14 research outputs found

    Nantua – Église Saint-Michel

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    Des fouilles, limitées dans le temps et l’espace, ont été effectuées dans l’ancienne abbatiale Saint-Pierre de Nantua, aujourd’hui église paroissiale Saint-Michel, à l’occasion de travaux de consolidation d’un des piliers de la croisée du transept. Elles ont permis la mise en évidence d’une abside antérieure à l’édifice roman et l’individualisation de deux groupes de sépultures. L’abside, reconnue sur quelques mètres de longueur dans la travée orientale de la nef actuelle et du collatéral sud..

    La villa des Grandes Terres à Beynost (Ain) : organisation spatiale et techniques de construction

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    La fouille, en 1999, de la villa antique des Grandes Terres à Beynost (Ain), à une quinzaine de kilomètres au nord-est de Lyon, a permis d'établir le plan et la chronologie de la pars urbana et d'une aile de la pars rustica d'un vaste établissement rural. Cette dernière présente un plan original en parcelles attenantes régulières et closes, comportant chacune un même petit bâtiment centré en façade. La fondation de l'ensemble est attribuée à l'époque tibérienne, mais la partie résidentielle paraît connaître une désaffection dès la fin du Ier s., alors que la pars rustica fonctionne au moins jusque dans le IVe s. et livre d'assez nombreux indices d'artisanat (métallurgie, tissage) datables du Bas-Empire.The excavation, in 1999, of the Grandes Terres villa of the Large Grounds at Beynost (Ain), about 15km to the North-East of Lyon, has brought to light the plan and the chronology of the pars urbana and a wing of the pars rustica of a vast rural villa. The latter presents an original plan of regular and enclosed plots, each comprising of the same small building with a centred frontage. The foundation of the unit is dated to the Tiberian period, but the residential part appears to have been abandoned at the end of the 1st century AD, whereas the pars rustica remains in use until at least the 4th century AD and illustrates an important craft industry (metallurgy, weaving) dating to the Late Roman Empire.Bei der 1999 in der römischen villa von „Grandes Terres“ in Beynost (Departement Ain), ungefähr 15 km nordöstlich von Lyon durchgeführten Grabung konnten sowohl der Grundriss als auch die Chronologie der pars urbana und eines Flügels der pars rustica erkannt werden. Letztere besitzt einen originellenGrundriss mit regelmäßigen, ummauerten, aneinandergereihten Parzellen, in deren Mitte an der Vorderseite jeweils ein kleines Gebäude errichtet war. Die Gründung der villa wird in tiberischer Zeit angesetzt, doch während die pars urbana anscheinend bereits gegen Ende des 1. Jh. aufgegeben wird, scheint die pars rustica zumindest bis ins 4. Jh. bestanden zu haben und liefert zahlreiche Indizien für handwerkliche Aktivitäten (Metallurgie und Weberei) die in die spätrömische Zeit eingeordnet werden können

    Chateau-Gaillard (Ain). Recourbe

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    Vicherd Georges. Chateau-Gaillard (Ain). Recourbe. In: Archéologie médiévale, tome 17, 1987. pp. 165-166

    Saint-Vulbas (Ain). La Chapelle de Marcilleux

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    Vicherd Georges. Saint-Vulbas (Ain). La Chapelle de Marcilleux. In: Archéologie médiévale, tome 11, 1981. pp. 288-289

    Saint-Vulbas (Ain). La Chapelle de Marcilleux

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    Vicherd Georges. Saint-Vulbas (Ain). La Chapelle de Marcilleux. In: Archéologie médiévale, tome 11, 1981. pp. 288-289

    Un vaste gisement protohistorique à Château-Gaillard (Ain)

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    National audienc

    Fouilles récentes de l'ancienne église Saint-Laurent de Choulans à Lyon

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    Reynaud Jean-François, Vicherd Georges. Fouilles récentes de l'ancienne église Saint-Laurent de Choulans à Lyon. In: Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 120ᵉ année, N. 3, 1976. pp. 460-487

    Eléments sur la romanisation des campagnes en Nord Rhône-Alpes

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    De Klijn Hans, Motte Sylvain, Vicherd Georges. Eléments sur la romanisation des campagnes en Nord Rhône-Alpes. In: Revue archéologique de Picardie. Numéro spécial 11, 1996. pp. 271-286

    Cinq ensembles funéraires ruraux du Haut-Empire dans le nord de la Narbonnaise et le sud-est de la Lyonnaise. [Five rural cemeteries from the Ist to the IIIrd centuries A.D. in the East and North-East of Lyon]

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    The five studied cemeteries, which can be dated between the second quarter of the Ist and the mid IIInd centuries A.D., have been discovered East and North-East of Lyon. Their location and chronological context have been compared to the neighbouring settlements, as well as their individual rural characteristics versus urban cemeteries. Their situation, close to an abandoned settlement, suggests a type of ancestral bonds through the area itself. A family group would habe continued through generations, overpassing the occupation of the settlement itself, to use one or several traditional funerary areas. Cremation, followed by the burial in a small pit, is the most frequent type of sepulture. Romanised burial evidence is only found in the wealthiest graves. Even if there are some points in common with the urban funerary areas, the five studied sites show specific rural characteristics and constant burial practices.Les cinq ensembles funéraires étudiés, et datés d'entre le deuxième quart du 1er et le milieu du IIIe siècle ap. J.-C, sont situés à l'est et au nord-est de Lyon. Il est question de leur situation, de leur environnement, de leur chronologie par rapport à l'habitat, et de leur spécificité face aux ensembles funéraires urbains. L'implantation des sépultures pourrait avoir une signification, comme l'attachement des anciens occupants à la résidence abandonnée. Les ensembles funéraires présentés suggèrent un recrutement de type familial, et vraisemblablement sur plusieurs générations. Il peut exister plusieurs lieux funéraires pour un même établissement, et la durée d'utilisation d'une nécropole n'est pas forcément représentative de celle de l'habitat. Le type de tombe le plus fréquent est l'incinération sur bûcher distinct de la sépulture, les restes étant déposés dans une fosse. Le mobilier marquant un mode de vie romanisé est réservé aux tombes les plus riches, en offrandes. Ces sites présentent des caractères communs aux nécropoles urbaines, mais dénotent des caractères ruraux spécifiques, en montrant la constance de certaines pratiques.Bel Valérie, De Klijn Hans, Motte Sylvain, Vicherd Georges. Cinq ensembles funéraires ruraux du Haut-Empire dans le nord de la Narbonnaise et le sud-est de la Lyonnaise. [Five rural cemeteries from the Ist to the IIIrd centuries A.D. in the East and North-East of Lyon]. In: Monde des morts, monde des vivants en Gaule rurale, Actes du Colloque ARCHEA/AGER (Orléans, 7-9 février 1992) Tours : Fédération pour l'édition de la Revue archéologique du Centre de la France, 1993. pp. 199-208. (Supplément à la Revue archéologique du centre de la France, 6
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