Impact de la pharmacogénétique de la P-Glycoprotéine sur la pharmacocinétique des traitements immunosuppresseurs

CHATENAY M.-PARIS 11-BU Pharma. (920192101) / SudocSudocFranceF

Anxiété et insomnie (Importance de traiter)

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Détournement des médicaments officinaux au profit du dopage

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Polyarthrite rhumatoïde et grossesse (intéractions, prise en charge et conseils à l'officine)

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Les alertes descendantes de pharmacovigilance (étude de la gestion des informations de sécurité sanitaire reçues au centre hospitalier Sainte-Anne)

Depuis toujours, le médicament est considéré comme un produit nécessaire dans de nombreuses pathologies. Cependant, il est également apprécié comme quelque chose de dangereux pour la santé humaine. En effet, tout médicament possède des effets indésirables plus au moins rares et/ou graves qui nécessitent une évaluation du rapport bénéfice/risque quant à son utilisation et chaque année, de nombreux cas d'effets indésirables inattendues sont détectés et notifiés à l'Agence Nationale de Sécurité des Médicaments et des produits de santé (ANSM). Ces effets indésirables peuvent dans certains cas mettre en jeu le pronostic vital du patient. Beaucoup d'affaires de santé publique ayant eu lieu dans le passé, comme le scandale du Mediator® en 2009, ont conduit au durcissement du système de pharmacovigilance français et européen. Le CHSA reçoit chaque année de nombreuses alertes de pharmacovigilance en provenance de l'ANSM ou des laboratoires en accord avec l'ANSM. Ces alertes se classent en multiples catégories qui sont plus ou moins importantes en terme de priorité et il est parfois difficile pour le famaco-vigilant ou son représentant de décider s'il est nécessaire ou non de transmettre l'information au personnel hospitalier. Le problème se pose principalement pour les alertes (autres que les retraits ou les rappels de lots) dites "d'informations de sécurité sanitaire" qui sont reçues en trop grande quantité au CHSA, causant par conséquent beaucoup de difficultés au pharmaco-vigilant pour les traiter. C'est pourquoi nous avons décidé de réaliser une étude sur ces alertes de sécurité sanitaire reçues au CHSA afin d'améliorer leur système de gestion au sein de la pharmacie. Cette étude nous a permis d'envisager diverses améliorations : - un tri préalable des alertes arrivant à la pharmacie du CHSA en privilégiant les alertes classées en tant que "messages d'alertes" et les alertes présentées sous l'intitulé "lettres aux professionnels de santé" ; - la mise en place d'une nouvelle procédure de gestion des informations de sécurité sanitaire ; - la mise en place d'un fichier Excel de traçabilité de l'ensemble des alertes reçues au CHSA.CHATENAY M.-PARIS 11-BU Pharma. (920192101) / SudocSudocFranceF

Rôle des agonistes dopaminergiques dans le traitement du syndrome des jambes sans repos

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Prise en charge thérapeutique de l'ulcère artério-veineux

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Endoscopie et risque infectieux (mise en place d'un contrôle microbiologique dans un objectif d'assurance qualité)

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Prise en charge des troubles psychiatriques au cours de la grossesse

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Le syndrome de Gilles de La Tourette

Le terme syndrome de Gilles de la Tourette désigne l association des tics avec d autres symptômes. La maladie de Gilles de la Tourette en est une des causes les plus fréquentes. Elle associe tics moteurs et vocaux, ainsi qu une comorbidité psychiatrique variable, avec des troubles obsessionnels-compulsifs, des troubles anxieux, des troubles de l humeur, de la personnalité et un syndrome d hyperactivité avec trouble attentionnel. L affection débute dans l enfance et évolue par une succession de périodes d aggravation et d accalmie relatives des tics. Une amélioration est observée à la fin de la deuxième décade chez la majorité des patients. La cause de la maladie de Gille de la Tourette est inconnue, mais la contribution d une susceptibilité génétique, d un dysfonctionnement du système dopaminergique, ainsi que des réseaux de neurones des territoires associatifs limbiques des noyaux gris centraux et du cortex préfrontal ont été suggérés. Le traitement du syndrome de Gilles de la Tourette et des formes sévères des tics requiert une approche multidisciplinaire (neurologue, psychiatre, psychologue et travailleurs sociaux). En cas de forme légère, l information et la prise en charge psychologique sont habituellement recommandées. Les traitements médicamenteux, dont les neuroleptiques, sont indispensables dans les formes modérées à sévères de la maladie. Les comorbidités psychiatriques, justifient souvent un traitement spécifique. Pour les formes très sévères de la maladie de gilles de la Tourette, un traitement par stimulation cérébrale profonde des territoires associatifs et limbique du thalamus ou du pallidum suscite un réel espoir thérapeutique, qui nécessite cependant d être confirmé.CHATENAY M.-PARIS 11-BU Pharma. (920192101) / SudocSudocFranceF