81 research outputs found

    Is there an optimal preoperative management strategy for phaeochromocytoma/paraganglioma?

    Get PDF
    Phaeochromocytomas and paragangliomas (PPGLs) are catecholamine secreting neuroendocrine tumours that predispose to haemodynamic instability. Currently, surgery is the only available curative treatment, but carries potential risks including hypertensive and hypotensive crises, cardiac arrhythmias, myocardial infarction and stroke, due to tumoral release of catecholamines during anaesthetic induction and tumour manipulation. The mortality associated with surgical resection of PPGL has significantly improved from 20-45% in the early 20th century (Apgar & Papper, AMA Archives of Surgery, 1951, 62, 634) to 0-2·9% in the early 21st century (Kinney et al. Journal of Cardiothoracic and Vascular Anesthesia, 2002, 16, 359), largely due to availability of effective pharmacological agents and advances in surgical and anaesthetic practice. However, surgical resection of PPGL still poses significant clinical management challenges. Preoperatively, alpha-adrenoceptor blockade is the mainstay of management, although various pharmacological strategies have been proposed, based largely on reports derived from retrospective data sets. To date, no consensus has been reached regarding the 'ideal' preoperative strategy due, in part, to a paucity of data from high-quality evidence-based studies comparing different treatment regimens. Here, based on the available literature, we address the Clinical Question: Is there an optimal preoperative management strategy for PPGL?National Institute for Health Research Cambridge Biomedical Research Centr

    Apport de la lidocaïne intraveineuse dans la prise en charge de la douleur post opératoire après néphrectomies coelioscopiques

    No full text
    La lidocaine intraveineuse est recommandée pour l'analgésie post opératoire en chirurgie abdominale. Pour autant elle n'a pas fait l'objet d'étude dans la prise en charge des néphrectomies cœliocoscopiques. L'apport de la lidocaine intraveineuse par rapport à une prise en charge conventionnelle a donc été étudié de manière prospective et observationnelle à trois niveaux dans l'analgésie post opératoire des néphrectomies cœlioscopiques. Analgésie : consommation de morphine, score de douleur, effets indésirables liés à l'analgésie. Réhabilitation : délai de reprise du transit, de la marche, durée de séjour. Recherche d'une hyperalgésie post opératoire et d'une chronicisation de la douleur à trois mois. Résultats . 47 patients ont été étudiés. Les patients du groupe Lidocaine consommaient moins de morphine sur les 48 heures post opératoires (8,5 mg contre 22 mg). Ils avaient des scores de douleur significativement améliorés, ils présentaient moins de nausées et de vomissements et ils n'ont pas présenté d'effets indésirables liés à la lidocaine. Le premier gaz intervenait 19 heures plus tôt et la reprise de la marche 24 heures plus tôt dans le groupe Lidocaine. Les durées de séjour ne différaient pas entre les groupes. Les seuils nociceptifs aux filaments de von Frey étaient significativement plus élevés à J1 et J2 dans le groupe Lidocaine. Les surfaces d'hyperalgésie secondaires étaient moindres à J1, J2 et J4. Deux patients présentaient une douleur chronique à trois mois. Conclusion. La lidocaine intraveineuse améliore l'analgésie, la réhabilitation et diminue l'hyperalgésie des néphrectomies cœlioscopiques.BORDEAUX2-BU Santé (330632101) / SudocSudocFranceF

    Evaluation du bénéfice d'un blocage maximum des récepteurs a1 par Urupadil dans la chirurgie du pheochromocytome par laparoscopie

    No full text
    BORDEAUX2-BU Santé (330632101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Impact de la préparation hypertensive par urapidil et étude de la morbidité de la surrénalectomie pour phéochromocytome (comparaison de 2 cohortes)

    No full text
    INTRODUCTION : La chirurgie du phéochromocytome est associée à des décharges catécholaminergiques responsables d'instabilité hémodynamique. La préparation par antihypertenseur préopératoire peut limiter les pics hypertensifs mais aussi induire une vasoplégie postopératoire. MATEERIELS ET METHODES : Les événements périopératoires d'une cohorte prospective de 40 patients de l'hôpital Pellegrin avec préparation systématique par urapidil par voie intraveineuse ont été comparés à ceux d'une cohorte de 35 patients de la Maison du Haut Lévêque entre 1999 à 2010. RESULTATS : Le nombre d'épisodes d'hypertension (37 vs 75 ; p < 0,0001), d'hypertension sévère (11 vs 33 ; p < 0,0001), d'hypertension prolongée (11 vs 4 ; p < 0,05), en particulier pendant l'induction et la dissection, la durée de séjour en réanimation et en secteur de chirurgie (5.2 vs 7,3 j ; p < 0,01), du nombre d'admission en surveillance continue (14 vs 3 ; p < 0,001), l'usage de vasopresseurs per et postopératoire (noradrénaline 11 % vs 0 % ; p < 0,05 ; éphédrine 1.7 mg vs 5,4 mg ; p < 0,01) et de cristalloides après tumorectomie sont diminués dans la cohorte avec préparation par urapidil par rapport à une cohorte caractérisée par l'usage d'inhibiteurs calciques avec poursuite du traitement habituel, associé à un usage plus faible d'antihypertenseurs en préopératoire, de la voie cœlioscopique, de morphiniques et de macromolécules peroopératoires. Le risque d'hyperthermie, d'hypoglycémie, de nausées et de vomissements postopératoires et de difficultés diagnostiques doit aussi être pris en compte. CONCLUSION : La préparation systématique par urapidil est associée à une diminution de l'instabilité hémodynamique per et postopératoire, de la durée d'hospitalisation en réanimation et en secteur de chirurgie. Son utilisation doit être recommandée.BORDEAUX2-BU Santé (330632101) / SudocSudocFranceF
    corecore