28 research outputs found
Les Cluses – Fort romain de la Cluse Haute
Date de l'opération : 1991 (SU) ; 1960 - 1970 (SD) Inventeur(s) : Castellvi Georges ; Grau Roger Localisation Le fort de la rive droite, situé au village actuel de la Cluse Haute, affecte une forme polygonale, allongée d'est en ouest sur une longueur de 105 m, pour une largeur de 28 m à l'ouest et de seulement 6 m à l'est (Fig. n°1 : Face est du fort romain (Cluses (Les), la Cluse Haute)). De ses accès vers l'extérieur, pour le moment, seule une poterne a été mise au jour sur la courtine sud..
Le Perthus – Panissars
Date de l'opération : 1985 - 1993 (FP) ; 1984 (SD) Inventeur(s) : Castellvi Georges ; Nolla Josep Maria ; Rodà Isabel Localisation Les ruines superposées des édifices sont situées au col de Panissars (335 m), partie en France (pour les 2/3), partie en Espagne (pour 1/3) [ (Fig. n°1 : Plan des ruines du trophée de Pompée et du prieuré médiéval Sainte-Marie) et (Fig. n°2 : Ruines du prieuré médiéval et du trphée républicain de Panissars)]. Depuis plus de deux mille ans, ce col et son voisin, l..
Tautavel - Le château de Tautavel
Castellvi Georges. Tautavel - Le château de Tautavel . In: Archéologie du Midi médiéval. Tome 1, 1983. p. 138
Pyrénées-Orientales. Identification probable des vestiges du trophée de Pompée ( — 71) sous l'église Sainte-Marie de Panissars
Castellvi Georges. Pyrénées-Orientales. Identification probable des vestiges du trophée de Pompée ( — 71) sous l'église Sainte-Marie de Panissars. In: Bulletin Monumental, tome 144, n°1, année 1986. pp. 50-53
La « roche Castillo » (Casefabre, Pyrénées-Orientales) : graffiti des XIXe-XXe s. et graffiti du type « schématique linéaire catalan »
La « roche Castillo » - ainsi dĂ©nommĂ©e en raison des signatures d’au moins trois personnes de cette famille - prĂ©sente trois groupes de graffiti d’aspect et de datation probablement diffĂ©rents (en tout 14 graffiti ont pu ĂŞtre relevĂ©s). Au type 1 appartient une dizaine de gravures non patinĂ©es, datĂ©es pour certaines de 1891 Ă 1908 et constituĂ©es de noms-signatures, de textes de salutations ainsi que deux dessins figuratifs. Au type 2 correspondrait un certain nombre de signes patinĂ©s, pratiquement illisibles aujourd’hui, mais qui laissent deviner de petits textes. Le type 3 n’est reprĂ©sentĂ© que par des incisions patinĂ©es figurant un ou deux anthropomorphes, un solĂ©iforme et un zigzag, dans une scène du style « schĂ©matique linĂ©aire » mis en Ă©vidence par Jean AbĂ©lanet dans les PyrĂ©nĂ©es catalanes. Les graffiti des types 1 et 2 suggèrent la prĂ©sence d’une pierre votive dont l’origine remonterait au moins au XIXe s. ou peu avant. Ceux du type 3 semblent remonter Ă des temps plus reculĂ©sLa roca CastillĂł aixĂ anomenada a causa de les firmes de tres persones com a mĂnim d’aquesta famĂlia - presenta tres grups de graffiti d’aspecte i de dataciĂł probablement diferents (entre tot 14 pintades van ser descobertes). Al tipus 1 pertanyen una desena de gravats no patinais, datats per alguns de 1891 a 1908 i constituĂŻts de noms ambfirmes, de textos de salutacions, aixĂ com dos dibuixos figuratius. Al tipus 2 correspondria un cert nombre de signes patinais prĂ cticament il.legibles avui, però que deixen endevinar petits textos. El tipus 3 Ă©s representat per incisions patinades amb un Îż dos antropomorfs, un «soleiform» i un zig-zag, en una escena de l’estil «esquemĂ tic lineari» evidenciat per Jean AbĂ©lanet en els Pirineus catalans. Els graffiti dels tipus 1 i 2 suggereixen la presència d’una pedra votiva l’origien de la qual remuntaria al menys al segle XIX Îż poc abans. Les del tipus 3 semblen mĂ©s antiguesThe «Castillo stone» - named after the signatures of at least three members of the same family - presents three kinds of graffiti, probably dating back to different periods, and not alike, can be observed (as a whole, 14 graffiti have been written down). About ten carvings without sheen dating back from 1891 to 1908 - some of them - belong to the first type and show up surnames-signatures, greetings, as well as two figurative drawings. Some signs with a sheen on them fit into the second type, nowadays they are hardly illegible but short texts can be deciphered. Only a few cuts with a sheen on them and showing one or two anthropomorphic shapes belong to the third type: a sun shape and a zigzag pattern, enacting a scene called «linear scheme» as Jean AbĂ©lanet clearly stated it in the catalan Pyrenees. The graffiti of the first and second type imply there might be a votive stone dating back at least to the 19th century or even before.The graffiti of the third type even seem to be olde
Pyrénées-Orientales. Fort de Bellegarde, identification de peintures murales
Castellvi Georges. Pyrénées-Orientales. Fort de Bellegarde, identification de peintures murales. In: Bulletin Monumental, tome 144, n°1, année 1986. p. 50
Les mottes castrales du Roussillon
Along with Provence and Lauragais it turns out that Roussillon also has its share moated sites. Their dating remains imprécise chiefly because of their disappearance of agricultural needs. Neuertheless the texts enable us to draw up an inventory and to suggest some ideas about their possible functions.
According to the most likely hypothesis, most of the moated sites would have been used for surveillance purposes, stationed as they are close to road, ford or crossroad. In spite of the silence of the texts on this question, the moated sites could have been subordinate to actuel fortified castles. This would explain the absence of tributes paid to rulers (the Count of Roussillon, the King of Aragon).Avec la Provence et le Lauragais il s'avère que le Roussillon a également été touché par la diffusion des mottes castrales. Leur datation demeure imprécise à établir notamment en raison de leur disparition pour les besoins de l'agriculture. Cependant les textes permettent d'en dresser un inventaire et amènent des éléments de réponse quant à leurs fonctions possibles.
Dans l'hypothèse la plus vraisemblable, la plupart des mottes auraient eu une vocation de contrôle, implantées à proximité d'une voie, d'un gué ou d'un croisement. Malgré le silence des textes sur cette question, les mottes auraient donc pu être subordonnées aux véritables châteaux-forts. Ainsi s'expliquerait l'absence d'hommages rendus aux souverains (comte du Roussillon, roi d'Aragon).Castellvi Georges. Les mottes castrales du Roussillon. In: Archéologie du Midi médiéval. Tome 2, 1984. pp. 15-26
L’occupation humaine le long des voies Domitienne et augustéenne dans la traversée des Pyrénées (vallées de la Rom et du Llobregat d’Empordan)
I. Une situation géographique privilégiée Les vallées de la Rom et de la Freixe, sur le versant nord des Pyrénées orientales, et celle du Llobregat d’Empordan, sur le versant sud, ont été et demeurent les meilleures voies de communication terrestre entre le Midi de la France et le nord-est de l’Espagne en raison de leur court développement (pas plus de 9 km entre le Boulou et La Jonquera) et de leur faible altitude (col du Perthus : 271 m, col de Panissars : 330 m) permettant ainsi une liaiso..
Mémoires d’un jeune fouilleur à la Caune de l’Arago
Entre le Jardin d’Eden et la tour de Babel : un « chantier-école » de la vie Tautavel ? C’est un lieu extraordinaire blotti dans une petite vallée des Corbières roussillonnaises, qui s’est révélé riche en témoignages de l’occupation humaine depuis plus de 500 000 ans. Participer au chantier de fouilles de Tautavel était en 1977 la meilleure des opportunités, pour un jeune amateur d’histoire et d’archéologie du Roussillon, de se documenter sur les découvertes effectuées, d’autant qu’à cette ép..
Flânerie dans l'antiquité des trophées de Pompée
Castellvi Georges. Flânerie dans l'antiquité des trophées de Pompée. In: Bulletin Monumental, tome 151, n°1, année 1993. pp. 27-30