45 research outputs found

    Les <i>dhāraṇī</i> des neuf planètes sous la forme d’un <i>vajra</i>

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    Angela Falco Howard, Summit of Treasures. Buddhist Cave Art of Dazu, China

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    Wang-Toutain Françoise. Angela Falco Howard, Summit of Treasures. Buddhist Cave Art of Dazu, China. In: Arts asiatiques, tome 58, 2003. pp. 191-192

    Quand les maîtres chinois s'éveillent au bouddhisme tibétain

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    Françoise Wang-Toutain When Chinese masters open themselves to Tibetan Buddhism At the beginning of the 20th century, while the Chinese Buddhist authorities were interested in the reform of their educational system, some Chinese Masters turned to Tibetan Buddhism. Among them, Fazun (1902-1980) is notable for the passion and the rigour with which he dedicated all his life to the translation of texts from the Tibetan Buddhist canon that did not exist in Chinese. A particular political climate and the wish for reforms and opening that sustained the great Buddhist masters of those years, created conditions, particularly by the foundation of some institutes, that helped Fazun to get an education that enabled him to achieve the task of translating in which he was so interested from the time of his entry into religious life. During his stays in Tibet, he mainly studied with masters from the Gélukpa (dGelugs-pa) school, the school which was founded by rJe Tsongkhapa (1357-1419). When he came back to China he largely contributed to the diffusion of Tibetan Buddhism among the population by the number and the quality of his translations. These are still works of reference in Continental China and in Taiwan, where Tibetan Buddhism is enjoying great interest.Françoise Wang-Toutain Quand les maîtres chinois s'éveillent au bouddhisme tibétain Au début du XXe siècle, alors que les autorités ecclésiastiques bouddhiques chinoises s'intéressaient à la réforme de leur système éducatif, certains maîtres chinois se tournèrent vers le bouddhisme tibétain. Parmi eux, Fazun (1902-1980) se distingua à la fois par la passion et par la rigueur avec lesquelles il consacra l'ensemble de sa vie à traduire les textes du canon tibétain qui n'existaient pas en version chinoise. Un climat politique particulier et le désir de réformes et d'ouverture qui animait les grands maîtres bouddhistes de l'époque créèrent des conditions favorables, notamment par la fondation d'un certain nombre d'instituts, pour que Fazun reçoive une formation qui lui permette de mener à bien l'entreprise de traduction vers laquelle il se sentit attiré peu après avoir été ordonné religieux. C'est essentiellement auprès de maîtres tibétains de l'École Gélukpa (dGelugs-pa), fondée par rJe Tsongkhapa (1357-1419), que Fazun étudia lors de ses différents séjours au Tibet. À son retour en Chine, il contribua grandement à la diffusion du bouddhisme tibétain parmi la population chinoise par le nombre et la qualité de ses traductions. Ces dernières sont encore des références, que ce soit sur le Continent ou à Taiwan, où le bouddhisme du Pays des neiges connaît actuellement un regain d'intérêt.Wang-Toutain Françoise. Quand les maîtres chinois s'éveillent au bouddhisme tibétain. In: Bulletin de l'Ecole française d'Extrême-Orient. Tome 87 N°2, 2000. pp. 707-727

    Le bodhisattva Ksitigarbha en Chine. VIe siècle au XIIIe siècle

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    Le diagramme des explications doctrinales d’un commentaire au Traité sur la production de la foi dans le Grand Véhicule

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    Les cercueils du tombeau de l'empereur Qianlong

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    Yuling, the tomb of the Manchu emperor Qianlong (r.1736- 1796), built between 1743 and 1752, is absolutely outstanding and, till now, unique in its kind, for its vaults and its walls are decorated with Buddhist representations as well as with inscriptions in Tibetan and Lantsa scripts (more than 30 000 characters). The tomb also contains the inner coffin of a concubine as well as three outer coffins among which the outer coffin of the emperor. On one side of the emperor's outer coffin three lines in Tibetan are handwritten with golden ink. As for the inner coffin of the concubine, its sides and its top are entirely engraved with Tibetan inscriptions. Though the tomb has been officially opened since 1977, the identification of the mural and coffin inscriptions had not yet been done. In the present article, the author presents the identification of each of the texts engraved on the coffins as well as the likely reason why they have been chosen. It seems that all these inscriptions were integrated in a Buddhist ritual of which traces may be found in India. This ritual aimed at the sacralisation and protection of the place and was thus very close to the one used during the edification of a stūpa.Yuling, le tombeau de l'empereur mandchou Qianlong (r.1736-1796) construit entre 1743 et 1752, est tout à fait remarquable, et pour l'instant unique en son genre, en ce que ses voûtes et ses murs sont décorés de représentations bouddhiques et d'inscriptions en tibétain et en écriture lantsa (plus de 30 000 caractères). Il contient par ailleurs le cercueil intérieur d'une concubine ainsi que trois cercueils extérieurs parmi lesquels celui de l'empereur. Sur l'un des côtés de ce dernier sont copiées, à l'encre d'or, trois lignes de tibétain. Quant au cercueil intérieur de la concubine, ses parois ainsi que son couvercle sont entièrement gravés de textes en tibétain. Bien que le site soit officiellement ouvert depuis 1977, l'identification des inscriptions murales ainsi que celle des textes copiés sur les cercueils n'avait pas encore été faite. Dans le présent article, l'auteur présente une identification de chacun des textes inscrits sur les cercueils ainsi que la raison probable pour laquelle ils ont été choisis. Il apparaît en effet que l'ensemble de ces inscriptions s'intégrait dans un rituel bouddhique dont on trouve des traces en Inde et qui visait à une sacralisation et une protection du lieu, s'apparentant à celle qui est recherchée lors de l'édification d'un stūpa.Wang-Toutain Françoise. Les cercueils du tombeau de l'empereur Qianlong. In: Arts asiatiques, tome 60, 2005. pp. 62-84

    The Dharanis in Lantsa Script in Emperor Qianlong’s Tomb. A Preliminary Survey

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    De l'importance des colophons

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    Les princes mandchous et l’édition de textes bouddhiques tibétains au XVIIe siècle Parmi les textes précieux conservés à la bibliothèque d'études tibétaines du Collège de France se trouve une xylographie ((La gravure sur bois (ou xylogravure) se développa en Asie dès le VIIe siècle. Elle permet de reproduire en grand nombre des textes ou des images en les imprimant sur du papier ou du tissu. L'usage de ce procédé est intimement lié au bouddhisme qui recommandait la copie et la diffusion des..

    Paul Pelliot et les études bouddhiques

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