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    Articuler les compétences terminales du troisième degré de l'enseignement secondaire en latin et les compétences transversales mobilisées en première année de bachelier : quelles pratiques pour un meilleur transfert ?

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    Il y a deux ans, lors de la journée d’étude du CRIPEDIS consacrée à la transition secondaire-université, Jean-Luc Vanschepdael, responsable du secteur français à la FESeC, affirmait : […] moins il y aura de prérequis à l’entrée à l’université, plus la transition [avec l’enseignement secondaire] sera facilitée. Il serait donc utile de mieux explorer ces prérequis universitaires. Ils pourraient ensuite être comparés au profil de sortie « promis » de la fin du secondaire défini dans les référent..

    Le dualisme corps-âme et leur devenir après la mort selon Lucrèce, Sénèque et Cicéron

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    La dernière année de l’enseignement secondaire est souvent l’occasion d’appréhender les différents courants philosophiques qui ont influencé notre culture européenne. Dans les cours de langues anciennes, les principales théories envisagées sont habituellement celles des grands philosophes grecs (Socrate, Platon, Aristote, etc.) suivies de celles de l’Épicurisme et du Stoïcisme. Ces systèmes philosophiques antiques se sont penchés sur de nombreuses questions essentielles à l’Homme, dont celle de la mort, sans doute la plus difficile. L’Homme est-il condamné au néant ? Voit-il au contraire son corps se dissoudre au profit de la libération de l’âme ? Cette interrogation a alimenté et alimente toujours de nombreux débats. Ni la philosophie, ni les religions, ni même la science n’ont pu prouver de manière tout à fait certaine les différentes hypothèses avancées. La séquence décrite plus loin s’inscrit dans la découverte, en classe, de l’Épicurisme et du Stoïcisme

    Le parfum comme symbole de luxe et de richesse

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    Séquence pédagogique pour le cours de grec (langues anciennes), construite autour d'un extrait de l'Histoire vraie de Lucien

    Progression et transversalité

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    Quoi de plus incontournable, en matière d'enseignement-apprentissage, que la progression des dispositifs mis en œuvre par les enseignants et des acquisitions qu'ils permettent de susciter ? La progression est sans conteste la condition fondamentale de la dynamique du savoir et de son enrichissement, car tout enseignement est inscrit dans le temps et comporte une dimension narrative : apprendre quelque chose à quelqu'un, c'est nécessairement construire une histoire avec lui, c'est l'entrainer dans un récit dont il est le héros. Peut-on caractériser plus précisément cette progression des apprentissages ? Comment se construit l'histoire de l'apprentissage dans chaque domaine du savoir et dans la diversité des contextes éducatifs ? Telle est la première question à laquelle les contributions du présent ouvrage ont cherché à apporter quelques éléments de réponse. Si l'apprentissage ne peut se passer de progression, il ne peut pas davantage se passer de transversalité. Un savoir ne peut en effet être considéré comme acquis que lorsqu'il fait l'objet d'un transfert, c'est-à-dire lorsque l'apprenant se montre capable de l'utiliser dans d'autres contextes que celui où il lui a été transmis et à d'autres fins que pour lui-même ou pour des visées « savantes ». Apprendre, c'est devenir capable d'utiliser des savoirs dans le cadre d'autres disciplines, en les mettant au service de l'apprentissage scolaire dans son ensemble… et au service de la vie. Mais si cette importance de la transversalité relève à certains égards de l'évidence, il ne suffit pas de l'affirmer ; la convocation de différents regards disciplinaires doit permettre d'aller plus loin en montrant concrètement comment chaque discipline favorise des transferts vers d'autres « champs » qu'elle-même. Tel est le second défi qui était posé aux contributeurs du présent ouvrage, qui constitue les actes de la troisième journée d'études organisée par le CRIPEDIS depuis sa création en 2008
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