19 research outputs found

    An Experimental Analysis Of the Demand For Payday Loans

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    The payday loan industry is one of the fastest growing segments of the consumer financial services market in the United States. We design an environment similar to the one that payday loan customers face and then conduct a laboratory experiment to examine what effect, if any, the existence of payday loans has on individuals\u27 abilities to manage and to survive financial setbacks. Our primary objective is to examine whether access to payday loans improves or worsens the likelihood of financial survival in our experiment. We also test the degree to which people\u27s use of payday loans affects their ability to survive financially. We find that payday loans help the subjects to absorb expenditure shocks and therefore survive financially. However, subjects whose demand for payday loans exceeds a certain threshold level are at a greater risk than a corresponding subject in the treatment in which payday loans do not exist

    Qu'est-ce qui explique les mouvements des enfants vers la situation de faible revenu et hors de celle-ci? les changements de situation sur le marche du travail ou le mariage et le divorce?

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    La pauvrete chez les enfants est un probleme auquel le gouvernement accorde la priorite. Pour reduire le taux de faible revenu chez les enfants, il faut soit diminuer le nombre d'enfants qui entrent dans la situation de faible revenu, soit accroitre le nombre de ceux qui en sortent. Mais quels sont les facteurs qui influent sur de tels mouvements? La majorite des analystes invoqueront d'emblee les pertes d'emploi chez les parents. Cependant, de toute evidence, les divorces et les remariages peuvent aussi jouer un role a cet egard. Pour pouvoir influencer de facon utile les mouvements, il faut posseder une certaine comprehension des forces qui agissent sur eux. L'objet du present document est de determiner dans quelle mesure les mouvements des enfants sont le fait (1) de changements dans la situation familiale des parents ou (2) de changements dans la situation d'un parent sur le marche du travail (perte ou obtention d'un emploi, changements dans les heures de travail ou la remuneration, etc.). Nous avons constate qu'un divorce ou un mariage peut avoir une enorme incidence sur la probabilite qu'un enfant en particulier entre dans la situation de faible revenu ou en sorte. Au niveau individuel, les changements dans la composition de la famille (quand il s'en produit) ont un effet plus marque que les changements dans la situation des parents sur le marche du travail. Cependant, les premiers sont relativement peu frequents en comparaison des derniers. Les parents sont beaucoup plus susceptibles de perdre ou de decrocher un emploi et de connaitre des modifications de leurs heures de travail ou de leur remuneration que de se marier ou de divorcer. Lorsque nous tenons compte de cela, nous constatons que, dans l'ensemble, les mouvements des enfants dans la situation de faible revenu et en dehors de celle-ci sont attribuables, dans des proportions a peu pres egales, aux changements dans la compositions de la famille et aux changements dans la remuneration et les heures de travail.Divorce and separation, Employment and unemployment, Families, households and housing, Income, pensions, spending and wealth, Job training and educational attainment, Labour, Low income and inequality, Wages, salaries and other earnings

    Mouvements de la main-d'oeuvre et adaptation au marche du travail en Ontario de 1978 a 1993

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    Le present document traite du roulement de la main-d'oeuvre et de l'adaptation au marche du travail dans l'economie ontarienne, entre 1978 et 1993. Les principales conclusions qui ressortent de cette analyse sont resumees ci-apres. Le taux de mises a pied permanentes et le taux global de cessations d'emploi permanentes varient tous deux considerablement, d'une industrie a une autre. En 1992, par exemple, les taux de mises a pied permanentes et de cessations d'emploi permanentes ont fluctue respectivement entre 27,3 % et 34,2 % dans le secteur de la construction a seulement 1,4 % et 9,3 % dans le secteur des services publics. Le taux de mises a pied permanentes et le taux global de cessations d'emploi permanentes varient aussi considerablement selon le sexe et l'age du travailleur et la taille de l'entreprise dans la plupart des entreprises, ces taux sont plus eleves chez les travailleurs que les travailleuses, chez les travailleurs plus jeunes et les petits employeurs. Alors que le taux de mises a pied permanentes augmente en periodes de recession economique et qu'il diminue durant les periodes de reprise, l'inverse vaut pour le taux global de cessations d'emploi permanentes. Cette situation s'explique du fait que le taux de demissions et le taux de cessations d'emploi permanentes pour d'autres raisons diminuent tous deux en periodes de recession et augmentent durant les periodes de reprise, et ce dans des proportions qui font plus que compenser la tendance inverse qui caracterise le taux de mises a pied permanentes. Ces conclusions basees sur des totalisations simples sont corroborees par les resultats de l'analyse de regression logistique a plusieurs variables sur les determinants statistiques des mises a pied permanentes et de l'ensemble des cessations d'emploi permanentes dans la plupart des industries, apres avoir tenu compte des effets du sexe et de l'age du travailleur, de la taille de l'entreprise et de la periode, la probabilite estimee de mises a pied permanentes est plus faible chez les travailleuses, elle diminue considerablement avec l'age et la taille de l'entreprise et elle augmente en periodes de recession et diminue durant les periodes de reprise et d'expansion. Les courbes de la frequence estimee de l'ensemble des cessations d'emploi permanentes sont tres similaires a celles qui caracterisent les mises a pied permanentes, si ce n'est que le taux global de cessations d'emploi permanentes diminue durant les recessions et augmentent en periodes de reprise. Les employeurs qui avaient quitte ou perdu leur emploi de facon definitive ont eu beaucoup plus de difficulte a trouver un emploi durant la derniere recession, qu'a toute autre periode durant les 15 dernieres annees. Ainsi, pres de 40 % des travailleurs qui avaient perdu ou quitte leur emploi en 1989 etaient toujours sans emploi en 1993. Cette situation tranche nettement avec celle observee au debut des annees 80, ou 29 % des travailleurs ayant quitte ou perdEmployment and unemployment, Labour, Labour mobility, turnover and work absences, Work transitions and life stages

    Job Turnover and Labour Market Adjustment in Ontario from 1978 to 1993

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    This paper documents job turnover and labour market adjustment activities in the Ontario economy from 1978 to 1993. The following highlights the major findings. Both the permanent layoff rate and the total permanent separation rate vary substantially from one industry to another. In 1992, the permanent layoff and total permanent separation rates ranged from 27.3% and 34.2% in construction to only 1.4% and 9.3% in public services, respectively. The permanent layoff rate and the total permanent separation rate also differ noticeably by gender, age and firm size - in most industries, the rates are higher among male workers than among females, higher among younger workers, and higher among smaller employers. While the permanent layoff rate increases during business cycle downturns and decreases during business cycle upswings, the reverse trend is observed with the total permanent separation rate. This is because the quit rate and the other permanent separation rate both decline during downturns and rise during upswings, more than offsetting the opposite trend associated with the permanent layoff rate. These univariate-tabulation findings are confirmed in the multi-variate logistic regression results on the statistical determinants of permanent layoffs and total permanent separations. In most industries, after controlling for gender, age, firm size and time periods, the estimated likelihood of permanent layoffs is lower among female workers, decreases significantly with age and firm size, increases during recessions and decreases during recovery and expansion in most industries. The patterns of estimated incidence of total permanent separations are very similar to those of permanent layoffs except that total permanent separations decline during business cycle downturns and climb during business cycle upswings. Permanently separated workers have had a much more difficult time in finding employment during the most recent recession than any other time in the past 15 years. Almost 40% of those who lost or left a job in 1989 did not have a job in 1993. This is in marked contrast with the experience of the early 1980s, when 29% of permanently separated workers were jobless 3 years after the separation. A very similar trend is found when the analysis is applied to labour market transitions among permanently laid-off workers. There is a great deal of out-of-province migration among permanently separated workers who did find a job. Nearly 45% of those who lost or left a job in 1989 and found a job in 1993 were employed outside of Ontario. An identical proportion of permanently laid-off workers is found to be employed in other provinces. There is tremendous inter-industrial mobility among permanently separated workers who found employment in Ontario. Less than 44% of those separated from a job in 1989 and found employment in 1993 in Ontario have remained in the same industry. Inter-industrial mobility is even greater among permaEmployment and unemployment, Labour, Labour mobility, turnover and work absences, Work transitions and life stages

    Why Do Children Move into and out of Low Income: Changing Labour Market Conditions or Marriage and Divorce

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    Child poverty is high on the government's agenda. In order to reduce the rate of low-income among children, one has to either reduce the number of children flowing into low-income, or increase the number flowing out. But what is behind such movement? Most analysts would immediately think of job loss among the parents, but obviously divorce and remarriage can also play a role. In order to favourably alter the flows, one has to have some understanding of what is driving them. This paper asks to what extent this movement of children is determined by (1) changes in family status of the parents of children, or (2) changes in the parent's labour market conditions (i.e. job loss and gain, changes in hours of work or wages). We find that for an individual child, a divorce or marriage can have a tremendous influence on the likelihood of entering or exiting low-income. At the level of the individual, changes in family composition (when they occur) are more important than changes in jobs held by parents. However, changes in family status are relatively infrequent compared to labour market changes. Parents are much more likely to lose or find jobs, and experience changes in hours worked or wages, than they are to marry or divorce. When this is accounted for we find that, in the aggregate, flows of children into and out of low income are associated roughly equally with family compositional changes and changes in wages and hours worked.Divorce and separation, Employment and unemployment, Families, households and housing, Income, pensions, spending and wealth, Job training and educational attainment, Labour, Low income and inequality, Wages, salaries and other earnings

    Inegalites entre les quartiers des villes canadiennes

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    Pour notre propos, nous nous reportons a des donnees sur les secteurs de recensement (SR) pour analyser l'evolution des inegalites de revenu entre quartiers et la segregation residentielle d'origine economique dans les huit premieres villes canadiennes de 1980 a 1995. Le clivage des revenus entre quartiers riches et pauvres est-il en train de s'accentuer? Les familles a fort et a faible revenu se regroupent-elles de plus en plus dans des quartiers economiquement homogenes? Nos principaux resultats sont un developpement de l'examen des consequences spatiales de l'evolution deja bien decrite des inegalites familiales de revenu et de gains depuis 1980. Ainsi, nous constatons que les inegalites de revenu familial (revenu apres transferts et avant impot) ont monte dans toutes les villes, surtout a cause d'un large accroissement des inegalites de revenu du travail. Les gains moyens ont baisse en valeur reelle, parfois d'une maniere radicale, dans les quartiers a faible revenu de presque toutes les villes, alors qu'ils connaissaient une progression moderee dans les quartiers a fort revenu. Ce qui est frappant, c'est que les transferts sociaux, qui etaient le grand facteur de stabilisation des inegalites nationales de revenu dans une situation d'accentuation des disparites de revenu du travail, n'ont eu qu'une modeste influence sur l'evolution des inegalites entre quartiers. Les changements de repartition du revenu du travail selon les quartiers sont l'indice d'une nette transformation du caractere socio-economique d'un grand nombre de quartiers. L'emploi s'est de plus en plus concentre dans les quartiers a fort revenu et le chomage, dans les quartiers a faible revenu. Nous nous demanderons enfin si les inegalites entre quartiers tiennent principalement a une aggravation des disparites de revenu familial dans l'ensemble d'une ville ou au regroupement croissant des familles dans des quartiers qui leur ressemblent et qui deviennent ainsi economiquement plus homogenes ( economique). On peut voir que la segregation spatiale d'origine economique augmente dans toutes les villes. Dans quatre des huit villes etudiees, elle a ete le grand facteur de la montee des inegalites entre quartiers; dans les quatre autres, c'est l'accroissement general des inegalites de revenu entre familles urbaines qui explique principalement le phenomene.Equity and inclusion, Household, family and personal income, Income, pensions, spending and wealth, Labour, Low income and inequality, Society and community, Wages, salaries and other earnings

    Permanent Layoffs in Canada: Overview and Longitudinal Analysis

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    Canadians are increasingly concerned about permanent layoffs, as many feel job instability and the possibility of job loss has increased in the 1990s. Governments, confronted with a large number of permanent layoffs each year, need to know how to respond to improve labour adjustment and the possibility of quickly finding a new job for displaced workers. Within this context, this paper uses a new longitudinal data source on the separations of workers to address three issues. First, has there in fact been an increase in the permanent layoff rate in Canada in the 1990s, as one might anticipate given concerns about rising job instability? Second, what are the underlying causes of most permanent layoffs? The paper explicitly examines the role played by cyclical variation in aggregate demand, variation in industrial demand which is often associated with structural change, and differences in layoff rates by firm size which is in turn associated with the birth and death process of firms. Third, with this as background, the core of the paper asks a question of concern to policy analysts: are most permanent layoffs rare events for workers, or are they a continuation of a pattern of repeat layoffs? This is important because a worker who is confronted with a layoff which is a rare event will require very different post-displacement adjustment assistance from someone whose history of employment has been marked with frequent layoffs, suggesting an inability to hold a job or demand-side instability in the firm or industry in which the person has worked. The workers' employment history over 10 years is used to explore the relationship between permanent layoff history and the probability of being laid off. Displaced workers are classified "low-risk", "medium-risk" and "high-risk" based on their layoff history, and multinomial logistic analysis is used to distinguish worker and firm characteristics associated with repeat layoffs or layoffs as rare events.Labour, Labour mobility, turnover and work absences, Work transitions and life stages

    Les mises a pied permanentes au Canada : vue d'ensemble et analyse longitudinale

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    Les Canadiens sont de plus en plus preoccupes par les mises a pied permanentes, car un grand nombre d'entre eux estiment que l'instabilite d'emploi et la possibilite de perdre son emploi se sont accrues au cours des annees 90. Aussi les gouvernements, qui font face chaque annee a une multitude de mises a pied permanentes, doivent-ils savoir comment reagir pour ameliorer l'adaptation des travailleurs deplaces et leur possibilite de trouver rapidement un nouvel emploi. Dans ce contexte, nous utilisons ici une nouvelle source de donnees longitudinales sur les cessations d'emploi pour traiter trois questions. Premierement, le taux des mises a pied permanentes au Canada a-t-il reellement augmente pendant les annees 90, comme on pourrait s'y attendre etant donne les craintes entourant l'instabilite accrue d'emploi? Deuxiemement, quelles sont les causes sous-jacentes de la plupart des mises a pied permanentes? Dans le present document, nous examinons explicitement le role que jouent les variations cycliques de la demande globale, les variations de la demande industrielle qui est souvent associee au changement structurel, et les differences des taux des mises a pied selon la taille des entreprises, qui elles, sont associees au processus de creation et de disparition des entreprises. Troisiemement, dans ce contexte, l'auteur pose une question fondamentale qui presente de l'interet pour les analystes de politique : les mises a pied permanentes sont-elles le plus souvent un evenement rare pour les travailleurs, ou sont-elles la prolongation d'une serie de mises a pied repetitives? Cela importe beaucoup, parce que l'aide a l'adaptation pour un travailleur dont la mise a pied est un evenement rare est tres differente de celle dont aura besoin le travailleur dont les antecedents d'emploi comprennent des mises a pied frequentes - ce qui porte a conclure a l'incapacite du travailleur de garder un emploi ou a l'instabilite de la demande dans l'entreprise ou la branche d'activite dans laquelle la personne a travaille. Les antecedents d'emploi du travailleur sur 10 ans servent a explorer le lien entre les antecedents de mises a pied permanentes et la probabilite de mise a pied. Les travailleurs deplaces sont classes " a faible risque ", " a risque moyen " et "a haut risque" selon leurs antecedents de mises a pied, et on utilise une analyse logistique multinomiale pour distinguer les caracteristiques des travailleurs et de l'entreprise associees a des mises a pied successives ou a des mises a pied qui sont des evenements rares.Labour, Labour mobility, turnover and work absences, Work transitions and life stages
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