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    Étude sur une classe de vases Ă  dĂ©cor en forme de rĂ©seau ou d'Ă©cailles

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    Bulas Casimir. Étude sur une classe de vases Ă  dĂ©cor en forme de rĂ©seau ou d'Ă©cailles. In: Bulletin de correspondance hellĂ©nique. Volume 56, 1932. pp. 388-398

    Konserwacja zabytków malarstwa we WƂoszech

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    DESTRUCTION ET RECONSTRUCTION DES MONUMENTS EN ITALIE

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    La derniĂšre guerre a fortement appau vri l’avoir artistique de l’Italie. Par un heureux hasard, il se trouve que relativement peu d’oeuvres d’art uniques aient Ă©tĂ© totalement dĂ©truites. Milan se place au premier rang des villes endommagĂ©es: prĂšs de 200 Ă©normes bĂątiments ont Ă©tĂ© dĂ©truits, mais on en restaure dĂ©jĂ  139. San Gottardo in Corte et le thĂ©Ăątre de la Scala sont entiĂšrement reconstruits; on rĂ©pare les parties extĂ©rieures de la dĂ©coration du Duomo. Les travaux sont en train dans les autres monuments. GĂȘnes vient en second lieu; les travaux les plus importants ici sont ceux de Santo Stefano et de SS. Annunziata del Vastato. Plusieurs palais gĂ©nois sont dĂ©jĂ  reconstruits. Naples a beaucoup souffert Ă©galement; les Ă©glises les plus endommagĂ©es sont celles de SS. Annunziata et Santa Chiera. Les conservateurs ont ici de grandes difficultĂ©s Ă  rĂ©soudre sur la maniĂšre d’agir. La guerre n’a point Ă©pargnĂ© les coins les plus reculĂ©s du pays. Notons la reconstruction du temple d’Auguste et de Rome, du Duomo de Pola, en principe Ă  l’aide de parties originales en dĂ©pit d’un haut degrĂ© de destruction. On a entrepris la reconstruction de la Chiesa degli Eremitani Ă  Padoue. Au bord de l’Adriatique, Ancone et Fano ont le plus souffert, mais lĂ  aussi on a dĂ©jĂ  beaucoup fait. La guerre n’a laissĂ© que peu de traces en Ombrie et dans les Abruzzes, par contre dans les trois provinces toscanes: Florence, Arezzo et Pistoia, 400 bĂątiments historiques ont Ă©tĂ© dĂ©truits. Pour 250 d’entre eux les travaux de restauration sont terminĂ©s. C’est en Toscane d’ailleurs que l’on constate les plus grands dĂ©gĂąts dans le domaine des oeuvres d’art. La perte la plus importante de Sienne est celle de la Basilica Minore delP Osservanza, actuellement restaurĂ©e. Le Camposanto de Pise a Ă©tĂ© le plus atteint, les dĂ©gĂąts y sont en partie rĂ©parĂ©s. A Florence, on travaille surtout aux Ă©glises Santo Stefano al Ponte et Santa Trinita. A Rome, on a terminĂ© la reconstruction de la basilique de Sail Lorenzo luori le mura. La reconstruction Ăłes monuments de la Campagne prĂ©sente bien des problĂšmes, notamment pour le Duomo de Benevento et pour PompĂ©i fortement endommagĂ©e. Les travaux de conservation consistaient tout d’abord Ă  assurer provisoirement, aprĂšs quoi on restaura progressivement. On fit tout le possible pour conserver les parties originales, soit en renforçant les murs Ă  l’aide d’„injections“ de- ciment, soit en redressant les murs courbĂ©s par le souffle des explosions. Lorsque ces moyens s’avĂ©raient insuffisants, on dĂ©molissait, maiis auparavant on prenait des cr quis, des photographies et des mesures, on numĂ©rotait. Puis, aprĂšs avoir renforcĂ© les fondations, on remettait le tout en place. Si le mur Ă©tait entiĂšrement Ă©boulĂ©, on opĂ©rait une sĂ©lection minutieuse des dĂ©combres et l’on reconstruisait le mur avec les matĂ©riaux ainsi obtenus. On tirait profit de toutes les parties d’architecture et de dĂ©coration retrouvĂ©es et l’on remplaçait celles qui manquaient — ce qui est aisĂ© Ă  distinguer
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