370 research outputs found

    Analyse du gadolinium (Gd) sur le continuum Rhôdanien comme marqueur de l'activité anthropique: OSR6 | Axe B - Action B2.1 | Rapport scientifique final

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    Le gadolinium (Gd) a été suivi en tant que contaminant émergent, traceur de l’activité anthropique domestique et médicale. Son usage comme agent de contraste en imagerie magnétique nucléaire par injection dans le corps des patients, et sa forte persistance dans l’environnement après rejet dans les effluents, font du Gd un marqueur des zones hospitalières équipées d’IRM à travers tout le continuum Homme Terre Mer.Cette sous-action se décline en trois approches : 1.Rechercher des anomalies positives au Gd parmi les mesures pré-OSR6 d’éléments traces métalliques (ETM) réalisées sur les échantillons de MES et incluant généralement celle du Gd. 2.Des mesures nouvelles ont été réalisées sur les MES prélevées au cours de l’OSR6, qui ont ciblé la quantification du Gd et des autres terres rares. L’impact de la minéralisation des échantillons de MES avant analyse a été étudié, et une méthode de préparation optimale par fusion alcaline a été recommandée, qui permet un meilleur recouvrement analytique des terres rares.3.Enfin, le rôle de la fraction dissoute comme vecteur préférentiel du Gd d’origine anthropique a également été considéré, en analysant non pas la fraction MES suivie au sein de l’OSR, mais son milieu dispersant uniquement.Il ressort de cette étude (i) que la méthode de minéralisation des MES utilisée dans l’OSR (acide + micro-onde) n’est pas optimale pour la quantification des terres rares, rendant les mesures historiques inexploitables pour la question du Gd ; (ii) qu’une fois la méthode de minéralisation optimisée, la contribution du Gd anthropique mesurée dans les MES est négligeable et ne permet pas de détecter d’anomalie ; et (iii) que l’anomalie positive au Gd d’origine anthropique est essentiellement mesurée sur la fraction dissoute des eaux du Rhône avec des contributions anthropiques relatives 10 à 50 fois supérieures à ce qui est mesuré dans les MES

    Analyse du gadolinium (Gd) sur le continuum Rhôdanien comme marqueur de l'activité anthropique: OSR6 | Axe B - Action B2.1 | Rapport scientifique final

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    Le gadolinium (Gd) a été suivi en tant que contaminant émergent, traceur de l’activité anthropique domestique et médicale. Son usage comme agent de contraste en imagerie magnétique nucléaire par injection dans le corps des patients, et sa forte persistance dans l’environnement après rejet dans les effluents, font du Gd un marqueur des zones hospitalières équipées d’IRM à travers tout le continuum Homme Terre Mer.Cette sous-action se décline en trois approches : 1.Rechercher des anomalies positives au Gd parmi les mesures pré-OSR6 d’éléments traces métalliques (ETM) réalisées sur les échantillons de MES et incluant généralement celle du Gd. 2.Des mesures nouvelles ont été réalisées sur les MES prélevées au cours de l’OSR6, qui ont ciblé la quantification du Gd et des autres terres rares. L’impact de la minéralisation des échantillons de MES avant analyse a été étudié, et une méthode de préparation optimale par fusion alcaline a été recommandée, qui permet un meilleur recouvrement analytique des terres rares.3.Enfin, le rôle de la fraction dissoute comme vecteur préférentiel du Gd d’origine anthropique a également été considéré, en analysant non pas la fraction MES suivie au sein de l’OSR, mais son milieu dispersant uniquement.Il ressort de cette étude (i) que la méthode de minéralisation des MES utilisée dans l’OSR (acide + micro-onde) n’est pas optimale pour la quantification des terres rares, rendant les mesures historiques inexploitables pour la question du Gd ; (ii) qu’une fois la méthode de minéralisation optimisée, la contribution du Gd anthropique mesurée dans les MES est négligeable et ne permet pas de détecter d’anomalie ; et (iii) que l’anomalie positive au Gd d’origine anthropique est essentiellement mesurée sur la fraction dissoute des eaux du Rhône avec des contributions anthropiques relatives 10 à 50 fois supérieures à ce qui est mesuré dans les MES

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    Le gadolinium (Gd) a été suivi en tant que contaminant émergent, traceur de l’activité anthropique domestique et médicale. Son usage comme agent de contraste en imagerie magnétique nucléaire par injection dans le corps des patients, et sa forte persistance dans l’environnement après rejet dans les effluents, font du Gd un marqueur des zones hospitalières équipées d’IRM à travers tout le continuum Homme Terre Mer.Cette sous-action se décline en trois approches : 1.Rechercher des anomalies positives au Gd parmi les mesures pré-OSR6 d’éléments traces métalliques (ETM) réalisées sur les échantillons de MES et incluant généralement celle du Gd. 2.Des mesures nouvelles ont été réalisées sur les MES prélevées au cours de l’OSR6, qui ont ciblé la quantification du Gd et des autres terres rares. L’impact de la minéralisation des échantillons de MES avant analyse a été étudié, et une méthode de préparation optimale par fusion alcaline a été recommandée, qui permet un meilleur recouvrement analytique des terres rares.3.Enfin, le rôle de la fraction dissoute comme vecteur préférentiel du Gd d’origine anthropique a également été considéré, en analysant non pas la fraction MES suivie au sein de l’OSR, mais son milieu dispersant uniquement.Il ressort de cette étude (i) que la méthode de minéralisation des MES utilisée dans l’OSR (acide + micro-onde) n’est pas optimale pour la quantification des terres rares, rendant les mesures historiques inexploitables pour la question du Gd ; (ii) qu’une fois la méthode de minéralisation optimisée, la contribution du Gd anthropique mesurée dans les MES est négligeable et ne permet pas de détecter d’anomalie ; et (iii) que l’anomalie positive au Gd d’origine anthropique est essentiellement mesurée sur la fraction dissoute des eaux du Rhône avec des contributions anthropiques relatives 10 à 50 fois supérieures à ce qui est mesuré dans les MES

    Using DET and DGT probes (ferrihydrite and titanium dioxide) to investigate arsenic concentrations in soil porewater of an arsenic-contaminated paddy field in Bangladesh

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    International audienceArsenic concentration in the pore water of paddy fields (C-soln) irrigated with arsenic-rich groundwater is a key parameter in arsenic uptake by rice. Pore water extracts from cores and in situ deployment of DET and DGT probes were used to measure the arsenic concentration in the porewater. Ferrihydrite (Fe) and titaniumdioxide (Ti) were used as DGT binding agents. Six sampling events during different growing stages of the rice, inducing different biogeochemical conditions, were performed in one rice field. A time series of DGT experiments allow the determination of an in situ arsenic diffusion coefficient in the diffusive gel (3.34 x 10(-6) cm(2) s(-1)) needed to calculate the so-called C-DGT(Fe) and C-DGT(Ti) concentrations. Over 3 days of a given sampling event and for cores sampled at intervals smaller than 50 cm, great variability in arsenic C-soln concentrations between vertical profiles was observed, with maxima of concentrations varying from 690 to 2800 mu g L-1. Comparisons between arsenic measured C-sol and C-DET and calculated C-DGT(Fe) and C-DGT(Ti) concentrations show either, in a few cases, roughly similar vertical profiles, or in other cases, significantly different profiles. An established iron oxyhydroxide precipitation in the DET gel may explain why measured arsenic C-DET concentrations occasionally exceeded C-soln. The large spread in results suggests limitations to the use of DET and type of DGT probes used here for similarly representing the spatio-temporal variations of arsenic content in soil pore water in specific environmental such as paddy soils. (C) 2015 Elsevier B.V. All rights reserved
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