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    ATTITUDES, CONNAISSANCES ET PRATIQUES DES FEMMES EN AGE DE PROCREER SUR LA PHYTOTHERAPIE DANS LA ZONE DE SANTE DE MUMBUNDA

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    Introduction : La phytothérapie demeure une préoccupation mondiale car faire de la phytothérapie une opération médicale, n’est pas forcément l’idéal de toutes les femmes. Certaines souhaitent se soigner dans les environnements particuliers. Malgré les efforts d’interdiction, ils sont fréquents et continuent à être utilisé. C’est pourquoi nous avons menés de cette étude pour contribuer à l’amélioration de la santé des femmes en âge de procréer au travers la médecine traditionnelle pour étudier l’attitudes, connaissance et pratique chez les femmes en âge de procréer dans la ZS de Mumbunda. Méthode : Une étude qualitative d’approche phénoménologique a été menée dans la ZS de Mumbunda chez des femmes en âge de procréer sur la phytothérapie. La collecte des données fait des entretiens libres structurés et non structurés à partir d’un guide d’entretien ouvert, les données saisie, encodées et pour l’analyse les données de l’entretien ont fait l’objet d’une audition et transcription sur la machine. Il s’est agi ensuite de procéder à un regroupement des unités de signification. Résultat : Etude menée sur un échantillon de 15 femmes, et a montré que l’âge des femmes interviewées étaient de 15 ans variant jusqu’à 49 ans. 6 femmes sur 15 avaient pratiqué la phytothérapie 3 fois dans leur vie ; 4 sur 15 avaient pratiqué la phytothérapie 2 fois dans leur vie et 5 sur 15 avaient pratiqué la phytothérapie dans leur vie ; Le profil sociodémographique des interviewées montre que 4 femmes étaient élevées, 5 étaient étudiantes et 6 mariées. Les facteurs majeurs favorisant la phytothérapie restent pour la majorité le désir du mariage pour l’utilisation de la phytothérapie. Conclusion : Les résultats de l’étude qualitative d’approche phénoménologique sur la phytothérapie des femmes en âge de procréer montre que les femmes perçoivent la connaissance sur la phytothérapie comme une réalité indéniable et réelle dans la vie d’une femme complète. Les autorités dans le domaine pour la santé de la reproduction devaient accompagner les filles et les mères dans cette utilisation de la phytothérapie.Introduction : La phytothérapie demeure une préoccupation mondiale car faire de la phytothérapie une opération médicale, n’est pas forcément l’idéal de toutes les femmes. Certaines souhaitent se soigner dans les environnements particuliers. Malgré les efforts d’interdiction, ils sont fréquents et continuent à être utilisé. C’est pourquoi nous avons menés de cette étude pour contribuer à l’amélioration de la santé des femmes en âge de procréer au travers la médecine traditionnelle pour étudier l’attitudes, connaissance et pratique chez les femmes en âge de procréer dans la ZS de Mumbunda. Méthode : Une étude qualitative d’approche phénoménologique a été menée dans la ZS de Mumbunda chez des femmes en âge de procréer sur la phytothérapie. La collecte des données fait des entretiens libres structurés et non structurés à partir d’un guide d’entretien ouvert, les données saisie, encodées et pour l’analyse les données de l’entretien ont fait l’objet d’une audition et transcription sur la machine. Il s’est agi ensuite de procéder à un regroupement des unités de signification. Résultat : Etude menée sur un échantillon de 15 femmes, et a montré que l’âge des femmes interviewées étaient de 15 ans variant jusqu’à 49 ans. 6 femmes sur 15 avaient pratiqué la phytothérapie 3 fois dans leur vie ; 4 sur 15 avaient pratiqué la phytothérapie 2 fois dans leur vie et 5 sur 15 avaient pratiqué la phytothérapie dans leur vie ; Le profil sociodémographique des interviewées montre que 4 femmes étaient élevées, 5 étaient étudiantes et 6 mariées. Les facteurs majeurs favorisant la phytothérapie restent pour la majorité le désir du mariage pour l’utilisation de la phytothérapie. Conclusion : Les résultats de l’étude qualitative d’approche phénoménologique sur la phytothérapie des femmes en âge de procréer montre que les femmes perçoivent la connaissance sur la phytothérapie comme une réalité indéniable et réelle dans la vie d’une femme complète. Les autorités dans le domaine pour la santé de la reproduction devaient accompagner les filles et les mères dans cette utilisation de la phytothérapie

    Identification Et Criblage Phytochimique De Quatre Plantes Utérostimulantes Et Deux Myorelaxantes Du Col Utilisées Chez Les Gestantes à Terme Au Centre De Santé Uchungu Wa Mwana Dans La Ville De Lubumbashi, Rd Congo

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    Contexte : Presque tous les pays du monde sont intéressés par l’étude des plantes médicinales du fait que le règne végétal constitue une source importante et indispensable des médicaments. La valorisation des plantes médicinales est une préoccupation majeure de nombreux chercheurs dans notre environnement car une grande partie de la population recourt largement à la médecine traditionnelle. Cette étude visait à authentifier et opérer un criblage phytochimique de quatre plantes utérotoniques et deux myorelaxantes utilisées chez les gestantes et parturientes au Centre de santé (CSIU) Uchungu Wa Mwana dans la ville de Lubumbashi, RDC. Méthodes : Le Centre de santé Uchungu Wa Mwana est situé au N° 40 de la rue X dans la commune de la Ruashi, quartier Luwowoshi, ville de Lubumbashi, RDC. Une enquête ethnobotanique a été effectuée dans ce centre sur une période de 12 mois et les plantes y utilisées ont été récoltées et identifiées à l’herbarium de l’INERA Kipopo et au laboratoire de Pharmacognosie de la Faculté des Sciences Pharmaceutiques de l’Université de Lubumbashi. Une série d’informations ethnomédicales sur ces plantes a été enregistrée. Chaque espèce récoltée a fait l’objet d’un herbier en triple exemplaire qui a permis son identification. Les échantillons récoltés ont été séchés à l’ombre et à température ordinaire puis soumis à un criblage phytochimique pour identifier les groupes de composés chimiques bioactifs qui pourraient être responsables de l’activité utérotonique ou myorelaxante des plantes. Résultats : L’herbarium de référence a authentifié les plantes à savoir : Phyllanthus muellerianus (Kuntze) Exell (Phyllanthaceae), Hibiscus sp (Malvaceaae), Acacia macrothyrsa Harms (Fabaceae), Pseudolachnostylis maprouneifolia Pax (Euphorbiaceae), Strychnos innocua Delille (Loganiaceae)  et Annona senegalensis Pers. (Annonaceae).  . Globalement, les groupes bioactifs suivants ont été identifiés dans les six plantes (tous organes confondus) en proportions variées : alcaloïdes (66, 7 %) ; anthocyanes (50 %) ; coumarines (66,7 %) ; flavonoïdes (50 %) ; saponines (83,3 %) ; stéroïdes (100 %) ; tanins (100 %) et terpénoïdes (50 %). Les quinones ont été absentes dans toutes les plantes et tous les organes de celles-ci ; il en était de même pour les hétérosides cyanogénétiques.  Sur l’ensemble des six plantes analysées, 3 (Phyllanthus muellerianus, Acacia Macrotyrsa, Pseudo Lachnostilis maprouneifolia) ont eu plus de 60 % d’éléments phytochimiques identifiés dans les groupes bioactifs qui sont : les stéroïdes et les tanins (100%) ainsi que les saponines (83.3%) comme composés phytochimiques les plus fréquents des métabolites recherchés. En outre, tous les éléments phytochimiques identifiés ont été isolés dans les racines tandis que les feuilles étaient dépourvues d’alcaloïdes (0 %) et de terpénoïdes (0 %). Ainsi, les groupes bioactifs ont été plus retrouvés dans les racines que dans les feuilles (48,1 % versus 14 %) pour les neufs éléments bioactifs recherchés Conclusion : Les  six plantes utilisées au Centre Uchungu Wa Mwana de la ville de Lubumbashi ont été dûment identifiées et  renferment des stéroïdes, des tanins et des saponines qui sont des substances naturelles présentant un intérêt thérapeutique susceptible d’être exploité et intégré à un système des soins dans un environnement tel que la République Démocratique du Congo. Les utilisateurs sont dès lors certifiés de l’authenticité et de la validité phytochimiques de l’usage de ces plantes en médecine traditionnelle. Globalement ces plantes seraient davantage des plantes à stéroïdes, à tanins et à saponinesContexte : Presque tous les pays du monde sont intéressés par l’étude des plantes médicinales du fait que le règne végétal constitue une source importante et indispensable des médicaments. La valorisation des plantes médicinales est une préoccupation majeure de nombreux chercheurs dans notre environnement car une grande partie de la population recourt largement à la médecine traditionnelle. Cette étude visait à authentifier et opérer un criblage phytochimique de quatre plantes utérotoniques et deux myorelaxantes utilisées chez les gestantes et parturientes au Centre de santé (CSIU) Uchungu Wa Mwana dans la ville de Lubumbashi, RDC. Méthodes : Le Centre de santé Uchungu Wa Mwana est situé au N° 40 de la rue X dans la commune de la Ruashi, quartier Luwowoshi, ville de Lubumbashi, RDC. Une enquête ethnobotanique a été effectuée dans ce centre sur une période de 12 mois et les plantes y utilisées ont été récoltées et identifiées à l’herbarium de l’INERA Kipopo et au laboratoire de Pharmacognosie de la Faculté des Sciences Pharmaceutiques de l’Université de Lubumbashi. Une série d’informations ethnomédicales sur ces plantes a été enregistrée. Chaque espèce récoltée a fait l’objet d’un herbier en triple exemplaire qui a permis son identification. Les échantillons récoltés ont été séchés à l’ombre et à température ordinaire puis soumis à un criblage phytochimique pour identifier les groupes de composés chimiques bioactifs qui pourraient être responsables de l’activité utérotonique ou myorelaxante des plantes. Résultats : L’herbarium de référence a authentifié les plantes à savoir : Phyllanthus muellerianus (Kuntze) Exell (Phyllanthaceae), Hibiscus sp (Malvaceaae), Acacia macrothyrsa Harms (Fabaceae), Pseudolachnostylis maprouneifolia Pax (Euphorbiaceae), Strychnos innocua Delille (Loganiaceae)  et Annona senegalensis Pers. (Annonaceae).  . Globalement, les groupes bioactifs suivants ont été identifiés dans les six plantes (tous organes confondus) en proportions variées : alcaloïdes (66, 7 %) ; anthocyanes (50 %) ; coumarines (66,7 %) ; flavonoïdes (50 %) ; saponines (83,3 %) ; stéroïdes (100 %) ; tanins (100 %) et terpénoïdes (50 %). Les quinones ont été absentes dans toutes les plantes et tous les organes de celles-ci ; il en était de même pour les hétérosides cyanogénétiques.  Sur l’ensemble des six plantes analysées, 3 (Phyllanthus muellerianus, Acacia Macrotyrsa, Pseudo Lachnostilis maprouneifolia) ont eu plus de 60 % d’éléments phytochimiques identifiés dans les groupes bioactifs qui sont : les stéroïdes et les tanins (100%) ainsi que les saponines (83.3%) comme composés phytochimiques les plus fréquents des métabolites recherchés. En outre, tous les éléments phytochimiques identifiés ont été isolés dans les racines tandis que les feuilles étaient dépourvues d’alcaloïdes (0 %) et de terpénoïdes (0 %). Ainsi, les groupes bioactifs ont été plus retrouvés dans les racines que dans les feuilles (48,1 % versus 14 %) pour les neufs éléments bioactifs recherchés Conclusion : Les  six plantes utilisées au Centre Uchungu Wa Mwana de la ville de Lubumbashi ont été dûment identifiées et  renferment des stéroïdes, des tanins et des saponines qui sont des substances naturelles présentant un intérêt thérapeutique susceptible d’être exploité et intégré à un système des soins dans un environnement tel que la République Démocratique du Congo. Les utilisateurs sont dès lors certifiés de l’authenticité et de la validité phytochimiques de l’usage de ces plantes en médecine traditionnelle. Globalement ces plantes seraient davantage des plantes à stéroïdes, à tanins et à saponine
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