1 research outputs found

    Représentations par les médecins généralistes du rôle de l'entourage accompagnant le patient

    No full text
    International audienceThe Aim : of this study is to describe, from the perspective of general practitioners, the role of relatives and caregivers who accompany a patient in their consultation and treatment processes. 435 general practitioners filled out two questionnaires: the first was self administered and the second described specific clinical situations and the possible role of the family caregiver in the case of a patient with Alzheimer's diseases, Parkinson's disease, depression, epilepsy, asthma, cardiovascular disease, or type II diabetes.General practitioners think that overall they offer satisfactory responses to relatives' requests and concerns regarding the disease itself and its treatment. However, they do not feel skilled or qualified enough to answer them with regard to administrative or social questions. The relative's role is for the most part, perceived as positive, and seems to contribute to the efficacy of the care provided. This description corresponds to a new trend in modern medical practice, dominated by the burden of chronic and disabling diseases which implies, and in some cases requires, the need to involve a relative's presence and on-going support.L’objectif de cette étude est de décrire la perception des médecins généralistes du rôle et de la place de l’entourage accompagnant le patient en consultation. 435 médecins représentatifs de leur profession ont rempli deux questionnaires, l’un auto-administré déclaratif, l’autre décrivant trois situations cliniques réelles et la place des accompagnants en cas de maladie d’Alzheimer, de maladie de Parkinson, de dépression, d’épilepsie, d’asthme, d’insuffisance cardiaque ou de diabète de type 2. Les médecins pensent répondre de façon globalement satisfaisante aux attentes de l’entourage concernant la maladie et son traitement mais s’estiment peu compétents pour les questions administratives et sociales. Le rôle de l’accompagnant est majoritairement perçu comme positif et contributif à l’efficacité des soins. Cette étude correspond à la nouvelle donne de l’exercice médical moderne, dominé par le poids des pathologies chroniques et invalidantes impliquant la présence d’un tiers
    corecore