84 research outputs found

    Mesenteric Cyst: Report of a Case Resulting in Pseudomyxoma Peritonei

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    Poumon et amiodarone (Ă  propos de quatre observations)

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    La publication du premier cas de pneumopathie secondaire à l'Amiodarone date de 1980. Vingt ans après, cette thèse a pour but de faire le point sur cette pneumopathie médicamenteuse, à partir de quatre observations Après une présentation de la molécule d'Amiodarone et de ses effets secondaires, une description de la pneumopathie est faite à partir des donnees de la littérature : fréquence, facteurs favorisants, sémiologie clinique, examens complémentaires, traitements et évolution. Ces différents points sont ensuite repris dans la discussion, et mis en corrélation avec les quatre observations personnelles.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Des conduits excréteurs des glandes sublinguale et lacrymale, du rôle du sinus de la face (thèse pour le doctorat en médecine présentée et soutenue le 4 février 1862)

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    PARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Les pharmacopsychoses au cannabis (génèse, développement et limites du concept à travers une revue de la littérature)

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    Le haschisch herbe de folie et de rêve selon Brotteaux, est une des plantes les plus anciennement connues et utilisées par l'homme. La psychose cannabique, en particulier, pourtant admise dans les pays d'Afrique du Nord où la consommation de cannabis est importante, fait l'objet de nombreuses études épidémiologiques à travers le monde qui prouvent ou au contraire réfutent son existence. L'augmentation et la banalisation de la consommation de cannabis chez les jeunes de moins de 18 ans, âge de fragilité psychique et d'émergence de schizophrénie, réactivent le débat suivant : Le cannabis peut-il déclencher un trouble psychotique voire une schizophrénie, ou est-il un facteur de vulnérabilité à l'émergence ou à la révélation d'une psychose sous-jacente ? Au cours de cette revue de la littérature, nous avons pu constater que l'innocuité du cannabis ne peut être établie et que son effet psychodysleptique n'est pas remis en cause. Cette substance peut produire des effets psychologiques (cognitifs et psychomoteurs) ainsi qu'une dépendance psychique. Concernant les troubles psychotiques induits par le cannabis à travers ces publications abondantes et contradictoires, nous avons mis en évidence le polymorphisme sémiologique de la psychose cannabique. Outre l'ivresse cannabique, le cannabis peut déterminer une psychose toxique aiguë ainsi qu'une psychose d'allure fonctionnelle de plus longue durée. En cas de consommation ancienne et prolongée, le cannabis pourrait déterminer une psychose chronique, difficile à distinguer d'une schizophrénie. Le syndrome amotivationnel, lié au cannabis, représenterait une psychose chronique et s'apparenterait à une psychose hébéphrénique de type déficitaire. La comorbidité entre schizophrénie et abus de cannabis est très fréquente, enrichit la réflexion sur l'étiopathogénie des schizophrénies et conduit à trois hypothèses pour expliquer le lien entre ces deux troubles : la consommation de cannabis comme automédication ; le cannabis comme facteur de vulnérabilité à la schizophrénie ; l'existence de mécanismes neurobiologiques et génétiques communs.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Tratado de anatomía topográfica aplicada a la cirugía

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    Fecha en prologo: 188

    Tratado de cirugĂ­a clĂ­nica

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    Prefacio fechado en 189

    Die traumatischen Hernien

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