32 research outputs found

    L’hypnose médicale : une rencontre pour prendre soin

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    L’hypnose recèle de nombreuses et riches représentations toutes dépendantes à la fois d’un contexte et d’une intention. L’hypnose médicale est un contexte en soi dont les intentions sont toujours bienveillantes et centrées sur la personne. Elle a alors vocation à permettre à la personne de se soigner dans une grande sécurité. L’hypnose n’est pas que subjectivité, elle se construit et se développe dans l’intersubjectivité, celle d’une rencontre qui soigne grâce à la construction d’une relation, d’un contexte et d’une communication

    Effet placebo (mécanismes neurobiologiques et intérêts thérapeutiques)

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    L effet placebo est l effet thérapeutique obtenu par l administration d une substance (sous forme de comprimés, liquides, injections) ou à la suite d un comportement du praticien face au patient qui met ce dernier dans une position d acceptation et sur le chemin de la guérison. Ainsi, l effet placebo se trouve à l interface entre différentes disciplines (neurobiologie, psychologie, sociologie), ce qui rend son étude d autant plus complexe. Depuis quelques années, des données neurobiologiques ont jeté un nouvel éclairage sur cet effet. Ce sujet soulève encore aujourd hui de nombreuses questions. Parmi celles-ci, comment le conditionnement et l ensemble des émotions mises en jeu dans la relation thérapeutique peuvent-ils activer au niveau cérébral des circuits capables de reproduire 1a réponse biologique attendue? Comment les effets du conditionnement et de la suggestion se traduisent-ils biologiquement ? L intérêt thérapeutique est peu connu et rarement appliqué en odontologie alors qu il pourrait constituer un outil supplémentaire à notre arsenal thérapeutique. L objectif de ce travail de thèse sera de réaliser une revue de la llttérature récente concernant les aspects les plus actuels de la neurobiologie de l effet placebo et de ses applications en thérapeutique humaine. Nous chercherons in fine, à en tirer les conclusions les plus utiles applicables à notre pratique quotidienne.PARIS7-Odontologie (751062104) / SudocSudocFranceF

    LES CONTROLES GENETIQUES DE L'ODONTOGENESE PRECOCE

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    PARIS7-Odontologie (751062104) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Les probiotiques (quelles perspectives en odontologie ?)

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    Les probiotiques sont des microorganismes vivants qui administrés en quantité adéquate confèrent un bénefice pour la santé (204). L utilisation des probiotiques dans le domaine médical a fait ses preuves notamment en gastro entérologie et en immunologie aussi bien d un point de vue préventif que curatif et ce, depuis une vingtaine d années. De récentes études ont pour objet d évaluer les possibles applications de certaines bactéries probiotiques en odontologie. L objectif de ce travail est de réaliser un état des lieux des connaissances sur les applications des probiotiques en médecine et les études menées en odontologie. Les travaux actuels portent sur le rôle des probiotiques dans la lutte contre la maladie cafteuse, le traitement et la prévention des parodontopathies, le traitement et la prévention des candidoses buccales et le traitement de l halitose. Les résultats de ces travaux sont prometteurs, cependant des études complémentaires doivent être menées pour obtenir des résultats plus significatifs et plus précis. Les souches bactériennes étudiées ont démontré leur innocuité pour le patient, cependant, les recherches doivent être poursuivies dans le but de connaître plus précisément les mécanismes d action des probiotiques et développer d autres produits plus efficaces et plus ciblés que ceux actuellement disponibles sur le marché.PARIS7-Odontologie (751062104) / SudocSudocFranceF

    Evaluation des répercussions systémiques des parodontites apicales aigües par quantification des marqueurs sanguins de l'inflammation (étude pilote)

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    L infection focale d origine bucco-dentaire signifie qu un foyer infectieux oral peut être à l origine de lésions à distance généralisées, mais surtout localisées à divers appareils. Ce concept, quoique connu depuis fort longtemps, demeure controversé puisqu il est difficile de prouver de façon absolue l origine buccale des germes responsables d une infection extra- buccale. L expérimentation animale et les études cliniques ont suggéré plusieurs mécanismes physiopathologiques: la bactériémie, les mécanismes toxinique et immunologique. Plusieurs études cliniques démontrent que la maladie parodontale, pathologie infectieuse chronique à composante inflammatoire, est susceptible d entrainer des manifestations pathologiques à distance et/ou d aggraver des états pathologiques pré-existants. Les données de la littérature suggèrent l hypothèse d un lien de causalité entre la parodontite marginale et les maladies systémiques. Bien que la maladie parodontale et la pathologie péri-radiculaire aient des étiologies et une pathogenèse différentes, elles présentent toutefois de nombreuses similitudes. La parodontite apicale (PA) est une lésion osseuse inflammatoire de la région péri-radiculaire, habituellement conséquence d une infection endodontique. Selon les études épidémiologiques, entre 44% et 77% des personnes de la population mondiale, sont porteurs d au moins une lésion périapicale. Existe-t-il un syndrome inflammatoire biologique lors de la PA? Est-ce que l inflammation secondaire à la PA peut nuire à la santé générale ? Après avoir fait un rappel sur la parodontite apicale et expliqué par quels mécanismes, elle pourrait influencer les maladies systémiques, nous ferons une analyse de la littérature pour voir si une telle relation de cause à effets a déjà été démontrée ou non. Puis, nous détaillerons l étude pilote que nous avons mise en place au sein du service d odontologie de la Pitié Salpêtrière pour évaluer l influence potentielle des pathologies périapicales en phase aigu sur le processus inflammatoire systémique, en recherchant un syndrome inflammatoire biologique.PARIS7-Odontologie (751062104) / SudocSudocFranceF

    Ostéonécroses maxillo-mandibulaires et bisphosphonates (étude de 57 cas)

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    Les bisphosphonates sont des médicaments indiqués dans le traitement de l ostéoporose, de la maladie de Paget, du myelome multiple et des métastases osseuses des tumeurs solides. En 2003, 60 cas d ostéonécrose des maxillaires chez des patients bénéficiant d un traitement par bisphosphonates ont été décrits. Depuis, de nombreuses publications scientifiques montrent une forte imputabilité entre la prise de ces médicaments et l apparition d ostéonécroses des maxillaires. En 2007, différentes sociétés savantes ont proposé une définition de cet effet indésirable. Celui-ci est caractérisé par une exposition osseuse persistante dans la cavité buccale pendant plus de huit semaines. A ce jour, de nombreuses questions, notamment sur le plan physiopathologique restent encore à élucider. Par ailleurs, il n existe pas de protocole unanime quant à la prise en charge de celle pathologie. L objectif essentiel reste aujourd hui, faute de mieux, de minimiser le plus possible son apparition par sa prévention et son dépistage précoce. Les services d Odontologie et de Chirurgie Maxfflo-faciale du groupe hospitalier de la Pitié Salpêtrière suivent une cohorte de 57 patients tous atteints d ostéonécrose consécutive à la prise de bisphosphonates. L objet de cette thèse sera alors d analyser tous les éléments clinico-biologiques dentaires et médicaux à notre disposition pour d une part renseigner de façon exhaustive ces différents cas et d autre part tenter de mettre en évidence des facteurs de risque et de potentielles hypothèses physiopathologiques.PARIS7-Odontologie (751062104) / SudocSudocFranceF
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