6 research outputs found

    Pegasus Project Technical Report

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    This paper is a theoretical study about the implementation of a Global Navigation Satellite System around the Moon. The objective of the study is to investigate from the feasibility to the implementation of such a system within the framework of a broader project which aims to see humans activities back on the Moon in the next decade. In that order, the system is complying with technical specifications as defined by a client. The rationale behind the system is that to reach a satisfying level of performance - and therefore meet the client’s requirements - a constellation of twenty-one satellites spread out on three orbits around the Moon at a constant semi-major axis of 10,000 [km] is needed. The constellation is named after the Greek divinity Pegasus and in reference to the star constellation. Each orbit is set at an 80 [◩] inclination and respectively spaced at 120 [◩] from one another with regard to their Right Ascension of Ascending Node. There are seven satellites per orbit. Every Pegasus’s satellites carry on-board four atomic clocks, three Emergency Broadcast System antennas, two Tracking, Telecommand and Control antennas and one navigation antenna. Maneuvers for station-keeping and end-of-life are ensured by four 1500 [W] hall effect thrusters mounted on two robotic arms with six degrees of freedom. 150 [kg] of Xenon will be used as propellant so that the mission can be carried out for at least ten years. A Pegasus satellite has a dry mass of 711.04 [kg] and a wet mass of 860.64 [kg]. Regarding the service provided on the lunar surface and its low orbit, the Pegasus constellation guarantees a 100% GNSS and Emergency broadcast availability with a 6.80 [m] global precision at 3σ and a 33 [ns] time precision. All the subsystems are powered by a 50 [V] Power Conditioning Unit and 165 [Wh/kg] Li-on battery which will be recharged by 15 [m2] of solar panels and used during eclipses. The overall dimensions of one Pegasus spacecraft are 2.34 [m] × 1.480[m] × 1.284[m]. One full orbital plane of the constellation can be launched by one Ariane 64, which guarantees its implementation with only three launches, fulfilling a deployment time span inferior to a year

    Biodiversité et valeur agronomique dans les prairies humides des marais du Cotentin et du Bessin

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    International audiencedans le cadre du programme INTERREG WOW (Working Value of Wetlands), le Parc naturel rĂ©gional des marais du Cotentin et du Bessin et l'UniversitĂ© de Caen se sont associĂ©s pour Ă©tudier les relations entre pratiques agricoles, valeur agronomique et biodiversitĂ© des prairies de marais. Les paramĂštres de biodiversitĂ© Ă©tudiĂ©s sont la vĂ©gĂ©tation, les colĂ©optĂšres carabiques, les oiseaux nicheurs et le Courlis cendrĂ©. Des liens ont Ă©tĂ© Ă©tablis entre pratiques agricoles, vĂ©gĂ©tation et zone de nidification du Courlis cendrĂ©. 21 communautĂ©s vĂ©gĂ©tales ont Ă©tĂ© identifiĂ©es au sein de 5 marais test. L'Ă©tude de la valeur fourragĂšre montre que les apports Ă©nergĂ©tiques des communautĂ©s vĂ©gĂ©tales sont Ă©levĂ©s et Ă©quivalents Ă  ceux d'un foin ou d'un pĂąturage mĂ©sophile considĂ©rĂ©s comme rĂ©fĂ©rence rĂ©gionale. Au printemps, les pĂątures fournissent l'Ă©nergie et les protĂ©ines suffisantes pour assurer la production de 35 kg de lait sans complĂ©mentation. En conclusion, les prairies de marais ont un fort intĂ©rĂȘt pour la biodiversitĂ© et constituent un atout pour l'agriculture

    Abdominal lymph node recurrence from colorectal cancer: Resection should be considered as a curative treatment in patients with controlled disease

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    International audienceBackground: Lymph node recurrences (LNR) from colorectal cancer (CRC) still represent a therapeutic challenge, as standardized recommendations have yet to be established. The aim of this study was to analyze short- and long-term oncological outcomes following resection of LNR from CRC.Methods: All patients with previously resected CRC who underwent histopathologically confirmed LNR resection in 3 tertiary referral centers between 2010 and 2017 were reviewed. Short- and long-term outcomes were analyzed, mainly recurrence-free and overall survival. Further recurrences following LNR resection were also analyzed.Results: Overall, 18 patients were included. Primary CRC was left-sided in 16 (89%) patients, staged T3-4 in 15 (83%), N+ in 14 (78%) and presented with synchronous metastases in 8 (43%). Median time interval between primary CRC and LNR resections was 31 months. Performed lymphadenectomies were aortocaval (n = 10), pelvic (n = 7), in hepatic pedicle (n = 3) and mesenteric (n = 1). Four patients had associated liver metastases resection. Three (17%) presented with postoperative complications, of which one Clavien-Dindo 3. Fourteen (78%) patients presented with further recurrences after a mean delay of 9 months, with 36% of patients presenting with early (<6 months) recurrence. Five (36%) patients could undergo secondary recurrence resection and 3 (21%) patients radiotherapy. Median overall survival following LNR resection reached 44 months.Conclusions: Current results suggest that LNR resection is feasible and associated with improved survival, in selected patients. Longer time interval between primary CRC resection and LNR occurrence appeared to be a favorable prognostic factor whereas multisite recurrence appeared to be associated with impaired long-term survival

    Valeurs sanitaires de références pour le chlordécone: Avis de l'Anses. Rapport d'expertise collective

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    L’ANSES a Ă©tĂ© saisie le 10 juillet 2018 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l’alimentation (DGAL), la Direction gĂ©nĂ©rale de la santĂ© (DGS) et la Direction gĂ©nĂ©rale de la concurrence, de la consommation et de la rĂ©pression des fraudes (DGCCRF) pour la rĂ©alisation de l’expertise suivante : saisine de l’ANSES relative aux valeurs sanitaires de rĂ©fĂ©rences pour le chlordĂ©cone.Dans le cadre du plan ChlordĂ©cone 3 (2014-2020), l’ANSES et SantĂ© Publique France (SPF) ont Ă©tĂ© mobilisĂ©es pour rĂ©Ă©valuer les risques et les niveaux d’exposition de la population antillaise afin d’adapter les mesures de gestion.L’ANSES a publiĂ© un avis en dĂ©cembre 2017 relatif Ă  l’actualisation des donnĂ©es d’exposition par voie alimentaire afin d’évaluer les risques des populations antillaises et Ă©mettre des recommandations de consommation dans le cadre du projet KANNARI « SantĂ©, nutrition et exposition au chlordĂ©cone aux Antilles » (ANSES 2017).Pour formuler cet avis, l'ANSES avait menĂ© une analyse des Ă©tudes scientifiques parues depuis 2007 et jusqu'en 2014 (9 Ă©tudes Ă©pidĂ©miologiques et 13 Ă©tudes toxicologiques chez l’animal citĂ©es en annexe 2 de l'avis du 6 dĂ©cembre 2017) : elle avait conclu que les Ă©tudestoxicologiques publiĂ©es depuis l'Ă©tablissement des valeurs toxicologiques de rĂ©fĂ©rence (VTR) en 2003 ne remettaient pas en cause celles-ci.Il est rappelĂ© que 2 valeurs toxicologiques de rĂ©fĂ©rence (VTR) externes ont Ă©tĂ© dĂ©finies en 2003 (AFSSA 2003): une VTR chronique de 0,5 ”g/kg de poids corporel/j ; une VTR aiguĂ« de 10 ”g/kg pc/j.Par ailleurs, dans le cadre de la publication du volet imprĂ©gnation de l'Ă©tude KANNARI par SPF et aussi compte-tenu du contexte de fortes inquiĂ©tudes de la population antillaise au regard des donnĂ©es d’exposition interne il est apparu nĂ©cessaire aux ministĂšres de tutelle depouvoir disposer d’une VTR interne afin d'interprĂ©ter ces donnĂ©es. Dans le cadre de la prĂ©paration de la restitution des travaux de SPF et de l'ANSES aux agences rĂ©gionales de santĂ©, aux prĂ©fectures et Ă  leurs services, le 13 juin 2018, ainsi qu'au comitĂ© de pilotage du plan ChlordĂ©cone du 20 juin 2018, les deux agences (ANSES et SPF) ont proposĂ© que soit conduite une expertise pluridisciplinaire afin de dĂ©finir une VTR interne et, Ă  cette occasion, de rĂ©examiner les VTR (externes), permettant Ă  la fois d'assurer la cohĂ©rence des valeurs sanitaires de rĂ©fĂ©rence utilisĂ©es pour interprĂ©ter les deux volets de l'Ă©tude KANNARI, de les fonder sur une revue de littĂ©rature couvrant des pĂ©riodes identiques, et de prendre en compte les donnĂ©es scientifiques les plus rĂ©centes comme le recours Ă  un modĂšle pharmacocinĂ©tique Ă  base physiologique (PBPK). Á cet Ă©gard, la saisine avait rappelĂ© « l'importance du projet PK-chlor Antilles sur cette question qui permettra de dĂ©velopper un modĂšle prĂ©dictif PBPK afin d'estimer des doses d'exposition externes Ă  partir de doses internes (sang) ». Ce modĂšle avait vocation Ă  ĂȘtre mobilisĂ© pour estimer une VTR Ă  partir de donnĂ©es d’exposition interne existantes chez l’Homme. Il est demandĂ© Ă  l’ANSES de mener une expertise afin de dĂ©finir une VTR interne et, Ă  cette occasion de rĂ©examiner les VTR externes, notamment en complĂ©tant les analyses antĂ©rieures par la prise en compte des nouvelles Ă©tudes Ă©pidĂ©miologiques concernant l'exposition interne globale des populations. L’expertise doit porter sur l’ensemble des Ă©tudes Ă©pidĂ©miologiques et toxicologiques postĂ©rieures Ă  celles considĂ©rĂ©es dans l’élaboration des VTR publiĂ©es en 2003. L’ANSES devra aussi se rapprocher de l'Inserm chargĂ© de la coordination du projet PKchlor Antilles. Ce travail sera menĂ© en lien Ă©troit avec SPF, notamment pour la dĂ©finition d'une VTR interne pour le chlordĂ©cone.Si les VTR devaient ĂȘtre modifiĂ©es, il serait demandĂ© Ă  l’ANSES de reconsidĂ©rer ses prĂ©cĂ©dentes recommandations toujours dans l’optique de poursuivre l'objectif de rĂ©duction de l'exposition de la population antillaise au chlordĂ©cone, en particulier pour les populations les plus vulnĂ©rables.Concernant la VTR aiguĂ«, elle n’a pas Ă©tĂ© modifiĂ©e par l’ATSDR dans sa plus rĂ©cente Ă©valuation du chlordĂ©cone (ATSDR 2019, 2020). Le GT note que, selon les informations Ă  disposition, le chlordĂ©cone n’est plus fabriquĂ©, ni autorisĂ© en tant que produits phytopharmaceutiques depuis de nombreuses annĂ©es (1993) ; en consĂ©quence, l’exposition aiguĂ« chez l’Homme est trĂšs peu probable aujourd’hui et ne sera pas dĂ©veloppĂ©e dans ce rapport.Le prĂ©sent avis porte sur la mise Ă  jour de la VTR chronique externe et sur l’établissement d’une VTR chronique interne. Les conclusions Ă  tirer en matiĂšre d’adaptation des recommandations, seront transmises ultĂ©rieurement aux tutelles au travers d’un autre avis

    Valeurs sanitaires de références du chlordécone: Avis de l'Anses. Rapport d'expertise collective

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    L’ANSES a Ă©tĂ© saisie le 10 juillet 2018 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l’alimentation (DGAL), la Direction gĂ©nĂ©rale de la santĂ© (DGS) et la Direction gĂ©nĂ©rale de la concurrence, de la consommation et de la rĂ©pression des fraudes (DGCCRF) pour la rĂ©alisation de l’expertise suivante : saisine de l’ANSES relative aux valeurs sanitaires de rĂ©fĂ©rences pour le chlordĂ©cone.Dans le cadre du plan ChlordĂ©cone 3 (2014-2020), l’ANSES et SantĂ© Publique France (SPF) ont Ă©tĂ© mobilisĂ©es pour rĂ©Ă©valuer les risques et les niveaux d’exposition de la population antillaise afin d’adapter les mesures de gestion.L’ANSES a publiĂ© un avis en dĂ©cembre 2017 relatif Ă  l’actualisation des donnĂ©es d’exposition par voie alimentaire afin d’évaluer les risques des populations antillaises et Ă©mettre des recommandations de consommation dans le cadre du projet KANNARI « SantĂ©, nutrition et exposition au chlordĂ©cone aux Antilles » (ANSES 2017).Pour formuler cet avis, l'ANSES avait menĂ© une analyse des Ă©tudes scientifiques parues depuis 2007 et jusqu'en 2014 (9 Ă©tudes Ă©pidĂ©miologiques et 13 Ă©tudes toxicologiques chez l’animal citĂ©es en annexe 2 de l'avis du 6 dĂ©cembre 2017) : elle avait conclu que les Ă©tudestoxicologiques publiĂ©es depuis l'Ă©tablissement des valeurs toxicologiques de rĂ©fĂ©rence (VTR) en 2003 ne remettaient pas en cause celles-ci.Il est rappelĂ© que 2 valeurs toxicologiques de rĂ©fĂ©rence (VTR) externes ont Ă©tĂ© dĂ©finies en 2003 (AFSSA 2003): une VTR chronique de 0,5 ”g/kg de poids corporel/j ; une VTR aiguĂ« de 10 ”g/kg pc/j.Par ailleurs, dans le cadre de la publication du volet imprĂ©gnation de l'Ă©tude KANNARI par SPF et aussi compte-tenu du contexte de fortes inquiĂ©tudes de la population antillaise au regard des donnĂ©es d’exposition interne il est apparu nĂ©cessaire aux ministĂšres de tutelle depouvoir disposer d’une VTR interne afin d'interprĂ©ter ces donnĂ©es. Dans le cadre de la prĂ©paration de la restitution des travaux de SPF et de l'ANSES aux agences rĂ©gionales de santĂ©, aux prĂ©fectures et Ă  leurs services, le 13 juin 2018, ainsi qu'au comitĂ© de pilotage du plan ChlordĂ©cone du 20 juin 2018, les deux agences (ANSES et SPF) ont proposĂ© que soit conduite une expertise pluridisciplinaire afin de dĂ©finir une VTR interne et, Ă  cette occasion, de rĂ©examiner les VTR (externes), permettant Ă  la fois d'assurer la cohĂ©rence des valeurs sanitaires de rĂ©fĂ©rence utilisĂ©es pour interprĂ©ter les deux volets de l'Ă©tude KANNARI, de les fonder sur une revue de littĂ©rature couvrant des pĂ©riodes identiques, et de prendre en compte les donnĂ©es scientifiques les plus rĂ©centes comme le recours Ă  un modĂšle pharmacocinĂ©tique Ă  base physiologique (PBPK). Á cet Ă©gard, la saisine avait rappelĂ© « l'importance du projet PK-chlor Antilles sur cette question qui permettra de dĂ©velopper un modĂšle prĂ©dictif PBPK afin d'estimer des doses d'exposition externes Ă  partir de doses internes (sang) ». Ce modĂšle avait vocation Ă  ĂȘtre mobilisĂ© pour estimer une VTR Ă  partir de donnĂ©es d’exposition interne existantes chez l’Homme. Il est demandĂ© Ă  l’ANSES de mener une expertise afin de dĂ©finir une VTR interne et, Ă  cette occasion de rĂ©examiner les VTR externes, notamment en complĂ©tant les analyses antĂ©rieures par la prise en compte des nouvelles Ă©tudes Ă©pidĂ©miologiques concernant l'exposition interne globale des populations. L’expertise doit porter sur l’ensemble des Ă©tudes Ă©pidĂ©miologiques et toxicologiques postĂ©rieures Ă  celles considĂ©rĂ©es dans l’élaboration des VTR publiĂ©es en 2003. L’ANSES devra aussi se rapprocher de l'Inserm chargĂ© de la coordination du projet PKchlor Antilles. Ce travail sera menĂ© en lien Ă©troit avec SPF, notamment pour la dĂ©finition d'une VTR interne pour le chlordĂ©cone.Si les VTR devaient ĂȘtre modifiĂ©es, il serait demandĂ© Ă  l’ANSES de reconsidĂ©rer ses prĂ©cĂ©dentes recommandations toujours dans l’optique de poursuivre l'objectif de rĂ©duction de l'exposition de la population antillaise au chlordĂ©cone, en particulier pour les populations les plus vulnĂ©rables.Concernant la VTR aiguĂ«, elle n’a pas Ă©tĂ© modifiĂ©e par l’ATSDR dans sa plus rĂ©cente Ă©valuation du chlordĂ©cone (ATSDR 2019, 2020). Le GT note que, selon les informations Ă  disposition, le chlordĂ©cone n’est plus fabriquĂ©, ni autorisĂ© en tant que produits phytopharmaceutiques depuis de nombreuses annĂ©es (1993) ; en consĂ©quence, l’exposition aiguĂ« chez l’Homme est trĂšs peu probable aujourd’hui et ne sera pas dĂ©veloppĂ©e dans ce rapport.Le prĂ©sent avis porte sur la mise Ă  jour de la VTR chronique externe et sur l’établissement d’une VTR chronique interne. Les conclusions Ă  tirer en matiĂšre d’adaptation des recommandations, seront transmises ultĂ©rieurement aux tutelles au travers d’un autre avis
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