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    RÉSUMÉ

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    Dans la première partie de l'article, l'auteur donne une brève introduction historique et montre quelles étaient les étapes principales dans le développement des théories de l'évolution sociale. Il montre la base de classe des explications prémarxistes de l'évolution sociale et les causes de leur étendue limitée. Le point de départ de toute théorie du développement social est l'homme. Les philosophes des temps modernes reconvertent l'homme en une partie de la nature mais-ils commettent l'erreur d'avoir confondu les lois spéciales du développement historique avec les lois generales de la nature. L'auteur expose les opinions d'Holbach sur ce sujet et le développement intericur des explications du développement social à travers les théories du Contrat Social (Hobbes, Spinoza, Rousseau), les théories géographiques (Montesquieu), les conceptions idéalistiques du rôle des idées dans le développement de l'histoire (Voltaire et autres), la théorie du milieu social (Helvetius). Il montre les conceptions de mique, et les conceptions des historiens (Thierry, Mignet, Guizot) qui se rendent compie du rôle des classes dans le développement social. Après avoir donné le point de vue des utopistes-socialistes et des classiques de l'idéalisme allemand (Fichte, Hegel), il vient à la conclusion que toutes les théories mentionnées, en depit des contributions remarquables qu'elles ont appartées, n'ont pas resolu un grand problème dont l'importance pour la pratique historique de l'homme est capitale. Reynal, Volney, Barnave, chez lesquels il y a des éléments du matérialisme économe. Dans la seconde partie l'auteur fait voir que ce probleme n'a été résolu que par Karl Marx et Friedrich Engels, il est vrai graduellement, mais dans un délai du temps très court. Dans cet ordre l'oeuvre La sainte famille fixe le commencement dans lequel une bonne partie des idées fondamentales de la conception matérialistique de l'histoire est posée, pour obtenir ses formes defimitives dans 1 Idéologie Allemand, Misère de la philosophie et dans les oeuvres ultérieures. Dans cet oeuvre Marx et Engels dépassent de beaucoup les conceptions de Feuerbach et exposent à la critique particulierement celle des jeunes hegeliens rassemblés autour de B. Bauer qui ont continué d'une manière idéalistique la philosophie de Hegel. Selon Marx et Engels (il s'agit exclusivement des idées contenues dans cette oeuvre), l'homme n'est pas seulement un être concret biologique mais aussi social. En critiquant Bauer, ils sont d'opinion qu'on conséquence, les rapports de l'homme envers les choses et les phénomènes sont des rapports concrets et non pas des rapports de phantaisie, que la realité humaine ne peut être resolu spéculativement mais, au contraire, par une action réelle. En traitant l'homme en membre de la société bourgeoise laquelle pour Marx et Engels n'est plus une abstraction ou somme de valeurs spirituelles mais zugellose Bewegung der geistigen und materiellen Elemente, ils soulignent ces moments matériels comme décisifs pour la constitution de n'importe quelle société. Ils accentuent l'opinion que la caractéristique essentielle de cette société bourgeoise moderne est l'anarchie et que l'état moderne n'a pour sa base rien que cotte société bourgeoise de classe. D'une telle analyse ils viennent aux conclusions finales de cette oeuvre à savoir, que la production materielle, la concurrence capitalistique et l'intérêt sont la base et l'essence de l'état bourgeois moderne. Le lien natal de l'historie, comme ils s'expriment, ils le voient dans la production grossière, materielle sur la terre. De cette manière ils résolvent la question du rôle des idées dans l'histoire, qui ne sont pas le demiurge de la realité sociale mais son produit avec l'action reciproque. Marx et Engels posent une autre thèse: que le développement de la production, industrie etc. est un proces nécessaire et conforme a la loi. Après les analyses dialectiques des contradictions entre la bourgeosie et le prolétariat, Marx conclut qu'il ne s'agit pas de ce que tel ou tel prolétaire représente mais: »Es handelt sich darum, was est ist, und was es diesem Sein gemäss geschichtlich zu tun gezwungen sein wird. Sein Ziel und seine geschichtliche Action est in seiner eigenen Lebenssituation, wie in der ganzen Organisation der heutigen bürgerlichen Geselschaft sinnfällig, unwiderruflich vorgezeichnet.« Dans la troisième partie, l'auteur traite les thèses de Plekhanov sur le développement philosophique de Marx et Engels. Il démontre que le point de vue de Plekhanov, selon lequel Marx et Engels, en écrivant »La sainte Famille«, partagevaient les idées de »l'homme abstrait« de Feuerbach et qu'ils auraient une attitude complètement negative envers Hegel, n'est pas exact. L'analyse de l'oeuvre à elle-même suffit à demontrer l'insoutenabilité et inexactitude du point de vue de Plekhanov. L'auteur conclut qu'en dépit de l'état incomplet des certaines idées, en dépit de l'état incomplet même de quelques conceptions fondementales du matérialisme historique, l'oeuvre de Marx et Engels »La sainte Famille« occupe une place importante dans l'ensemble de leur travail philosophique, étant une oeuvre dans laquelle ils ont donné, pour la première fois ensemble, une grande partie des thèses fondamentales du matérialisme dialectique et historique, qui marquent l'étape dans le développement da la pensée humaine et l'activité historique de l'homme

    Predrag Vranicki levelei Lukács Györgynek

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    Theoretical Foundations for the Idea of Self-Management

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