Dysfonctionnement érectile chez les patients d’âge plus avancé qui souffrent de l’attaque d’apoplexie : corrélation entre le côté de la hémiplégie et le dysfonctionnement érectile

This study was conducted to determine the effects of hemiplegia on erectile function in stroke patients. One hundred and five stroke patients grouped into left (61.78±7.79 years) and 55 right hemiplegic (62.11 ± 9.32 years) and 40 age-matched controls (64.00± 8.53 years).The International Index of Erectile Function questionnaire was used for data collection. One way analysis of variance and Spearman correlation tests were used in data analysis. Erectile function was significantly decreased in the both right (IIEF-5, 7.55 ± 4.07) and left hemiplegic groups (IIEF-5, 10.40 ± 5. 70) compared with the control group (IIEF-5, 20.50 ±4.2 7) p<0.05. Side of hemiplegia significantly correlated with erectile dysfunction at p<0.01. Conclusively, stroke mostly affects erectile function of right hemiplegia (Afr J Reprod Health 2009; 13[2]:49-54).L’étude avait pour objectif de déterminer les effets de la hémiplégie sur le fonctionnement érectile chez les patients souffrant de l’attaque d’apoplexie. Cent cinq patients qui souffraient de l’attaque d’apoplexie regroupés en 50 hémiplégie de gauche (61,78±7,79ans) et 55 hémiplégie de droit (62,11±9,32ans) et 40 groupes témoin appariés suivant l’âge (64,00±8,53 ans). Les données ont été recueillies à l’aide des questionnaires de l’indice international du Dysfonctionnement Erectile. Une analyse à sens unique de variance et des tests de corrélation de Spearman ont été utilisés pour analyser les données. La fonction érectile a baissé de manière importante dans les groupes hémiplégiques de droit (HEF – 5,7,55±4,07) et de gauche (11EF – 5, 10,40±5,70) par rapport au groupe témoin (11EF – 5, 20,50±4,27) P<0,05. Le côté de l’hémiplégie était en corrélation significative avec le dysfonctionnement érectile (p<0,01). En conclusion, l’apoplexie affecte surtout le fonctionnement de l’hémiplégie de droit (Afr J Reprod Health 2009; 13[2]:49-54)