54 research outputs found

    Sputum RNA signature in allergic asthmatics following allergen bronchoprovocation test

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    Background: Inhaled allergen challenge is a validated disease model of allergic asthma offering useful pharmacodynamic assessment of pharmacotherapeutic effects in a limited number of subjects. Objectives: To evaluate whether an RNA signature can be identified from induced sputum following an inhaled allergen challenge, whether a RNA signature could be modulated by limited doses of inhaled fluticasone, and whether these gene expression profiles would correlate with the clinical endpoints measured in this study. Methods: Thirteen non-smoking, allergic subjects with mild-to-moderate asthma participated in a randomised, placebo-controlled, 2-period cross-over study following a single-blind placebo run-in period. Each period consisted of three consecutive days, separated by a wash-out period of at least 3 weeks. Subjects randomly received inhaled fluticasone ((FP) MDI; 500 mcg BIDĂ—5 doses in total) or placebo. On day 2, house dust mite extract was inhaled and airway response was measured by FEV1 at predefined time points until 7 h post-allergen. Sputum was induced by NaCl 4.5%, processed and analysed at 24 h pre-allergen and 7 and 24 h post-allergen. RNA was isolated from eligible sputum cell pellets (<80% squamous of 500 cells), amplified according to NuGEN technology, and profiled on Affymetrix arrays. Gene expression changes from baseline and fluticasone treatment effects were evaluated using a mixed effects ANCOVA model at 7 and at 24 h post-allergen challenge. Results: Inhaled allergen-induced statistically significant gene expression changes in sputum, which were effectively blunted by fluticasone (adjusted p<0.025). Forty-seven RNA signatures were selected from these responses for correlation analyses and further validation. This included Th2 mRNA levels for cytokines, chemokines, high-affinity IgE receptor FCER1A, histamine receptor HRH4, and enzymes and receptors in the arachidonic pathway. Individual messengers from the 47 RNA signatures correlated significantly with lung function and sputum eosinophil counts. Conclusion: Our RNA extraction and profiling protocols allowed reproducible assessments of inflammatory signatures in sputum including quantification of drug effects on this response in allergic asthmatics. This approach offers novel possibilities for the development of pharmacodynamic (PD) biomarkers in asthma

    BAFF Promotes Th17 Cells and Aggravates Experimental Autoimmune Encephalomyelitis

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    BAFF, in addition to promoting B cell survival and differentiation, may affect T cells. The objective of this study was to determine the effect of BAFF on Th17 cell generation and its ramifications for the Th17 cell-driven disease, EAE.Th17 cells were increased in BAFF-Tg B6 (B6.BTg) mice and decreased in B6.Baff(-/-) mice. Th17 cells in B6.Baff(-/-) mice bearing a BAFF Tg (B6.Baff(-/-).BTg mice) were identical to those in B6.BTg mice, indicating that membrane BAFF is dispensable for Th17 cell generation as long as soluble BAFF is plentiful. In T + non-T cell criss-cross co-cultures, Th17 cell generation was greatest in cultures containing B6.BTg T cells and lowest in cultures containing B6.Baff(-/-) T cells, regardless of the source of non-T cells. In cultures containing only T cells, Th17 cell generation followed an identical pattern. CD4(+) cell expression of CD126 (IL-6R α chain) was increased in B6.BTg mice and decreased in B6.Baff(-/-) mice, and activation of STAT3 following stimulation with IL-6 + TGF-β was also greatest in B6.BTg cells and lowest in B6.Baff(-/-) cells. EAE was clinically and pathologically most severe in B6.BTg mice and least severe in B6.Baff(-/-) mice and correlated with MOG(35-55) peptide-induced Th17 cell responses.Collectively, these findings document a contribution of BAFF to pathogenic Th17 cell responses and suggest that BAFF antagonism may be efficacious in Th17 cell-driven diseases

    Influence du bacille de Calmette et Guérin (B.C.G.) sur la migration larvaire de

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    L’injection de B.C.G. à la Souris entraîne une augmentation de la résistance non spécifique de l’organisme vis-à-vis de Schistosoma mansoni, se traduisant par une importante diminution du nombre des schistosomules pulmonaires ; les mécanismes de défense mis en jeu semblent intervenir de façon précoce dès les premiers stades de migration larvaire du parasite. L’état de résistance non spécifique ainsi obtenu apparaît de façon progressive après l’inoculation du bacille ; il se maintient plusieurs semaines bien qu’il ait alors tendance à s’atténuer. Une réinoculation de B.C.G. à l’animal déjà sensibilisé aux antigènes du bacille entraîne une immunostimulation beaucoup plus intense et dont le délai d’apparition est beaucoup plus court

    Étude par la réaction d’immunofluorescence des anticorps dirigés contre les antigènes de l’épithélium intestinal de

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    Un anticorps monoclonal de souris de classe IgM dirigé contre un épitope de l’épithélium intestinal du ver adulte est sélectionné et son aptitude à détecter les antigènes parasitaires présents dans l’organisme infesté est testé. Un antigène parasitaire peut-être ainsi mis en évidence au niveau des urines de hamsters et de souris infestés où son taux est en rapport étroit avec la charge parasitaire. La structure antigénique détectée est thermostable, soluble dans l’acide trichloracétique, n’est pas détruite par la protéinase K, mais elle est détruite par le métaperiodate. Spécifique du genre Schistosoma, elle est présente au niveau des différents stades évolutifs du parasite, en particulier au niveau de l’œuf où elle est particulièrement abondante

    Étude par la réaction d’immunofluorescence des anticorps dirigés contre les antigènes de l’épithélium intestinal de

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    Des anticorps dirigés contre les antigènes de l’épithélium intestinal de Schistosoma mansoni sont mis en évidence, chez la Souris expérimentalement infestée, à l’aide d’une réaction d’immunofluorescence indirecte utilisant comme antigène des coupes à la paraffine de schistosomes adultes fixés au préalable par le fixateur de Rossman. Les anticorps appartenant aux différentes classes et sous-classes d’immunoglobulines sont mis en évidence à l’aide de conjugués monospécifiques. Les anticorps de classe IgM sont prédominants : apparus dès le 12e jour de l’infestation, leur taux maximum est atteint au 2e mois et ils sont toujours présents au 12e mois bien qu’à des taux plus faibles. Les anticorps appartenant aux différentes sous-classes d’IgG peuvent être également détectés mais ils apparaissent plus tardivement et ils tendent à disparaître à la phase chronique de l’infestation, époque à laquelle ils sont présents de manière inconstante. On ne décèle pas d’anticorps de classe IgA ni de classe IgE. Après traitement par le Praziquantel une élévation transitoire mais importante du taux des anticorps est observée. Aucune réaction positive n’est obtenue avec les sérums prélevés chez des souris infestées par Fasciola hepatica ou Trichinella spiralis

    Étude séroépidémiologique de la toxoplasmose à la Guadeloupe et à la Martinique

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    L’examen à la Guadeloupe et à la Martinique de 9 950 sérums a mis en évidence l’importance et la précocité de l’infestation par le Toxoplasme : 56,9 % de la population possède des anticorps fixant le complément, 65,6 % des anticorps hémagglutinants et, dès les premières tranches d’âge, près de la moitié de la population se révèle infestée. Bien que la consommation de viande insuffisamment cuite soit le plus souvent invoquée, ce mode de contamination ne semble pas devoir être incriminé à la Guadeloupe et à la Martinique où la population se nourrit traditionnellement de poisson et de viande très cuite. Par ailleurs la grande variabilité des taux d’infestation observés dans les différentes localités étudiées conduit à envisager l’intervention de facteurs climatiques favorisant la survie dans le milieu extérieur des oocystes issus de la multiplication sexuée du parasite

    Application du test E.L.I.S.A. au diagnostic de la strongyloĂŻdose

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    Un test immunoenzymatique (test E.L.I.S.A.) est appliqué au diagnostic de la strongyloïdose humaine. Les premiers résultats obtenus montrent que cette réaction peut compléter les moyens d’investigation déjà utilisés pour le diagnostic de cette affection : analyse coprologique, tests intradermiques, tant pour les études épidémiologiques que pour le diagnostic individuel ; elle peut permettre en outre de s’assurer de l’efficacité de la thérapeutique instituée

    Étude par la réaction d'immunofluorescence des anticorps dirigés contre l'épithélium intestinal de

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    Au cours de travaux antérieurs, nous avons isolé une IgM monoclonale de type lambda dirigée contre un épitope glucidique localisé à la surface de l'épithélium intestinal du ver adulte de Schistosoma mansoni. Nous avions montré que cet épitope, présent à tous les stades évolutifs, était particulièrement abondant au niveau de l'œuf du parasite. Le présent travail nous a permis de préciser la localisation de l'épitope au niveau des différents stades évolutifs par la mise en œuvre de techniques immunohistochimiques. Il apparaît en particulier que chez le ver adulte, l'épitope se localise ou niveau des membranes périphériques, tandis que, dans l'œuf, il est abondamment excrété par le miracidium et diffuse dans les tissus de l'hôte. De plus, chez le ver adulte, l'épitope se présente sous la forme d'une structure soluble dans les solvants organiques, alors que, dans l'œuf, il se présente sous la forme d'une molécule hydrosoluble. Ces données permettent de mieux comprendre pourquoi, chez la souris expérimentalement infestée, l'épitope ne peut être détecté dans les urines à des taux importants qu'à partir de la sixième semaine après l'infestation, moment où les œufs commencent à être déposés dans les tissus. Par ailleurs, l'inhibition de la fixation de l'anticorps monoclonal par un pentose contenant l'antigène Lewis X fait apparaître que la structure glucidique reconnue par l'anticorps monoclonal pourrait être l'antigène Lewis X ou une structure très proche
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