Algorithm for Rapid Exclusion of Clinically Relevant Plasma Levels of Direct Oral Anticoagulants in Patients Using the DOAC Dipstick:An expert consensus paper

With the widespread use of direct oral anticoagulants (DOACs), there is an urgent need for a rapid assay to exclude clinically relevant plasma levels. Accurate and rapid determination of DOAC levels would guide medical decision-making to (a) determine the potential contribution of the DOAC to spontaneous or trauma-induced hemorrhage; (b) identify appropriate candidates for reversal, or (c) optimize the timing of urgent surgery or intervention. The DOAC Dipstick test uses a disposable strip to identify factor Xa- or thrombin inhibitors in a urine sample. Based on the results of a systematic literature search followed by an analysis of a simple pooling of five retrieved clinical studies, the test strip has a high sensitivity and an acceptably high negative predictive value when compared with levels measured with liquid chromatography tandem mass spectrometry or calibrated chromogenic assays to reliably exclude plasma DOAC concentrations &gt;30ng/mL. Based on these data, a simple algorithm is proposed to enhance medical decision-making in acute care indications useful primarily in hospitals not having readily available quantitative tests and 24/7. This algorithm not only determines DOAC exposure but also differentiates between factor Xa- and thrombin inhibitors to better guide clinical management.</p

Cent scientifiques répliquent à SEA (Suppression des Expériences sur l’Animal vivant) et dénoncent sa désinformation

La lutte contre la maltraitance animale est sans conteste une cause moralement juste. Mais elle ne justifie en rien la désinformation à laquelle certaines associations qui s’en réclament ont recours pour remettre en question l’usage de l’expérimentation animale en recherche

Expérimentation animale: la recette d'une polémique scientifique

La majorité du grand public accepte l’expérimentation animale à condition que celle-ci contribue à l’amélioration de la santé humaine et qu’aucune autre alternative n’existe. En face, les opposants décrédibilisent la recherche et stigmatise une profession à des fins idéologiques. Relevé de leurs arguments

La souris, le patient, et le faux expert. Décryptage d'une mystification.

La recherche sur animaux est actuellement encadrée de façon stricte en Wallonie comme dans toute l'Union Européenne (voir l'article de Marc Vandenheede publié dans le Vif). Cette législation et les contrôles qui y sont associés induisent de nombreuses contraintes pratiques, des charges administratives et des coûts financiers importants que les chercheurs seraient certainement heureux d'éviter s'il existait une alternative à l'expérimentation animale

L’expérimentation animale reste indispensable (OPINION)

Trop fréquemment, l’expérimentation animale est présentée comme une pratique archaïque. Elle a bien changé. Et 100 % des patients traités le sont grâce aux concepts et techniques développés grâce à elle