355 research outputs found

    NAME 2160

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    A Hybrid Method for Predicting Lift and Drag of Semi-planing/Semi-displacement Hull Forms

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    With the ever present desire for ships and boats to run faster while carrying a greater load, a need exists to reduce the drag while simultaneously increasing hydrodynamic lift. Therefore, a need for semi-planing/semi-displacement hullforms exists for vessels to carry relatively high loads (between 500 and 3000 tons) with a general length Froude number range between 0.4 and 1.0. A hybrid method for calculating the lift and drag of semi-planing/semi-displacement hull forms is developed. This is done by separating the kinematic boundary condition into odd and even parts. The odd and even parts of the kinematic boundary condition are solved independently along with the free-surface boundary condition and superimposed for a complete hybrid solution. The superimposed solution components relate to Michell\u27s (1898) thin ship integral for odd flow and Maruo\u27s (1967) flat ship integral for even flow. A generalized form of Michell\u27s (1898) integral is provided for high speed slender bodies by implementing a more realistic near field condition (Ogilvie, 1975) and a wake trench (Vorus, 2009). A generalized form of Maruo\u27s (1967) integral has also been developed. Comparisons of the generalized methods have been made with available model test and/or analytical data. With this, the concept of the Semihull (Vorus, 2005) is revisited. Some results are given concerning the validity of the Semihull as compared to a traditional displacement ship. Hull form optimization is also explored and the deadrise angle distribution proves to be a major factor in calm water hydrodynamic performance

    NAME 2160

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    A Hybrid Method for Predicting Lift and Drag of Semi-planing/Semi-displacement Hull Forms

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    With the ever present desire for ships and boats to run faster while carrying a greater load, a need exists to reduce the drag while simultaneously increasing hydrodynamic lift. Therefore, a need for semi-planing/semi-displacement hullforms exists for vessels to carry relatively high loads (between 500 and 3000 tons) with a general length Froude number range between 0.4 and 1.0. A hybrid method for calculating the lift and drag of semi-planing/semi-displacement hull forms is developed. This is done by separating the kinematic boundary condition into odd and even parts. The odd and even parts of the kinematic boundary condition are solved independently along with the free-surface boundary condition and superimposed for a complete hybrid solution. The superimposed solution components relate to Michell\u27s (1898) thin ship integral for odd flow and Maruo\u27s (1967) flat ship integral for even flow. A generalized form of Michell\u27s (1898) integral is provided for high speed slender bodies by implementing a more realistic near field condition (Ogilvie, 1975) and a wake trench (Vorus, 2009). A generalized form of Maruo\u27s (1967) integral has also been developed. Comparisons of the generalized methods have been made with available model test and/or analytical data. With this, the concept of the Semihull (Vorus, 2005) is revisited. Some results are given concerning the validity of the Semihull as compared to a traditional displacement ship. Hull form optimization is also explored and the deadrise angle distribution proves to be a major factor in calm water hydrodynamic performance

    NAME 6168

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    Noms généraux et complexité discursive

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    International audienceQu'est-ce qu'on entend par complexité linguistique ? Pour les phonologues, la réponse à cette question serait à chercher dans la complexité syllabique (cf. Pellegrino et al., 2009). Pour les typologues, la réponse dépendrait de la question de savoir s'il existe des langues plus complexes que d'autres en ce qui concerne un phénomène spécifique. L'idée en cours est qu'il n'y a pas de différences notables de complexité, lorsqu'on procède à une comparaison globale des langues, c'est-à-dire en tant que systèmes (cf. Changizi, 2001 ; Miestamo et al., 2008). En psycholinguistique, la complexité peut se mesurer en termes des difficultés d'interprétation de textes. Ainsi, un temps plus considérable dans la lecture d'un mot ou une lecture qui fait intervenir des retours oculaires constituent des indices de complexité (Gibson, 1998). Pour le théoricien de la langue, le grammairien, le mathématicien ou l'informaticien, l'évaluation de la complexité pourrait consister dans la quantité de règles à mettre en jeu ou dans le nombre d'éléments requis pour assurer la bonne formation d'une séquence permettant la bonne transmission de tel ou tel message, ce qui veut dire en fin de compte que la complexité est un phénomène quantifiable ou 'algorithmisable' ou, encore, que la complexité se mesure en termes de coût et bénéfices (nombre d'éléments requis pour telle quantité d'information obtenue ; nombre d'opérations requises pour réduire l'incertain selon les théories des probabilités) (Shannon, 1948 ; Zipf, 1949 ; Kolmogorov, 1963 ; Lempel & Ziv, 1976 ; Ziv & Lempel, 1977). Pour les spécialistes en morphologie, l'examen de la complexité pourrait passer, entre autres, par le crible de l'inflexion ou de la dérivation. Par exemple, une langue avec peu de règles dérivationnelles pourrait être dite plus complexe du point de vue de son lexique qu'une langue ayant un système dérivationnel développé : la complexité ne s'observerait pas alors uniquement dans le processus de formation du en-tête de page paire lexique, mais aussi, comme produit secondaire, dans la taille du lexique, ou dans la relation du lexique avec la syntaxe puisqu'en l'absence d'un dérivé, une même idée devrait alors être exprimée par une chaîne syntaxique (Juola, 1998 ; Guarisma, 2000). Si on évoque le domaine de la syntaxe, on pourra par exemple lier la complexité à l'hypotaxe. Plus précisément, au nombre mais aussi au fonctionnement des noeuds de subordination ou d'expansion, autrement dit au nombre et au fonctionnement des séquences structuralement incomplètes et dépendantes d'autres séquences (Givon & Shibatani, 2009) 1. Enfin, pour les usagers de la langue (les « non-linguistes »), il se peut que la réponse à cette question ait à voir avec l'effort impliqué dans la mise en pratique d'une certaine règle ou dans l'apprentissage d'une langue étrangère mais, à ce moment-là, deux locuteurs peuvent ne pas être d'accord sur le jugement de ce qui mérite d'être étiqueté 'complexe' (ou 'difficile'). Inutile de dire que des facteurs sociaux et donc externes à la langue peuvent influer sur l'évaluation de la complexité, ce qui suggère que la complexité est une notion relative. La tâche de circonscrire la notion de complexité en linguistique s'avère donc assez 'complexe

    « Les mots sortent

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    International audiencedu lot » : l'extraction d'information, Iris Eshkol, Université d'Orléans et Jean-Paul Taravella L'extraction d'information est une offre qui se structure depuis quelques années en France. Cette technologie répond à un besoin essentiel : permettre de repérer et d'extraire, à moindre coût, certains éléments structurés d'information à partir d'un texte non structuré On connaissait l'extraction principalement par le terme générique de « text mining » (fouille de texte) qui diffère du « data mining » (analyse de base de données structurées). Aujourd'hui les technologies sont matures et les applications sont nombreuses et ciblées. Citons : • L'indexation automatique : Il s'agit d'extraire des mots représentatifs du contenu du texte et d'indexer relativement finement de très gros volumes documentaires (comme par exemple en rétro conversion, ce qui permet aux personnels de se consacrer à d'autres tâches) ; Le classement automatique (sans plan de classement prédéfini) : il s'agit de classer les documents sous différentes thématiques qui sont générées et arborées automatiquement, • L'élaboration d'ontologies, de thésaurus, de terminologies, éventuellement multilingues : il s'agit grâce à l'extraction de mots et leur mise en relation avec des liens typés, d'aider le documentaliste à la découverte d'un domaine et à une première proposition de structuration en « thésaurus ». • Le résumé automatique : l'objectif est d'obtenir une représentation synthétique du texte, avec l'extraction de phrases significatives, • L'aide à la lecture : il s'agit de repérer rapidement dans des gros documents et/ou une grande volumétrie de documents, les mots et les faits recherchés, en contexte (mise en évidence du mot ou du fait dans un paragraphe ou une phrase) • La recherche et la navigation en moteur de recherche : il s'agit d'identifier des catégories de mots présents dans la liste des résultats produits lors d'une recherche (toutes les « organisations », toutes les « personnes », etc. présentes dans cette liste) afin d'affiner ou d'étendre la recherche 1 Les grands domaines utilisateurs sont donc ceux qui réclament une analyse de gros volumes textuels et une restitution sous forme structurée et synthétique : la « Relation Client », opérée par la direction Marketing ou Qualité qui souhaite une analyse automatique des e-mails ou des forums par exemple, afin de distinguer automatiquement des tendances d'expression positives et négatives sur un sujet ou un produit. Une autre application encore peut être l'analyse prédictive sur le client, en utilisant toutes les informations disponibles structurées et désormais non structurées sur le client,. Les enquêtes, les CVs, peuvent également être traités de cette même manière en exploitant les rubriques non structurées. Le deuxième grand domaine utilisateur est la veille, opérée par la direction Stratégie ou Recherche qui souhaite découvrir des mots et de relations entre ces mots, qu'il n'attendait pas (« joystik » lié à «mode de conduite» sur le site d'un constructeur automobile) ou qu'il poursuivait expressément (SociétéX rachète SociétéY ; Mr John quitte la SociétéX). Dans tous les cas, si la Direction informatique reste encore l'acheteur principal, les utilisateurs finaux sont très vite concernés pour la mise au point des règles d'extraction selon le domaine concerné (cf. Principes technologiques) et pour l'interface métier selon leur attente de restitution des données extraites. Aujourd'hui les principaux clients sont encore le monde de la santé, les éditeurs de contenu et celui du renseignement qui surconsomme de l'information textuelle. Mais nul doute que l

    " Geste " et " démarche " en tant que noms généraux dans le langage médiatique écrit

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    International audienceEn se basant sur le corpus médiatique Le Monde 1998, la présente étude s'intéresse aux usages de "geste" et "démarche" en tant que noms généraux qui, non seulement assurent une cohésion textuelle dans la presse écrite, mais aussi forment des concepts temporaires en ce sens que des procès homogènes ou composites se voient réduits à un label unique. Plutôt que de tester leur fréquence d'emploi, il s'agira d'exposer - de façon schématique - la diversité du mécanisme référentiel mis en œuvre par ces noms généraux. L'idée de "Propriété Extrinsèque" (Cadiot et Nemo, 1997; Cadiot, 2006) - calculable par le contexte immédiat - s'avèrera très avantageuse pour rendre compte de la représentation précise et cristallisée qui sera associée au nom général au sein de tel ou tel morceau textuel, puisque l'utilisation de "geste" et "démarche" en tant que nom général relève d'une réalité discursive, fort polysémique et dynamique de par nature

    Toponym recognition in custom-made map titles

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    International audienceThe titles of customized topographic maps constitute a specific corpus which is characterized by a very significant number of place names and spelling variations. This paper is about identifying toponyms in these titles. The toponym tracking is based on gazetteers as well as light parsing according to patterns. The method used broadens the definition of the top-onym to include the nature of the corpus and the data in it. It consists of seven successive stages where both the extralinguistic context-in this case toponym georeferencing-and the linguistic context are taken into account. Mistakes in tagging are analyzed from the corpus characteristics and the results of each step tagging are evaluated (recall, precision, F-measure). Different conclusions can be suggested: i) toponym recognition in web corpora should take into account spelling changes, ii) toponym recognition cannot be limited to gazetteer proper nouns, iii) the notion of subjective toponym is relevant in this specific corpus, and could be considered with reference to the customization of maps
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