20 research outputs found

    Sur la bipartition et la tripartition des éléments lourds

    No full text
    A. Bipartition. On a discuté les difficultés rencontrées par la théorie de Bohr et Wheeler pour expliquer la dissymétrie des fragments lourds et les valeurs des seuils de fission des éléments plus légers que Bi. Des explications ont été suggérées. B. Tripartition. — En utilisant un schéma simplifié de tripartition, on a pu interpréter quantitativement le parcours et l'angle d'émission du troisième fragment léger M3 de 236U et préciser que M3 doit avoir [FORMULE]. La limite supérieure du délai de l'émission de M3 par rapport aux deux fragments lourds est environ 10^-20 s. Pour les noyaux composés 233Th, 236U, 239U et 240Pu, le groupe de M3 de parcours court serait attribué au cas où la tripartition se fait quand M3 est presque colinéaire avec les deux fragments lourds, celui de long parcours au cas où M 3 est hors de l'axe de déformation avant la séparation. Ce dernier cas est d'autant plus fréquent que l'énergie d'excitation du noyau composé est moins élevée. Tous les faits principaux observés avec les noyaux lourds peuvent être interprétés, d'une façon cohérente, par le schéma proposé de tripartition

    Les groupes de protons émis lors du bombardement des substances hydrogénées par les rayons α du polonium. II

    No full text
    Dans la diffusion des particules α par les noyaux d'hydrogène, le rapport de la section efficace expérimentale à celle calculée d'après Rutherford suit une variation périodique en fonction de l'énergie des particules α. Il reste plus grand que l'unité même lorsque le parcours Rα = 1,2 cm, ce qui conduit à une grande distance d'interaction nucléaire d'environ 8 × 10-13 cm entre 42He et 1 1 H. La variation angulaire de la section efficace montre que les moments orbitaux l = o et l = 1 de 42 He sont également importants dans la diffusion étudiée. Les résultats sur les groupes de protons ont été comparés avec ceux d'autres auteurs. La grande distance d'interaction a été discutée. D'après les données expérimentales, 25He pourrait exister dans l'état stable, la limite supérieure de sa masse, dans ce cas, serait 5,0124; 53Li serait instable. Les résultats ont été discutés du point de vue des théories de Mott, de Beck et de Bethe et une explication possible des groupes a été suggérée

    Les groupes de protons émis lors du bombardement des substances hydrogénees par les rayons α du polonium. I

    No full text
    Les protons émis lors du bombardement des substances hydrogénées par les rayons α du polonium ont été étudiés dans une chambre de Wilson à grand temps d'efficacité. La distribution des nombres de protons de différents parcours, projetés dans la direction vers l'avant ainsi que dans différents angles compris entre 0° et 50°, montre qu'il existe six groupes distincts. En réduisant l'énergie des rayons α incidents, on fait disparaître successivement chaque fois le groupe de protons à partir de groupe le plus énergique pour tous les angles. Ceci permet de conclure que les groupes de protons émis lors de collision avec les particules α correspondent aux niveaux d'excitation du noyau composé 53Li. Conformément à la loi de collision élastique, les groupes ainsi trouvés correspondent aux six valeurs de parcours des rayons α : 1,57, 1,87, 2,26, 2,65, 3,03 et 3,53 cm. L'espacement des niveaux d'excitation de 35Li dans cette région est petit et sensiblement constant, ayant une valeur d'environ 90 KeV

    Intensité des rayons γ mous du radioactinium

    No full text
    L'absorption des rayons γ mous du radioactinium a été étudiée par l'ionisation produite dans une chambre remplie de xénon. La courbe d'absorption indique l'existence de trois, groupes, dont les énergies sont 15, 50 et 125 ekV. Le groupe de 50 ekV semble être la raie de 50 ekV trouvée par Frilley dans le spectre de diffraction, son intensité absolue est de 1,8 quanta par 100 atomes désintégrés. Le groupe de 15 ekV peut contenir une raie nucléaire nouvelle et le groupe de 125 ekV semble être dû à la composition de tous les rayonnements γ d'énergie supérieure à 80 ekV et du spectre K des rayons X de fluorescence. Leurs intensités absolues, comme ordre de grandeur, sont 10 et 40 quanta par 100 désintégrations. L'intensité des rayons y émis par AcX et ses dérivés est estimée globalement à 200 quanta par 100 désintégrations

    Comparaison du rayonnement des isotopes radioactifs des terres rares formés dans l'uranium et le thorium

    No full text
    On fait, au moyen de l'appareil à détente de Wilson, le spectre de rayons β des radioéléments de période 3,5 h semblables au lanthane, extraits de l'uranium ou du thorium irradié par les neutrons. Dans les limites d'erreurs expérimentales, ces spectres sont identiques, de sorte qu'il s'agit probablement du même produit de fission dans les deux cas. La limite supérieure d'énergie est au moins de 3,6 MeV, et atteint peut-être 4 MeV

    L'enregistrement des particules ionisantes par l'émulsion photographique

    No full text
    Pas de Résumé disponibl

    Quelques anomalies liées à la conversion interne des rayons γ

    No full text
    On examine un certain nombre de cas où les mesures d'intensité de photons γ et d'électrons secondaires émis par les radioéléments naturels concordent mal avec la théorie du phénomène de conversion interne. On souligne en particulier que, pour quelques rares rayonnements, la conversion interne est très inférieure aux prévisions théoriques, généralement en accord avec l'expérience. Quelques difficultés résultant de l'étude des rayonnements X en relation avec l'émission γ sont également mises en évidence

    Parcours et structure fine des rayons α du protactinium

    No full text
    On détermine, au moyen d'un amplificateur proportionnel, les parcours des rayons α du protactinium par différence avec celui des rayons α du polonium. Le spectre des rayons α du protactinium est constitué par un groupe principal (80-85 pour 100), de parcours égal à 3,511 ± 0,010 cm, et deux groupes satellites (chacun 8-10 pour 100) de 3,23 et 3,20 cm respectivement. Les énergies des rayons γ déduites de cette structure fine des rayons α (Eγ = 290 et 320 ek V) sont en bon accord avec celles trouvées par Meitner dans l'étude du spectre magnétique des électrons de conversion

    Sur l'estimation rapide des énergies d'électrons de vitesses moyennes et faibles

    No full text
    On définit la portée comme étant la distance joignant l'origine à l'extrémité d'une trajectoire électronique. On a établi expérimentalement que la portée moyenne est, pour des négatons d'énergie inférieure à 50 keV, dans un rapport constant avec le parcours moyen. Cette relation permet d'estimer rapidement l'énergie d'électrons monocinétiques. En appendice, on donne aussi la relation entre le parcours moyen des électrons et leur énergie (comprise entre 1 à 100 keV) et le rapport entre le parcours moyen vrai et sa projection horizontale
    corecore