Shifting paradigms : museum educators\u27 perspectives on multiculturalism.

This qualitative inquiry focuses upon the challenge facing art museum educators as they attempt to dismantle the European canon in response to the dictates set forth by the American Association of Museums in Excellence and Equity: Education and the Public Dimension of Museums. Interviews with twelve New England museum educators constitute the basis for the study which concentrates on the educators\u27 own feelings about and responses to cultural pluralism within their institutions. The process of ethnographic analysis is interpretive and integrates a variety of perspectives. Themes emerging from the interviews are categorized and discussed in relation to the barriers to practice of multiculturalism in art museum settings. While museums, to varying degrees, labor to remove physical and environmental barriers to access, findings indicate that educators practice four kinds of multiculturalism: dogmatic, agnostic, exegetical, or dialectical as they struggle with emotional, cultural, and perceptual barriers directly related to their own past experience. Their degree of success in achieving cultural pluralism is linked to how well they have developed patterns of creative thinking and problem solving: tolerance for ambiguity, convergent-divergent thought processes, and metaphoric tools. Coupled with active participation in other cultures through bisociation, creative problem solving helps to reduce barriers so that individual capacities for understanding and accepting others may be enhanced

Aumale – 1 rue du Jeu-de-Paume

Sur le site, au 1 rue du Jeu-de-Paume, le contexte de fond de vallée et la mitoyenneté avec un bras de la Bresle provoquent des arrivées d’eau à faible profondeur de creusement. La présence de réseaux, d’une maison, d’un puits, de bâtiments, d’arbres centenaires vivants et d’arbres couchés nous a empêchés de sonder les 10 % requis sur la parcelle. Malgré ces contraintes, ce premier diagnostic préventif sur la commune d’Aumale a livré des vestiges archéologiques inédits. La période médiévale (..

Rouen – 19 route de Neufchâtel

Ce diagnostic de 188 m2 permet de compléter les informations sur ce secteur extra muros de Rouen. Les seuls éléments découverts donnent l’image d’un espace végétalisé (cour, jardin ou parc), planté au xvie s. et jusqu’à la fin du xixe s. Quatre fosses qui pourraient dater du bas Moyen Âge ont également été mises au jour. Le terrain naturel est situé à environ 1,70 m de profondeur

Yerville – Route de Veules, collège Henri-de-Navarre

Les vestiges découverts à l’emplacement du futur collège de Yerville s’étendent sur l’ensemble de la parcelle, avec une densité variable. Ils attestent un habitat rural associant des bâtiments, des fosses et des fossés d’enclos ou de parcellaire. Le mobilier et les recoupements entre les structures permettent d’identifier diverses phases d’occupation entre le iie s. av. J.‑C. et le iiie s. apr. J.‑C. Les données du diagnostic ne suffisent pas à reconnaître la continuité éventuelle de l’occupa..

Vernon – ZAC des Douers

Identifiant de l'opération archéologique : 11743 et 11744 Date de l'opération : 2006 (EX) Le diagnostic a livré très peu de résultats archéologiques en terme de structures, compte tenu des 18 ha du projet. Le site a subi une érosion importante depuis l'Antiquité et un fort colluvionnement s'est développé dans le talweg. Malgré cela, une fréquentation de ce secteur est attestée durant la Préhistoire comme en témoigne la découverte dans les colluvions de très rares silex taillés du Paléolithiqu..

Saint-Léonard – Rue du 8-Mai-1945

Le diagnostic effectué sur une surface de 12 000 m2 a permis la mise au jour de quelques petits fossés et fosses, qui semblent correspondent à des chablis et des fossés de parcellaires. Les minuscules tessons recueillis ne sont pas forcément pertinents. Il faut noter la présence d’une vaste dépression à l’opposé de la route du 8-Mai, qui s’étend hors emprise (plus de 200 x 50 m). Les trois tranchées la recoupant permettent de supposer son caractère anthropique. Une multitude de fosses de tail..

Amfreville-sous-les-Monts – Rue des Fosses et rue de la Mare

L’opération de diagnostic a livré des vestiges archéologiques de diverses périodes : des silex taillés du Paléolithique moyen, du mobilier lithique et céramique du Néolithique, des fossés avec quelques éléments céramiques de La Tène finale et de l’Antiquité, un petit bâtiment post-médiéval et enfin des éléments mobiliers modernes et contemporains pouvant être rattachés aux chablis d’un verger. Les éléments paléolithiques ne sont pas en position primaire et sont peu denses. Mais ils paraissent..

Honguemare-Guenouville, Bourg-Achard, Bosgouet – Zac Parc d’activités du Roumois (tranche 1)

Les opérations de diagnostic archéologique de la première tranche de la Zac « Parcs d’activités du Roumois » ont été réalisées sur 28 ha. Les parcelles se répartissent entre les communes de Honguemare, Bosgouet et Bourg-Achard, entre les autoroutes A13 et A28, et la RD 675 (ex RN 175). Un habitat et une nécropole inédits du haut Moyen Âge ont été identifiés. La continuité du site néolithique et du premier âge du Fer découverts en 2003 sur les parcelles contiguës au tracé de l’A28 sont confir..

Barc – Rue du Perret

Le diagnostic réalisé à Barc « rue du Perret » en raison d’un projet de lotissement portait sur 2,6 ha. Il a permis de retrouver des éléments figurants sur le cadastre napoléonien de la commune. C’est le cas de fossés limitant jadis une parcelle boisée comprise dans ce projet et des fondations d’une longère dont le démantèlement s’est achevé vers 1965. Sont à signaler une partie d’une céramique du premier âge du Fer et un grattoir découverts hors structures. Seul un fossé parait intéressant ..

A28 – Section Bourg-Achard/Alençon

Lors du diagnostic archéologique préventif sur le tracé de l’autoroute A28 section Bourg-Achard (Eure)–Alençon (Orne), les équipes Inrap ont identifiés trois sites néolithiques dans le département de l’Eure : Aclou « Les Fossettes », Bosrobert « La Métairie » site A et Honguemare « Sud du hameau du Pin » (Giazzon ; Honoré, 2002). Si le mobilier du site de Bosrobert permet de le dater du Néolithique ancien, les deux autres ne comportent pas d’éléments discriminants. Seules les datations par ra..