59 research outputs found

    Methodological reporting in feasibility studies : a descriptive review of the nursing intervention research literature

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    Background In reaction to weaknesses in feasibility studies reporting, the Consolidated Standards of Reporting Trials (CONSORT) statement published an extension for feasibility studies in 2016. Aim The aim of this study was to systematically review and appraise the reporting of feasibility studies in the nursing intervention research literature based on the CONSORT statement extension for feasibility studies. Method Papers published prior to January 2018 that described feasibility studies of nursing interventions were retrieved. Components of feasibility studies were coded, and code frequencies were analysed. Results The review included 186 papers. Although most papers (n = 142, 76.3%) included the label ‘pilot’ or ‘feasibility’ in their title, reporting for other components generally did not adhere to one or several CONSORT recommendations. Most papers reported objectives (n = 116, 62.4%), designs (n = 95, 51%), or rationales for sample size (n = 165, 88.7%) that were incongruent with the purpose of feasibility studies. Discussion This review results in two main implications for nursing research. First, we noted that the reporting of feasibility studies is weak. While all papers described feasibility studies, almost half focused exclusively on testing the effectiveness of an intervention. Second, we identified rationales for sample size along with key references that could offer guidance in reporting feasibility studies while being coherent with the CONSORT recommendations

    Les herbes rouges : du singulier au pluriel (1968-1993)

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    Ce mémoire tente de jeter les bases de l'histoire de la revue et des Éditions Les Herbes rouges, dirigées par les frères François et Marcel Hébert. D'abord associées à ce que Jacques Pelletier et Pierre Milot ont nommé «l'avant-garde des années soixante-dix», les Herbes rouges ont rapidement représenté l'un des lieux du renouvellement de la poésie québécoise et de ses enjeux esthétiques et idéologiques. Notre étude propose donc une relecture du parcours éditorial de cette revue et de cette maison d'édition, sur une période de vingt-cinq ans, avec comme principal objectif l'analyse de la constitution et de la mise en place de la valeur symbolique que les auteurs et le lieu de publication lui-même possèdent dans le champ littéraire québécois. Le premier chapitre propose une réflexion sur l'avènement de mouvements de contestation et de rupture, tant sociaux que culturels, qui vont s'affirmer au cours des années soixante-dix, notamment dans le domaine de la poésie, et qui seront particulièrement présents aux Herbes rouges. Trois tendances dominantes, le formalisme, la littérature progressiste (ou engagée) et la contre-culture, sont ainsi analysées sous l'angle de leur rapport avec le phénomène de l'avant-garde. Après cette mise en place théorique, les deuxième et troisième chapitres retracent les diverses étapes qui ont marqué d'une part la revue Les Herbes rouges, de sa fondation en 1968 à sa disparition en 1993 (chap. II), et d'autre part la maison d'édition du même nom, de 1978 à 1993 (chap. III). Dans le premier cas, l'étude de la production et du fonctionnement de la revue démontre que la politique inorthodoxe du numéro d'auteur, qui fait le pont entre le médium revuiste et le médium livre, devient la caractéristique distinctive de la revue des frères Hébert et représente l'élément clé de la stratégie éditoriale des directeurs. Dans le deuxième cas, la fondation de la maison d'édition, qui coexiste parallèlement avec la revue durant quinze ans, permet l'ouverture des Herbes rouges au roman, à l'essai et au théâtre et, par la même occasion, donne lieu à un renouvellement des auteurs. Ce qui explique, en bout de course, le délaissement de la revue et l'instauration d'un lieu éditorial unique venant englober l'ensemble de la production herberougienne. La question de l'image de marque des Herbes rouges vient compléter cette étude dans le quatrième et dernier chapitre. L'analyse de la réception critique des oeuvres dans les journaux et les revues littéraires fait ressortir les fortes polarisations entre les défenseurs et les pourfendeurs de ce lieu éditorial, polarisations qui se poursuivent tout au long de la période étudiée (1968-1994) et qui témoignent de l'aspect controversé de la valeur symbolique attribuée aux Herbes rouges dans l'histoire de la littérature québécoise

    Index annuel – Volume 60 (2014)

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    Planifier sa recherche à l’ère de la science ouverte

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    Atelier présenté dans le cadre du congrès annuel de la SQRP 2019

    Les herbes rouges : du singulier au pluriel (1968-1993)

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    Ce mémoire tente de jeter les bases de l'histoire de la revue et des Éditions Les Herbes rouges, dirigées par les frères François et Marcel Hébert. D'abord associées à ce que Jacques Pelletier et Pierre Milot ont nommé «l'avant-garde des années soixante-dix», les Herbes rouges ont rapidement représenté l'un des lieux du renouvellement de la poésie québécoise et de ses enjeux esthétiques et idéologiques. Notre étude propose donc une relecture du parcours éditorial de cette revue et de cette maison d'édition, sur une période de vingt-cinq ans, avec comme principal objectif l'analyse de la constitution et de la mise en place de la valeur symbolique que les auteurs et le lieu de publication lui-même possèdent dans le champ littéraire québécois. Le premier chapitre propose une réflexion sur l'avènement de mouvements de contestation et de rupture, tant sociaux que culturels, qui vont s'affirmer au cours des années soixante-dix, notamment dans le domaine de la poésie, et qui seront particulièrement présents aux Herbes rouges. Trois tendances dominantes, le formalisme, la littérature progressiste (ou engagée) et la contre-culture, sont ainsi analysées sous l'angle de leur rapport avec le phénomène de l'avant-garde. Après cette mise en place théorique, les deuxième et troisième chapitres retracent les diverses étapes qui ont marqué d'une part la revue Les Herbes rouges, de sa fondation en 1968 à sa disparition en 1993 (chap. II), et d'autre part la maison d'édition du même nom, de 1978 à 1993 (chap. III). Dans le premier cas, l'étude de la production et du fonctionnement de la revue démontre que la politique inorthodoxe du numéro d'auteur, qui fait le pont entre le médium revuiste et le médium livre, devient la caractéristique distinctive de la revue des frères Hébert et représente l'élément clé de la stratégie éditoriale des directeurs. Dans le deuxième cas, la fondation de la maison d'édition, qui coexiste parallèlement avec la revue durant quinze ans, permet l'ouverture des Herbes rouges au roman, à l'essai et au théâtre et, par la même occasion, donne lieu à un renouvellement des auteurs. Ce qui explique, en bout de course, le délaissement de la revue et l'instauration d'un lieu éditorial unique venant englober l'ensemble de la production herberougienne. La question de l'image de marque des Herbes rouges vient compléter cette étude dans le quatrième et dernier chapitre. L'analyse de la réception critique des oeuvres dans les journaux et les revues littéraires fait ressortir les fortes polarisations entre les défenseurs et les pourfendeurs de ce lieu éditorial, polarisations qui se poursuivent tout au long de la période étudiée (1968-1994) et qui témoignent de l'aspect controversé de la valeur symbolique attribuée aux Herbes rouges dans l'histoire de la littérature québécoise

    Paper & Presentation

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    Access to the paper and the conference presentation

    Experimental protocol

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    Details of the experimental protocol and files with the stimuli used in the experiment
    corecore