3 research outputs found

    Intra and latero-sellar carotid aneurysm mimicking a pituitary adenoma

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    The aneurysm is a dilation of an artery focused secondary to a parietal structural modification. The intracranial carotid aneurysm is a rare disease, which exposes to serious risks, we report a case. A 46-year-old women, followed for infertility last 5 years, which presents a secondary amenorrhea 6 months ago, without functional signs of anterior pituitary deficiency or signs of intracranial hypertension or galactorrhea. hormonal analysis shows hyperprolactinemia to 97 ng/ml. Hypothalamic-pituitary magnetic resonance imaging (MRI) shows a round formation, intra and latero sellar right hypointense in T1 and T2 (17 * 12mm) with contrast enhancement after injection (A), it is in intimate contact with right carotid cavernous and lifting the head of a right optic chiasm and compression at the bottom of the cavernous sinus (B). The magnetic resonance angiography is in favor of an unruptured aneurysm carotid (C, D). The carotid aneurysm is a diagnosis that is rare, usually asymptomatic and discovered during a major complication (break), it should be mentioned in the evocative radiological appearance. Screening can be organized and magnetic resonance angiography is therfore the first line examination. The arteriography is the key examination that allows the diagnosis and endovascular treatment. Good technical knowledge of these imaging methods, artifacts and pitfalls images allow reliable detection of intracranial aneurysms and performing an accurate account to be provided to clinicians. We insist, through this observation, on the interest not to disregard this diagnosis.Pan African Medical Journal 2015; 2

    Etiologies des hypertensions artérielles endocrines: à propos d’une série de cas

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    Les hypertensions artérielles (HTA) d'origine endocrine restent une cause rare d'HTA, sa prévalence globale n'excède pas 4% des hypertendus. L'intérêt de la recherche des HTA endocrines réside dans la gravité de certaines formes parfois mortelles et le caractère potentiellement curable et réversible de ces HTA. Le but du travail est de déterminer le profil clinique, para clinique, étiologique et thérapeutique des HTA secondaires d'origine endocrine chez les patients suivis au service d'endocrinologie au CHU Mohamed IV à Marrakech. Il s'agit d'une étude descriptive prospective s'étalant sur une période de 4 ans incluant 45 patients ayant une HTA endocrinienne. La moyenne d'âge est de 44,89 ans, avec une nette prédominance du sexe féminine (sexe ratio de 0,49). Les étiologies des HTA endocrines étaient dominées par le phéochromocytome (17 cas), l'hypercorticisme (11 cas) et l'acromégalie (8 cas). L'HTA était paroxystique dans 24,4%. Elle était d'emblée sevère classée grade 3 dans 40% des cas. L'HTA a été compliquée de cardiopathie dans 24% des cas et de néphropathie dans 20% des cas. Le traitement curatif a permis une guérison de l'HTA chez 60% (27 cas). Le diagnostic des HTA secondaires endocrines est parfois difficile du fait de l'absence de spécificité clinique. Il n'est pas exceptionnel que l'HTA soit l'unique manifestation de la maladie. Dans notre travail nous notons le caractère paroxystique et sévère de l'HTA. Le caractère éventuellement curable des HTA endocrines, dans plus des deux tiers des cas, fait qu'il est important de la dépister devant toute HTA sévère, résistante au traitement, ou en présence de signes cliniques, biologiques ou radiologiques évocateurs.Pan African Medical Journal 2016; 2

    Ostéoporose endocrinienne: à propos d’une série de cas

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    L'ostéoporose endocrinienne devrait devenir rare aujourd'hui puisque les endocrinopathies ont bénéficié d'un diagnostic plus précoce. Cependant elle reste fréquente, sous diagnostiquée et peu prise en charge. Sa gravité est essentiellement liée au risque fracturaire, et au risque élevé de morbi-mortalité. Le but de notre travail est de déterminer le profil ostéodensitométrique des patients suivis pour endocrinopathie et de définir les caractéristiques de l'ostéoporose et de l'ostéopénie chez ces patients. Il s'agit d'une étude de type transversale, descriptive portant sur 63 patients suivis pour endocrinopathies au service d'Endocrinologie-Diabétologie du CHU Mohamed VI de Marrakech, s'étalant sur une période de 02 ans allant du début du mois de Janvier 2012 au mois de Janvier 2014. La moyenne d'âge des patients était de 36,30 ± 15,38 ans, avec un sex-ratio de 0,31. Les pathologies endocriniennes étaient dominées par l'hypogonadisme (32%), et par l'hypercorticisme (19%), suivis par l'hyperthyroïdie (11%). Le T-score moyen au niveau du rachis et au niveau du fémur était respectivement de -1,65% ± 1,88 DS, et -0,85 ± 1,70 DS. L'atteinte de la densité minérale osseuse a été plus fréquente au niveau du rachis (61,9%). L'ostéoporose a été surtout constatée au cours des hypogonadismes, hypercorticismes, hyperthyroïdies et hyperparathyroïdies. Néanmoins elle a été observée également au cours des hypothyroïdies et d'autres étiologies non connues pour être responsables d'une ostéoporose. Ce travail nous a ainsi conduits à situer l'intérêt de rechercher systématiquement l'atteinte osseuse devant toute endocrinopathie susceptible de provoquer une atteinte rhumatologique.Pan African Medical Journal 2015; 2
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