respectively 17 % and 12 %). The regular medical care of children was accomplished in the same proportion by general practitioners, paediatricians and the PMI centers. Only 1% of the children had no regular medical care. The first point of contact for a consultation remained the general practitioner in 2/3 of cases, paediatricians in 1/3 of cases, and the emergency unit in 1/3 of cases. A&E departments were consulted more often for unjustified reasons than private practices. Parents consulting in emergency unit had more confidence in emergency physicians and paediatricians than in their general practitioner. Parents consulting regularly a GP had more confidence in GPs skills and abilities. Children with single parents or children followed by a general practitioner seemed to consult less often during out of office opening hours. Consultations were considered as being justified in 50 % of cases, irrespective of the hour of consultation and the itinerary of the parents. Having a general practitioner seemed to diminish the number of unjustified consultations. However being followed-up in PMI center seemed to increase the number of unjustified consultations. The patients tried to reach their general practitioner in of cases, and managed to establish a direct telephone contact in 50 % of cases. The main motivations for direct consultation in emergency unit were the availability of biological and radiological tests (63 % of cases) and bigger trust in emergency physicians (29 %). Other reasons invoked were: waiting time, geographical distance, benefiting from a follow-up in the hospital and alleged lack of skills of their general practitioner in 10 to 16 % of cases.Conclusion: It seems necessary to develop general practitioners skills and abilities in following-up children and treating common child pathologies by improving their medical training. It is desirable to increase the possibility to consult quickly in GP practices, increasing the number of general practitioners, and the penalties for refusing to treat the poorest. It is also desirable to develop on-call medical houses. It is necessary to improve the accessibility of out of hospital biological and radiological tests, namely by developing networks between general practitioners and laboratories. The education of young parents and children would lead in the long term to a change in behaviour when seeking medical consultations.PARIS12-CRETEIL BU Médecine (940282101) / SudocSudocFranceF

    Importance et nature des pathologies de retour d'un voyage à l'étranger chez l'enfant (résultats d'une enquête menée à l'hopital Louis Mourier en 2006)

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    Nous avons réalisé une enquête prospective du 26.08 au 30.09 2006 aux urgences pédiatriques de Louis Mourier afin d évaluer l importance des pathologies contractées lors d un séjour à l étranger chez l enfant. Elle nous révèle 196 cas de pathologies déjà connues qui peuvent être prévenues : paludisme, hépatite A ; ou dont le traitement précoce peut éviter l aggravation et l hospitalisation : diarrhées et infections cutanées. Cette étude met l accent sur les carences de la prévention actuelle : information pauvre, erronée, mal propagée à une population majoritairement immigrée peu sensibilisée par les guides du voyageur existants. Il s agit donc de recentrer la mission de prévention autour du médecin traitant mais aussi d élargir la distribution de l information aux urgences de Louis Mourier où la population consulte fréquemment. Pour faciliter ce travail, des fiches succinctes, plus simples, ont été établies à l attention des patients et des professionnels de santé.ST QUENTIN EN YVELINES-BU (782972101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Caractéristiques et modalités de prise en charge des enfants admis à la salle d'accueil des urgences vitales pédiatriques à l'Hôpital Louis Mourier

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    Cette thèse présente une étude descriptive des caractéristiques et modalités d'accueil de 148 enfants admis à la salle d'accueil des urgences vitales (SAUV) pédiatriques du CHU Louis Mourier à Colombes (92), de 1997 à 2003. La population étrangère représente 54.05% dont trois quarts sont d'origine maghrébine. Le principal facteur de risque est le bas âge : 82% des enfants ont moins de 5 ans et 53.36% ont moins d'un an. Les autres facteurs de risque sont : le sexe masculin ; le faible niveau socioéconomique ; l'absence de suivi médical ; le retard à la consultation ; les épidémies hivernales de bronchiolite à VRS (virus respiratoire syncitial) ; la pathologie elle-même du fait de la difficulté à apprécier la gravité des signes de détresse respiratoire ou de son évolution vers de graves complications. En l'absence de service de chirurgie pédiatrique sur le site, les pathologies chirurgicales ne représentant que 5% des cas étudiés. La pathologie médicale est prédominante (95% des cas) dont 41.21% de pathologies d'origine respiratoire et 22.3% de pathologies d'origine neurologique. La prise en charge est rapide et dure en moyenne 3 heures. L'intubation concerne surtout les bronchiolites (50% sont intubés). Le mortalité, dont la principale cause est la mort subite du nourrisson (MSN), ne concerne que 5 enfants. Les transferts sont assurés par le SMUR pédiatrique et se font essentiellement vers les services de réanimation des hôpitaux pédiatriques. La prévention passe par l'éducation et l'information du bassin de vie. Elle doit commencer dès la maternité et doit être continue et complémentaire entre les professionnels de santé médicaux et paramédicaux dans les différentes structures.PARIS7-Xavier Bichat (751182101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Intérêt de l'utilisation saisonnière d'un test de détection rapide de la grippe aux urgences pédiatriques

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    PARIS6-Bibl. St Antoine CHU (751122104) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
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